L’instauration du Messie sur Israël et sur les nations

La deuxième venue du Messie Yeshoua au milieu des enfants d’Israël est montrée dans l’histoire biblique. Elle indique comment et dans quelles circonstances, Joseph sera amené à délivrer son peuple de la famine. Nous verrons aussi qui se cache derrière le Pharaon égyptien et aussi qui se cache derrière Joseph.
Joseph vient de révéler à Pharaon le contenu et le sens de ses deux songes, le songe des vaches grasses mangées par des vaches maigres et celui des épis gras mangés par des épis maigres. Prophétiquement ceux-ci nous parlent à deux reprises d’une période de temps où l’enseignement de la Parole de Dieu et où l’amour du prochain sera « mangé » par une autre période de temps de ténèbres, de haine et de famine où les hommes chercheront Dieu et sa Parole mais ne la trouveront pas.
Nous rentrons rapidement dans ces temps de vaches maigres et ceux qui chercheront Dieu le trouveront alors en « s’accrochant au pan d’un juif » car ils verront que c’est sur les juifs que Dieu a posé sa Main – une main d’amour et de révélation de la fin des temps, une main accordant la manne céleste. « Ainsi parle l’Eternel des armées: En ces jours-là, dix hommes de toutes les langues des nations saisiront un Juif par le pan de son vêtement et diront: Nous irons avec vous, car nous avons appris que Dieu est avec vous. »(Zacharie 8:23)

 

L’instauration du Messie 

« 33  Maintenant, que Pharaon choisisse un homme intelligent et sage, et qu’il le mette à la tête du pays d’Egypte. 34  Que Pharaon établisse des commissaires sur le pays, pour lever un cinquième des récoltes de l’Egypte pendant les sept années d’abondance. 35  Qu’ils rassemblent tous les produits de ces bonnes années qui vont venir; qu’ils fassent, sous l’autorité de Pharaon, des amas de blé, des approvisionnements dans les villes, et qu’ils en aient la garde. 36  Ces provisions seront en réserve pour le pays, pour les sept années de famine qui arriveront dans le pays d’Egypte, afin que le pays ne soit pas consumé par la famine. 37  Ces paroles plurent à Pharaon et à tous ses serviteurs. 38  Et Pharaon dit à ses serviteurs: Trouverions-nous un homme comme celui-ci, ayant en lui l’esprit de Dieu? 39  Et Pharaon dit à Joseph: Puisque Dieu t’a fait connaître toutes ces choses, il n’y a personne qui soit aussi intelligent et aussi sage que toi. 40  Je t’établis sur ma maison, et tout mon peuple obéira à tes ordres. Le trône seul m’élèvera au-dessus de toi. 41  Pharaon dit à Joseph: Vois, je te donne le commandement de tout le pays d’Egypte. (Genèse 41 :33-41)
 

« Ces paroles plurent à Pharaon et à tous ses serviteurs. » (Genèse 41 :37)

 וַיִּיטַב הַדָּבָר, בְּעֵינֵי פַרְעֹה, וּבְעֵינֵי, כָּל-עֲבָדָיו 
Afin de préparer l’accomplissement de la prophétie relative à la première venue du Messie, Dieu dispose favorablement Pharaon à l’égard de Joseph, image du Messie. Comme nous le verrons un peu plus loin, ce pharaon de l’époque de Joseph n’était pas comme ces Pharaons de l’Egypte ancienne qui s’adonnaient à l’astrologie et à la divination. Dans ce passage de Genèse 41:37, on discerne quelque chose de plus que le simple fait d’avoir de l’assentiment souverain et orgueilleux d’un monarque.
L’expression « plûrent à Pharaon » (de la racine yatav qui a donné le mot tov) doit se lire « ces paroles ont fait du bien à », « ont eu l’assentiment de », « ces paroles ont rendu heureux le Pharaon », « lui ont plu », « l’ont réjoui. »  
Le Pharaon a ressenti en lui-même une joie inexprimable car les paroles de Joseph l’ont touché. Derrière les mots et les lettres, ce sont des paroles de Vie que Joseph a données à Pharaon. Ces paroles données par Joseph sont la Vie elle-même.
 
