N’avez-vous pas remarqué, à vous qui vous intéressez à la prophétie biblique, que le Seigneur nous donne l’occasion de rentrer dans l’étude de sujets bibliques qui sont précisément d’actualité de nos jours ? Dieu va bientôt révéler aux enfants d’Israël – et Il a déjà commencé – le Messie Yeshoua.

Fin de l’abondance 

Dans l’étude de l’histoire de Joseph commencée il y a maintenant deux ans, nous nous approchons bientôt de son apogée : la révélation du Messie Yeshoua aux enfants d’Israël et le règne du Seigneur sur toute la terre à partir de Jérusalem. La période de temps de l’abondance se termine ; 

fin des abondances terrestre, physique et économique, fin de l’abondance des biens et aussi d’une vie tranquille. Cela fera approximativement une bonne quinzaine d’années que nous voyons arriver devant nos yeux, la fin de l’abondance spirituelle, la fin de l’évangélisation, la fin de la soif de Dieu. La terre rejette Dieu et l’église. La terre rejette « l’eau du bain avec le bébé». 
Dans l’histoire biblique, en vue de la famine qui arrive, Dieu nous fait signe :
 
UN SIGNE : nous avertissant d’emmagasiner la Parole à l’intérieur de notre cœur pour des temps de famine et ne pas emmagasiner les choses du monde : ouvrir sa bible et prendre des réserves. 
 
UNE FAMINE : le manque de nourriture annoncé prophétiquement est aussi le manque de désir de nourriture
 
1. La famine spirituelle est un temps où on recherche des choses qui nous manquent. 
2. Mais AUSSI cette famine spirituelle n’est pas forcément un temps où on a faim de Dieu mais plutôt un temps où on a perdu le goût des choses de Dieu !
 
La longue histoire de Joseph commencée en Genèse arrive bientôt à ses multiples accomplissements :
•Accomplissement pour les nations
•Accomplissement pour le peuple juif
•Accomplissement pour le règne du Messie
 
« 53  Les sept années d’abondance qu’il y eut au pays d’Egypte s’écoulèrent. 54  Et les sept années de famine commencèrent à venir, ainsi que Joseph l’avait annoncé. Il y eut famine dans tous les pays; mais dans tout le pays d’Egypte il y avait du pain. 55  Quand tout le pays d’Egypte fut aussi affamé, le peuple cria à Pharaon pour avoir du pain. Pharaon dit à tous les Egyptiens: Allez vers Joseph, et faites ce qu’il vous dira. 56  La famine régnait dans tout le pays. Joseph ouvrit tous les lieux d’approvisionnements, et vendit du blé aux Egyptiens. La famine augmentait dans le pays d’Egypte. 57  Et de tous les pays on arrivait en Egypte, pour acheter du blé auprès de Joseph; car la famine était forte dans tous les pays. » (Genèse 41 :53-57)
 

Des années qui « s’écoulent »

וַתִּכְלֶינָה, שֶׁבַע שְׁנֵי הַשָּׂבָע, אֲשֶׁר הָיָה, בְּאֶרֶץ מִצְרָיִם
vaticheleinah, sheva shéné hasaba, asher haaya, beeretz mitsraïm 
 
« Quand furent écoulées les sept années de l’abondance qui régnait dans le pays d’Égypte » 
 

La fiancée et l’épouse

Avant de rentrer dans l’étude de Genèse 41:53, attardons-nous quelques instants sur la fiancée qui se prépare.
Quelques exemples bibliques nous parlent de l’épouse, la fiancée (Adaptation du site http://www.bible-et-histoire.com/la-fiancee-et-lepouse.html#extra)
 
Yochana Hamatbil (Jean-Baptiste) a utilisé deux symboles pour présenter Yéshoua comme le Messie. Il a dit qu’il était « l’agneau de Dieu qui ôte le péché du monde » (Jean 1.29) et il le désigna comme « l’époux » ; se définissant lui-même comme l’ami de l’époux :
« 28  Vous-mêmes m’êtes témoins que j’ai dit : Je ne suis pas le Christ, mais j’ai été envoyé devant lui. 29  Celui à qui appartient l’épouse, c’est l’époux ; mais l’ami de l’époux, qui se tient là et qui l’entend, éprouve une grande joie à cause de la voix de l’époux : aussi cette joie, qui est la mienne, est parfaite. 30  Il faut qu’il croisse, et que je diminue. » (Jean 3.26-30)
Cette parole de Jean-Baptiste reste énigmatique. Si Yeshoua le Messie est l’époux : qui est l’épouse ?
 
