De nombreuses religions de par le monde ont bien compris que la «repentance» ou la «miséricorde», sont nécessaires pour essayer de réparer le mal et de donner aux hommes un semblant de paix du cœur. Prenons l’exemple de l’Islam qui prône la repentance. La sourate At-Tawba qui parle de la «Repentance» est la 9e sourate du Coran. Elle « est de manière générale l’une des plus compromettantes et militantes de tout le Coran » Les versets 5-6 : disent « Quand les mois sacrés seront expirés, tuez les infidèles quelque part que vous les trouviez ! Prenez-les ! Assiégez-les ! Dressez pour eux des embuscades ! S’ils reviennent [de leur erreur], s’ils font la Prière et donnent l’Aumône (zakat), laissez-leur le champ libre ! Allah est absoluteur et miséricordieux. » Le Coran (trad. R. Blachère), « Le repentir (At-Tawbah) », IX, 5.
Le repentir musulman n’a donc rien à voir avec le fait de demander pardon ou d’être sauvé. Il s’agit plutôt d’obéir aux paroles du prophète Mahomet qui est de combattre les infidèles.
Cette fausse repentance apporte-t-elle au croyant la paix de l’âme ? Le repentir des religions du monde transforme-t-elle véritablement le cœur des hommes ?
Bien sûr que non!
Nous allons voir qu’en fait la vraie repentance ne peut-être «juridiquement» validée que par le sacrifice sanglant de l’Agneau de Dieu qui «ôte» le péché qui en est la source : Yeshoua Fils de Dieu. La repentance ne suffit donc pas : il faut croire au Seigneur Yeshoua pour être sauvé.
Mieux que ça : avant de se repentir, il faut d’abord croire au Seigneur Yeshoua et puis seulement après, par une profonde conviction du Saint-Esprit, se repentir de ses péchés.
Celui qui ne croit pas en Yeshoua et qui malgré tout dit qu’il se repent n’est pas sauvé pour autant !
Faisant écho au Psaume 1, Dieu rappelle ici le secret du bonheur. Le Psaume 1 nous prévenait que si on voulait vivre heureux, il ne fallait pas avoir de relations avec les méchants, ne pas suivre leurs conseils, ne pas se tenir dans la voie des pécheurs, et de ne pas prendre place dans la société des railleurs. Il fallait au contraire trouver son plaisir dans la Loi de l’Éternel, et de la méditer jour et nuit. Dieu nous connaît et Il sait bien qu’il n’y a pas que les «méchants» de chair pour nous enlever le bonheur mais qu’il y a aussi des «méchants», des esprits qui vont tenter notre propre chair et qui vont nous conduire parfois par le bout du nez à nous retrouver nous-mêmes ennemis de Dieu. C’est aussi sans compter notre propre chair, notre premier ennemi.
Mais nous avons un avocat Merveilleux dans les Cieux sur Qui nous pouvons nous reposer.
Ce psaume est noté par 11 versets, la moitié des lettres de l’alphabet hébreu. Alors que le chiffre 10 (valeur numérique du Yod) représente l’accomplissement en Yeshoua, le cycle complet et l’unité parfaite, le nombre 11 (le chiffre 1 en miroir) introduit un élément nouveau et donc un risque de disharmonie.
Selon certaines sources, ce chiffre a parfois une connotation négative : c’est le signe d’une perturbation, d’un déséquilibre, d’un désordre, d’un excès, d’un conflit ou d’un débordement. Sur le plan humain, c’est la marque d’un décentrage ou d’un détournement de la loi divine, exprimée par le Décalogue (les Dix Commandements).
Ainsi, 11 est une tentative de détériorer la perfection du 10 ou d’essayer humainement de rajouter à la perfection de Dieu. C’est la raison pour laquelle ce nombre est régulièrement rattaché au péché.
1 De David. Cantique. Heureux celui à qui la transgression est remise, à qui le péché est pardonné !
2 Heureux l’homme à qui l’Éternel n’impute pas d’iniquité, et dans l’esprit duquel il n’y a point de fraude !
3 Tant que je me suis tu, mes os se consumaient, Je gémissais toute la journée;
4 Car nuit et jour ta main s’appesantissait sur moi, ma vigueur n’était plus que sécheresse, comme celle de l’été.-Pause.
5 Je t’ai fait connaître mon péché, je n’ai pas caché mon iniquité; J’ai dit : J’avouerai mes transgressions à l’Éternel ! Et tu as effacé la peine de mon péché.-Pause.
6 Qu’ainsi tout homme pieux te prie au temps convenable ! Si de grandes eaux débordent, elles ne l’atteindront nullement.
7 Tu es un asile pour moi, tu me garantis de la détresse, Tu m’entoures de chants de délivrance.-Pause.
8 Je t’instruirai et te montrerai la voie que tu dois suivre; Je te conseillerai, j’aurai le regard sur toi.
9 Ne soyez pas comme un cheval ou un mulet sans intelligence; on les bride avec un frein et un mors, dont on les pare, afin qu’ils ne s’approchent point de toi.
10 Beaucoup de douleurs sont la part du méchant, mais celui qui se confie en l’Éternel est environné de sa grâce.
11 Justes, réjouissez-vous en l’Éternel et soyez dans l’allégresse ! Poussez des cris de joie, vous tous qui êtes droits de cœur !