Comme on l’a vu précédemment, l’histoire biblique concernant Joseph en Egypte nous parle non seulement de ce qui s’est déroulé il y a plus de 1750 ans mais aussi de ce qui se déroulera plus tard avec la première venue du Sauveur Yeshoua. Cette histoire nous montre aussi ce qui se déroulera dans la fin des temps avec la deuxième venue du Fils de Dieu.
 
L’histoire relatée en Genèse 41 concerne l’instauration du Sauveur et Seigneur Yeshoua le Messie sur les nations au début de notre ère.
Si Pharaon reconnaît en Joseph l’homme de la situation, c’est que Dieu veut annoncer la venue de son Fils Yeshoua, celui qui a son Esprit : l’Esprit de Dieu (l’intelligence Bina en hébreu).
« 38  Et Pharaon dit à ses serviteurs: Trouverions-nous un homme comme celui-ci, ayant en lui l’esprit de Dieu? 39  Et Pharaon dit à Joseph: Puisque Dieu t’a fait connaître toutes ces choses, il n’y a personne qui soit aussi intelligent et aussi sage que toi. » (Genèse 41 :38-39)
 
C’est de manière cachée que Dieu révèle et confirme prophétiquement qu’il s’agit bien de son Fils. Pharaon a toute autorité sur les hommes et il déclare qu’il n’y a personne qui soit aussi intelligent et sage que Joseph. Dans toute la Bible il n’y a pas eu par le passé quelqu’un qui a eu en même temps l’intelligence de la Rouah HaKodesh et la Sagesse du Fils de Dieu.
 

אַחֲרֵי הוֹדִיעַ אֱלֹהִים « Puisque Dieu t’a fait connaître toutes ces choses »

Le verbe connaître a pour racine primaire Yada « savoir, connaître, reconnaître, apprendre, connaissance, soin, choisir, s’apercevoir, ignorer, voir, habile, trouver, comprendre, être certain, découvrir » et cette connaissance est dominée par le yad cette lettre yod qui signifie la « main » de Dieu, le bras de l’Eternel qui est le Fils de Dieu en personne, puis dans laquelle il y a la lettre dalet la « porte » par laquelle il faut passer pour entrer dans le Royaume de Dieu. Tout cela se fait bien entendu sous le regard approbateur de Elohim avec la dernière lettre ayin qui veut dire « regard« . La vraie connaissance qu’attribue Pharaon à Joseph est bien celle de Dieu.
 
Qui est ce Pharaon qui dirige les hommes avec autorité?
Non seulement Pharaon représente l’autorité suprême sur les hommes de l’époque mais il est une représentation divine du Père qui va envoyer son fils pour délivrer le monde des ténèbres.
On se souvient de la dynastie des pharaons égyptiens de l’époque de Joseph. Un rapide rappel historique est nécessaire afin de mieux en saisir les tenants et aboutissants.
 

Rappel historique : La dynastie des rois bergers, les « Hyksos »

Nous sommes en 1719 av. J.C. dans un LIEU appelé Zoan, capitale de l’Égypte. De fortes présomptions tendraient à faire croire que le patriarche Joseph vint en Égypte sous les Pasteurs (vers 1750), et que la touchante histoire racontée eut pour théâtre la cour de l’un de ces rois étrangers. Joseph n’aurait donc pas été le ministre d’un pharaon de sang national égyptien. C’est un « roi pasteur », c’est-à-dire un roi sémite comme lui, que Joseph aurait servi, et l’élévation du ministre hébreu s’explique d’autant plus facilement, qu’il aurait été accueilli par un souverain de la même race que lui.
 