Yeshoua aussi parlait de lui-même en tant qu’ « époux » lorsque les disciples de Jean sont venus lui poser une question :  
« Alors les disciples de Jean vinrent auprès de Yeshoua, et dirent : Pourquoi nous et les pharisiens jeûnons-nous, tandis que tes disciples ne jeûnent point ? Yeshoua leur répondit : Les amis de l’époux peuvent-ils s’affliger pendant que l’époux est avec eux ? Les jours viendront où l’époux leur sera enlevé, et alors ils jeûneront. » (Matthieu 9.15)
 
L’apôtre Paul écrivait aux Corinthiens qu’il les avait fiancés à un seul époux, le Messie ; les Corinthiens étant comparés à « une vierge pure » :  
« Car je suis jaloux de vous d’une jalousie de Dieu, parce que je vous ai fiancés à un seul époux, pour vous présenter à Mashiah comme une vierge pure. » (2 Corinthiens 11.2) 
 
La nouvelle Jérusalem est comparée à une épouse qui s’est préparée pour son époux : « Et je vis descendre du ciel, d’auprès de Dieu, la ville sainte, la nouvelle Jérusalem, préparée comme une épouse qui s’est parée pour son époux. » (Apocalypse 21.2)
 

L’épouse est appelée la femme de l’Agneau : « Puis un des sept anges qui tenaient les sept coupes remplies des sept derniers fléaux vint, et il m’adressa la parole, en disant : Viens, je te montrerai l’épouse, la femme de l’Agneau. » (Apocalypse 21.9 cf. Apocalypse 19.7) 
Nous retrouvons ici la même association agneau/époux que dans les discours de Jean-Baptiste. Nous pouvons savoir qui est l’épouse puisque l’apôtre Jean a une vision suite à la déclaration de l’ange :
« Il me transporta en esprit sur une grande et haute montagne. Et il me montra la ville sainte, Jérusalem, qui descendait du ciel d’auprès de Dieu, ayant la gloire de Dieu. » (Apocalypse 21.10)
 
La femme enveloppée du soleil :
« Un grand signe parut dans le ciel : une femme enveloppée du soleil, la lune sous ses pieds, et une couronne de douze étoiles sur sa tête » (Apocalypse 12.1)
 
Le prophète Osée
La lecture du livre du prophète Osée nous permet de comprendre que Dieu est comme pris entre deux feux : celui de son amour sans limite pour son peuple et celui de l’infidélité de ce dernier.
 
Malgré les avertissements que Dieu a donnés par l’intermédiaire d’autres prophètes, par exemple Amos, le peuple d’Israël s’enfonce dans les désordres politiques, sociaux et religieux. La déclaration ci-dessous nous permet de nous faire une idée de cette époque extrêmement confuse :
 
« Ecoutez la parole de l’Eternel, enfants d’Israël! Car l’Eternel a un procès avec les habitants du pays, Parce qu’il n’y a point de vérité, point de miséricorde, Point de connaissance de Dieu dans le pays. 2  Il n’y a que parjures et mensonges, Assassinats, vols et adultères; On use de violence, on commet meurtre sur meurtre. » (Osée 4 : 1 – 2)
 
L’image choc de la prostituée met l’accent sur son infidélité
 
Pour faire face à cette corruption générale, les mots et les discours même enflammés ne suffisent plus. Dieu décide de demander au prophète Osée quelque chose d’inconcevable :
 
« 2 La première fois que l’Eternel adressa la parole à Osée, l’Eternel dit à Osée : Va, prends une femme prostituée et des enfants de prostitution ; car le pays se prostitue, il abandonne l’Eternel ! Il alla, et il prit Gomer, fille de Diblaïm. Elle conçut, et lui enfanta un fils. 4 Et l’Eternel lui dit : Appelle-le du nom de Jizreel ; car encore un peu de temps, et je châtierai la maison de Jéhu pour le sang versé à Jizreel, je mettrai fin au royaume de la maison d’Israël. 5 En ce jour-là, je briserai l’arc d’Israël dans la vallée de Jizreel. 6 Elle conçut de nouveau, et enfanta une fille. Et l’Eternel dit à Osée : Donne-lui le nom de Lo-Ruchama ; car je n’aurai plus pitié de la maison d’Israël, je ne lui pardonnerai plus. 7 Mais j’aurai pitié de la maison de Juda ; je les sauverai par l’Eternel, leur Dieu, et je ne les sauverai ni par l’arc, ni par l’épée, ni par les combats, ni par les chevaux, ni par les cavaliers. 8 Elle sevra Lo-Ruchama ; puis elle conçut, et enfanta un fils. 9 Et l’Eternel dit : Donne-lui le nom de Lo-Ammi ; car vous n’êtes pas mon peuple, et je ne suis pas votre Dieu. » (Osée 1.2-9)
 
On peut lire de 2 façons ce qui suit : « vous n’êtes pas mon peuple, et je ne suis pas votre Dieu »  (Osée 1 :9)
 
•Dieu est en colère contre son peuple et il le considère comme un peuple païen
•Dieu parle aux païens
 
