Voici une vidéo du rabbi Toni Sperandeo qui vit en Israël à Kfar Saba. Lui et son épouse Orna ont fait leur aliyah il y a plusieurs années. Avec son assemblée Ha Maayan, ils ont été sur les lieux du massacre du 7 octobre pour prier et intercéder pour que le Seigneur vienne en aide aux familles endeuillées, aux rescapés qui sont dans des états désastreux ; certains ne supportant plus leur douleur se suicident.
Ils intercèdent également afin de pouvoir pardonner, c’est loin d’être facile mais totalement admirable.
Il est important d’intercéder pour Israël et pour Gaza afin que ceux qui ne connaissent pas encore Yeshoua puissent le rencontrer.
Merci pour vos prières.

Les Juifs n’ont pris la terre de personne !

 WorldNet Daily -19 Novembre 2002 :

– En tant que critique arabe américain le plus voyant de Yasser Arafat et des objectifs « palestiniens » hypocrites, je reçois beaucoup de courrier de haine et plus que ma part de menaces de mort. La plupart de ces attaques au moins celles qui vont au delà des insultes et de l’obscénité disent seulement que je ne comprends pas ni n’ai de compassion pour ces pauvres Arabes qui ont été déplacés, chassés de leurs maisons et transformés en réfugiés par les Israéliens.

Permettez-moi d’affirmer ceci clairement et simplement : les Juifs en Israël n’ont pris la terre de personne. Quand Mark Twain visita la Terre Sainte au 19e siècle, il fut très déçu. Il ne vit pratiquement personne. Il la décrivit comme une vaste terre de désolation. Le pays que nous connaissons aujourd’hui sous le nom d’Israël était pratiquement désert. Au début du 20e siècle cela commença à changer.

 Des Juifs venus du monde entier commencèrent à revenir dans leur patrie ancestrale, la Terre Promise que Moïse et Josué avaient conquise des millénaires auparavant, ainsi que le croient Chrétiens et Juifs, sous les ordres directs de Dieu. Cela ne veut pas dire qu’il y ait pas toujours eu une forte présence juive sur cette terre, en particulier dans et autour de Jérusalem. En 1854, selon le compte-rendu publié dans le New York Tribune, les Juifs représentaient les deux tiers de la population de cette ville sainte. Quelle est la source de cette statistique ? Un journaliste, envoyé spécial au Moyen-Orient pour le Tribune. Il s’appelait Karl Marx, oui ce Karl Marx là.

Un guide de la Palestine et de la Syrie, publié en 1906 par Karl Baedeker, illustre ce fait : alors même que l’Empire Ottoman musulman régnait sur la région, la population musulmane de Jérusalem était minime. Ce livre estime la population totale de la ville à 60.000 habitants, dont 7.000 Musulmans, 13.000 Chrétiens et 40.000 Juifs. « Le nombre de Juifs s’est considérablement accru durant les dernières décennies, malgré l’interdiction d’immigrer ou de posséder des terres qui leur est faite, » déclare ce livre. Bien que les Juifs y soient persécutés, ils venaient quand même à Jérusalem et y représentaient la vaste majorité de la population déjà en 1906. Et bien que les Musulmans proclament aujourd’hui Jérusalem comme la troisième ville sainte de l’Islam, quand la ville était sous régime musulman ils ne lui manifestaient que très peu d’intérêt.

Lorsque les Juifs vinrent, drainant les marécages et faisant fleurir les déserts, un phénomène intéressant se produisit. Les Arabes suivirent. Je ne les en blâme point. Ils avaient de bonnes raisons de venir. Ils y trouvaient des emplois. Ils venaient pour la prospérité. Ils venaient pour la liberté. Et ils vinrent nombreux.

Winston Churchill observa en 1939 : « Ainsi, loin d’y être persécutés, les Arabes sont arrivés en masse dans ce pays, s’y sont multipliés jusqu’à ce que leur population augmente même plus que les communautés juives de par le monde n’avaient pu mobiliser de Juifs. » Puis arriva 1948 et la grande partition. Les Nations Unies proposèrent la création de deux états dans la région, l’un juif, l’autre arabe. Les Juifs l’acceptèrent avec gratitude. Les Arabes la rejetèrent férocement et déclarèrent la guerre.

Les leaders arabes demandèrent aux Arabes de quitter la zone pour ne pas être pris dans les échanges de tirs. Ils pourraient revenir dans leurs maisons, leur dit-on, après qu’Israël soit écrasé et les Juifs détruits. Ce ne fut pas le résultat qu’ils escomptaient. Selon les estimations les plus courantes, plusieurs centaines de milliers d’Arabes furent déplacés par cette guerre, pas par une agression israélienne, pas par une saisie des propriétés foncières par les Juifs, pas par un expansionnisme israélien. En fait, il y a de nombreux documents historiques montrant que les Juifs ont instamment demandé aux Arabes de rester et de vivre avec eux en paix. Mais, tragiquement, ils choisirent de partir.

54 ans plus tard, les fils et filles et petits-enfants de ces réfugiés vivent encore beaucoup trop souvent dans des camps de réfugiés, pas à cause d’une intransigeance israélienne, mais parce qu’ils ont été abusivement utilisés comme outil politique par les puissances arabes. Ces pauvres malheureux auraient pu être installés en une semaine par les riches états arabes du pétrole qui contrôlent 99,9% de la terre de tout le Moyen-Orient, mais ils ont été gardés comme de véritables prisonniers, remplis de haine envers la mauvaise cible, les Juifs, et armés en martyrs suicide par les manipulateurs de pouvoir arabes.

Ceci est la véritable histoire moderne du conflit arabo- israélien. Jamais les Juifs n’ont déracinés les familles arabes loin de leurs maisons. Quand il y avait des titres de propriété, ils ont acheté la terre à des prix démesurés, pour pouvoir avoir un lieu où vivre sans les persécutions auxquelles ils étaient soumis ailleurs dans le monde.

C’est un grand mensonge de dire que les Israéliens ont déplacés qui que ce soit, l’un d’une longue série de mensonges et de mythes qui ont amené le monde au point où il est prêt à commettre encore une fois une nouvelle grande injustice à l’encontre des Juifs.

Par Joseph Farrah


 

 

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