-2214 av.JC.
Invasion des Hyksos ou Pasteurs, adorateurs du dieu Shuteco, sous les derniers rois de la XIVe dynastie (pp. 89, 94). Dévastation de l’Égypte. — Établissement des rois Hyksos à Tanis (auj. Sân, dans le bas Delta).
-1750 av.JC.
Époque probable de l’immigration des Hébreux en Égypte.
Avec l’histoire du fils de Jacob.
La domination des Hyksos sur la Basse-Égypte et leur suzeraineté sur la Haute-Égypte durent 511 ans, et s’étendent sous les XVe, XVIe et XVIIe dynasties, toujours représentées à Thèbes.
L’invasion et la domination Hyksos
Au début du dix-huitième siècle avant Jésus-Christ, l’arrivée des Indo-Européens en Asie occidentale repousse les populations alors sur place vers d’autres terres.
A partir de 1730 av. J.-C, certaines d’entre elles, majoritairement d’origine sémitique, pénètrent pacifiquement en Egypte et s’y installent: ces populations sont appelées Hyksos, de l’égyptien « heqaou-khasout » signifiant « chefs des pays étrangers ».  
Il faut dire que, d’une part, l’Egypte de ces temps anciens a toujours été un pays d’accueil pour les populations étrangères et que, d’autre part, la croissance économique du Moyen Empire avait demandé une main d’œuvre de plus en plus importante.
La XIIIème dynastie règne toujours en Egypte, lorsqu’aux environs de 1700 av.J.-C., des troubles éclatent dans le pays, affaiblissant ainsi les pharaons régnants. Une nouvelle dynastie, la XIVème, prend alors le pouvoir à Xoïs et règne parallèlement avec la XIIIème. 
-Vers 1650 av.J.-C., profitant de la faiblesse du pouvoir égyptien, les Hyksos s’emparent du Nord-Est de l’Egypte et choisissent comme capitale la ville d’Avaris qu’ils fortifient et arment fortement. De là, ils partent à la conquête de la moitié nord du pays (avec une arme inconnue des égyptiens: le char tiré par des chevaux), sans rencontrer de grande résistance.

La partie sud de l’Egypte est, à partir de cette date, gouvernée par les princes de Thèbes, probablement vassaux des rois Hyksos. Ces princes, dont le premier se nomme Râhotep, constituent la XVIIème dynastie. 
Les rois Hyksos, classés dans les XVème et XVIème dynasties (cette dernière ne comprendra que des rois vassaux de la quinzième dynastie), vont, pendant environ 75 ans, gouverner la moitié nord de l’Egypte en restant en bons termes avec leurs vassaux de Thèbes.
Tout en conservant leurs traditions, ils adopteront certaines coutumes égyptiennes. Leur nom sera, par exemple, écrit en hiéroglyphes et placé dans des cartouches. Ils vénèrent le dieu égyptien Seth qu’ils dotent toutefois d’attributs asiatiques et qu’ils nomment Soutekh.
Les principaux rois Hyksos se nomment Salitis, Yaqoub-Har, Khyan et Apophis I.
Le musée du Louvre possède deux sarcophages de type « richi » (les décorations ressemblent à des plumes de faucon) ayant appartenu à deux rois de la XVIIème dynastie, vassaux des souverains Hyksos: celui de Sekhemrê Herouermaât (Antef VI) et celui de Sekhemrê Oupmaât Antef (Antef V); sous leurs règnes la région de Thèbes, malgré son isolement économique, continue à perpétrer la culture, l’art et la tradition du Moyen Empire égyptien.
C’est à la fin du règne du souverain Hyksos Apophis I qu’un mouvement national naît à Thèbes dont les princes vont tenter de reconquérir l’Egypte.
Source : http://pagesperso-orange.fr/jean-marc.samblancat/perint2.html
 
Traditionnellement, seuls six dirigeants de la XVe dynastie sont appelés « Hyksôs ». Les Tanach se qualifient eux-mêmes de Cananéens, descendants de Ham, fils de Noé. Les noms Hyksôs sont très proches des noms cananéens, et certains archéologues pensent que les Hyksôs et les Phéniciens sont un seul et même peuple. Les Hyksôs introduisirent de nouveaux armements en Égypte, notamment l’arc composite1, le cheval et le char.
Les nombreux princes de la XVIe dynastie sont en partie Hyksôs, en partie sémites, en partie asiatiques et en partie égyptiens. Les noms des princes de la XVe dynastie nous sont parvenus grâce aux œuvres et aux monuments égyptiens, ainsi que par l’Histoire d’Égypte de Manéthon, rédigée sous Ptolémée III Évergète Ier.
Ceux qui se faisaient appeler les « Tanach », ne se faisaient-ils pas appeler ainsi à cause de la Parole de Dieu Torah-Neviim-Ketouvim – la Tenach? 
 

