Voici une vidéo du rabbi Toni Sperandeo qui vit en Israël à Kfar Saba. Lui et son épouse Orna ont fait leur aliyah il y a plusieurs années. Avec son assemblée Ha Maayan, ils ont été sur les lieux du massacre du 7 octobre pour prier et intercéder pour que le Seigneur vienne en aide aux familles endeuillées, aux rescapés qui sont dans des états désastreux ; certains ne supportant plus leur douleur se suicident.
Ils intercèdent également afin de pouvoir pardonner, c’est loin d’être facile mais totalement admirable.
Il est important d’intercéder pour Israël et pour Gaza afin que ceux qui ne connaissent pas encore Yeshoua puissent le rencontrer.
Merci pour vos prières.

Lettre alef doréeL’alphabet hébreu est un alphabet sémitique défini par son caractère de « abjad », (c’est-à-dire où toutes les lettres sont des consonnes), et que pour pouvoir devenir « vivantes », pour pouvoir être utilisées, ces consonnes ont besoin des « voyelles ». Ces voyelles sont des traits de lettres et/ou des points. 

On sait aussi que toutes les lettres sémitiques ont une signification qui viennent de la nature. Le « A » signifie « tête de taureau », le « B » signifie « Maison », etc. La Torah commence (en Genèse 1:1) par BERESHIT (« Au commencement ») la 2ème lettre, le BETH. Tout a été écrit pour notre instruction sur base non du ciel mais de la terre : « beth » c’est la maison d’Israël.

Dès le départ, Dieu a eu dans son cœur son peuple, sa maison : la « maison d’Israël ».

L’Eternel aurait très bien pu commencer à écrire Sa Parole la Bible par le ALEPH (ALEF), c’est-à-dire par LUI-MÊME en disant que le but de la Bible c’était de l’honorer LUI, le DIEU VIVANT que la Bible va nous parler du ciel, des anges, du paradis, de l’éternité.  Si l’alphabet commence effectivement par le alef, il n’en est pas du tout de même pour la Torah.

Dieu a voulu épingler en premier, non l’éternité mais plutôt le terrestre.

Remarquez aussi que cette première lettre est différente des autres, elle ne se prononce pas : elle est MUETTE. Il faut nécessairement une voyelle pour la prononcer, a, i, o, ou, e.

Le ALEF représente Dieu qu’il n’est pas possible de prononcer :  de la même façon qu’il n’est pas possible de mettre Dieu en boîte, de décider s’il est 1 ou s’il est 3, ou s’il y a ou s’il n’y a pas trinité, etc. 

On a une autre lettre dans l’alphabet qui ne se prononce pas non plus et qu’on verra plus tard, c’est le AYIN. La raison c’est que le regard (ayin signifie regard) doit laisser la place à la Foi. Le regard est personnel, il est donc tout aussi impossible de le mettre en boîte puisqu’il transmet la vue de l’objet et c’est le cerveau et le cœur qui va décider quoi en faire. Le regard est par définition « trompeur ».

Le monde charnel mise tout sur la séduction de la vue, contrairement au peuple de Dieu qui mise tout sur la FOI, c’est-à-dire sur ce que Dieu a dit.

Pour terminer, la lettre BETH est ouverte à sa gauche ב  et fermée à sa droite : Dieu ne donne aucune information sur ce qu’il y a eu AVANT (à droite). Par contre il laisse grande l’ouverture à gauche c’est-à-dire du côté du futur. Dieu n’a rien écrit d’avance sur notre avenir car Il veut que nous collaborions avec Lui dans l’établissement de son Royaume.

Comme vous voyez, il n’y a aucun hasard dans la Parole inspirée de Notre Dieu.

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