Mitsraïm et la diaspora

 
De la même façon qu’il y a deux villes de Jérusalem (Yeroushalaïm pluriel de dualité indiquant qu’il y a une Jérusalem céleste et une Jérusalem terrestre), la langue hébraïque nous montre qu’il y a aussi 2 Egyptes « Mitsraïm ».
« Mitsraïm » est en réalité un pluriel de dualité, dualité à cause de deux Egyptes.
Il y a d’abord l’Egypte symbole du péché, de la magie, de la sorcellerie, de la divination, de l’occultisme, des divinités païennes, du culte de la mort, de la glorification d’un homme et d’une nation. 
Il y a aussi l’Egypte représentation typologique des nations non juives, des nations païennes qui vivent sans le Dieu d’Israël mais que Dieu aime, des nations qui reçoivent la grâce d’être sauvée par un juif: Joseph. L’évangile de Yohanan (Jean l’évangéliste) nous dit que Elohim a tant aimé le monde (le monde des païens, celui des goïms) qu’Il a donné son fils afin que quiconque croit en Lui, ne périsse point mais qu’Il ait la vie éternelle.  (Jean 3:16)
 
La diaspora est un mot qui n’est relatif qu’au seul peuple juif : le peuple a été envoyé dans les nations comme des témoins prophétiques des plans de Dieu pour les nations. Toute autre nation dans le monde ne peut pas s’octroyer le droit d’utiliser le terme « diaspora » qui est réservé au peuple juif. C’est pas la Foi que la diaspora révèle que Dieu a envoyé ses enfants dans les nations afin qu’elles soient sauvées de la perdition éternelle : »Le salut vient des juifs » « Vous adorez ce que vous ne connaissez pas; nous, nous adorons ce que nous connaissons, car le salut vient des Juifs. » (Jean 4:22) 
 
La diaspora de Joseph en Egypte annonce la diaspora de Yeshoua dans les nations et plus tard celle des juifs dans les nations.
 
Ce Pharaon que connaissait Joseph représente Dieu qui envoie son Fils pour apporter la nourriture aux nations. La multiplication des 5 pains et deux poissons est une des images de cela.
 

אַתָּה תִּהְיֶה עַל-בֵּיתִי « Je t’établis sur ma maison »

 
Pharaon annonce la venue de Yeshoua « 40  Je t’établis sur ma maison » se dit en hébreu « ata tahyeh beithi » je t’établis à l’existence. 
Version Jérusalem « C’est toi qui seras mon maître du palais »
Version Ostervald « 40  C’est toi qui seras sur ma maison »
 

אֶהְיֶה אֲשֶׁר אֶהְיֶה « Ehyéh asher Ehyéh»

 

Le verbe « établir » utilisé doit être compris comme le verbe « être » qui a été entendu par Moïse devant le buisson ardent. Ce verbe a pour racine hayah et n’est jamais conjugé. Les seules fois où il est utilisé tel qu’on le lit ici, ne sont attribuées qu’à Dieu seul. En hébreu dans le langage courant on ne dit jamais « je suis ». 
« Dieu dit à Moïse: Je suis celui qui suis. Et il ajouta: C’est ainsi que tu répondras aux enfants d’Israël: Celui qui s’appelle « je suis » m’a envoyé vers vous. » (Exode 3:14)
 
André Chouraqui, écrit (dans un entretien avec Jean Moutappa, Nouvelles Clés)
« Ehyeh peut être traduit par Je suis, étant entendu qu’en Hébreu, il ne s’agit pas que d’un présent. On pourrait aussi bien traduire: « je serai : je serai », car la conjonction asher est la plus subtile des conjonctions. Il y a ici la répétition, à la première personne, du verbe être dans sa forme « inaccomplie ». En hébreu, n’existe pas succession passé-présent-futur, mais la distinction sur un autre plan, entre l’accompli et l’inaccomplie est donc toujours « Celui qui vient », l »‘Eternel », quoique le concept d’éternité tel que l’entend l’Occident soit foncièrement étranger à la pensée biblique. Disons plutôt: « l’Etre qui a été, qui est, qui sera » à chaque instant.  En un mot, la Transcendance pure. » 

 

Deux peuples qui reçoivent la Parole de Vie

Ajoutons que ce verbe contient deux mêmes lettres au milieu de la racine primaire hayah

 

– la lettre « hé » (la vie) était représentée jadis par un homme vivant levant les mains au ciel. Cette lettre signifie MONT, MONTAGNE, COLLINE, PERSONNE ELEVEE OU EMINENTE) et

– la lettre « yod » (yad la main) la présence de Dieu

 

« Je t’établis sur ma maison, et tout mon peuple obéira à tes ordres »

« Je t’établis sur ma maison, et tout mon peuple obéira à tes ordres. Le trône seul m’élèvera au-dessus de toi. (Genèse 41 :40)

L’expression « et tout mon peuple obéira à tes ordres » cache une révélation extraordinaire « Tout mon peuple sera équipé de ma bouche »
Le mot nashaq est une racine primaire à travers l’idée d’attacher, baiser, donner un baiser, embrasser, s’embrasser, obéir, archers, hommes armés, se porter, frapper être équipé avec.
Le peuple juif qui « obéira » à ce Messie, sera comme des hommes armés, des archers qui recevront la Parole de la Bouche de l’Eternel prêts à frapper l’ennemi.
Ce mot nashaq donne aussi les actions d’« allumer », de « mettre le feu ».
Ici, les « ordres » sont donnés en hébreu par le mot « Pé » la face de Dieu, la Bouche de Dieu, la Parole de Dieu. 
 

« Le trône seul m’élèvera au-dessus de toi »

Quand la Bible parle de trône, elle se réfère certes au Trône de Dieu. 
 
Daniel 7:9  Je regardai, pendant que l’on plaçait des trônes. Et l’ancien des jours s’assit. Son vêtement était blanc comme la neige, et les cheveux de sa tête étaient comme de la laine pure; son trône était comme des flammes de feu, et les roues comme un feu ardent.
 
Matthieu 19:28 Yeshoua leur répondit: Je vous le dis en vérité, quand le Fils de l’homme, au renouvellement de toutes choses, sera assis sur le trône de sa gloire, vous qui m’avez suivi, vous serez de même assis sur douze trônes, et vous jugerez les douze tribus d’Israël.
 
Matthieu 23:22  et celui qui jure par le ciel jure par le trône de Dieu et par celui qui y est assis.
 
Matthieu 25:31  Lorsque le Fils de l’homme viendra dans sa gloire, avec tous les anges, il s’assiéra sur le trône de sa gloire.
 
Luc 1:32  Il sera grand et sera appelé Fils du Très-Haut, et le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David, son père.
 
Actes 2:30  Comme il était prophète, et qu’il savait que Dieu lui avait promis avec serment de faire asseoir un de ses descendants sur son trône,
 
Actes 7:49  Le ciel est mon trône, Et la terre mon marchepied. Quelle maison me bâtirez-vous, dit le Seigneur, Ou quel sera le lieu de mon repos?
 
Hébreux 1:8  Mais il a dit au Fils: Ton trône, ô Dieu, est éternel; Le sceptre de ton règne est un sceptre d’équité;
 
Hébreux 4:16  Approchons-nous donc avec assurance du trône de la grâce, afin d’obtenir miséricorde et de trouver grâce, pour être secourus dans nos besoins.
 
Hébreux 8:1  Le point capital de ce qui vient d’être dit, c’est que nous avons un tel souverain sacrificateur, qui s’est assis à la droite du trône de la majesté divine dans les cieux,
 
Hébreux 12:2  ayant les regards sur Yeshoua, le chef et le consommateur de la foi, qui, en vue de la joie qui lui était réservée, a souffert la croix, méprisé l’ignominie, et s’est assis à la droite du trône de Dieu.
 
Beth Yeshoua 

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