Dans Osée, Dieu va à l’encontre de sa propre loi « Il n’y aura aucune prostituée parmi les filles d’Israël, et il n’y aura aucun prostitué parmi les fils d’Israël. » (Deutéronome 23.17)
Dieu promet pourtant à son peuple se le fiancer à Lui.
Dieu veut conduire son peuple dans le désert, là où l’alliance avait été scellée sur la base de la révélation de sa Parole, parce que Dieu espère que son « épouse » changera de comportement et qu’elle vivra en accord avec sa révélation qui est le reflet de sa nature :
« Je te fiancerai à moi pour toujours, je te fiancerai à moi par la justice et le droit, l’amour et la tendresse. Je te fiancerai à moi par la fidélité et tu connaîtras le SEIGNEUR. » (Osée 2.21, 22)
 
Dans l’expérience vécue et décrite par le prophète Osée, deux éléments dominent lorsqu’il présente au peuple d’Israël Dieu comme son époux :
L’amour passionné de Dieu pour son peuple et pour tous les hommes. L’espoir de Dieu de voir son peuple lui être fidèle. 
« Car ton créateur est ton époux : l’Eternel des armées est son nom ; et ton rédempteur est le Saint d’Israël : Il se nomme Dieu de toute la terre ; 6 car l’Eternel te rappelle comme une femme délaissée et au cœur attristé, comme une épouse de la jeunesse qui a été répudiée, dit ton Dieu. 7 Quelques instants je t’avais abandonnée, mais avec une grande affection je t’accueillerai ; 8 Dans un instant de colère, je t’avais un moment dérobé ma face, mais avec un amour éternel j’aurai compassion de toi, dit ton rédempteur, l’Eternel. 9 Il en sera pour moi comme des eaux de Noé : j’avais juré que les eaux de Noé ne se répandraient plus sur la terre ; je jure de même de ne plus m’irriter contre toi et de ne plus te menacer. 10 Quand les montagnes s’éloigneraient, quand les collines chancelleraient, mon amour ne s’éloignera point de toi, et mon alliance de paix ne chancellera point, dit l’Eternel, qui a compassion de toi. » (Esaïe 54 :5-10)
 

Le temps écoulé – ou – la fiancée en marche vers son lieu de repos

Curiosité hébraïque que celle où l’action de s’écouler est proche de la racine qui a donné le mot « fiancée ».
Les sept années d’abondance qu’il y eut au pays d’Egypte s’écoulèrent et la racine du mot utilisé dans l’hébreu pour s’écouler est kalah
« Quand furent écoulées les sept années de l’abondance qui régnait dans le pays d’Égypte » 
 
Kalah כלה   est la racine primaire de l’expression vaticheleinah et  signifie « achever, réduire, être épuisé, avoir fini, consumer, s’écouler, exterminer, laisser, languissant, faire cesser, faire éprouver, jusqu’à la fin, terminer, avoir résolu, anéantir, manquer »
 
Dans la forme grammaticale active parfaite QAL le sens donné de cette racine est d’accomplir simplement un travail, de déterminer, d’être complet, d’être accompli, d’être au bout, d’être comme de l’argent que l’on a dépensé, d’accomplir sa course…
 
Il s’agit donc ici de montrer qu’on est arrivé à la fin d’une période déterminée, un temps qui est complet, accompli. 
 

L’hébreu, instrument de Dieu 

L’hébreu est un instrument de Dieu car même ici Dieu avertit son peuple : lorsqu’il explique le caractère d’un mot et sa signification positive, ce mot peut-être vu aussi de manière négative, la racine du mot signifiant « gaspiller », « périr », « être détruit ».
C’est comme si Dieu était en train de décrire la venue d’une bénédiction et qu’il avertit celui qui ne marche pas dans ses voies et les risques qu’Il encoure : gaspiller, périr, être détruit
 

La fiancée

 
Il existe dans la Bible deux mots pour « fiancée » : « aras » et « kalah ».
 

Le mot « aras »  ארש est une racine primaire de fiancée, fiancé, fiancer, engager. Cet attribut racine représente l’engagement qui précède l’acte de fiançailles qui doit encore être consommé. A l’époque biblique, les parents engageaient verbalement leurs enfants par cet acte de pré-fiançailles jusqu’à ce vienne la période proprement dire des fiançailles.
Cet engagement se concrétise avec une cérémonie familiale où le jeune demande officiellement à son futur beau père la main de sa fille. Si le papa accepte, il y aura alors fiançailles. A ce moment là seul, la jeune fille, de « aras » qu’elle était, deviendra « kalah ».
Le jour même du mariage, le mot « kalah » prend toute sa valeur parce que tous les engagements faits par la parole se concrétisent par un acte. 
On ne parlera plus alors de hatan et kalah, mais de « époux et épouse » par l’acte posé du mariage. 
 
Le mot kalah כלה belle fille, fiancée, épouse, mariée, bru est donc un « accomplissement » en vue de quelque chose de meilleur encore.
Ce mot hébreu tire son origine d’une racine primaire du verbe ושכלול  kalal   כלל qui signifie : améliorer, compléter, parfaire, rendre parfait, mais aussi couronner, orner. La forme intensive passive Poual est « être complet ».
On retrouve encore ici les verbes « inclure », « généraliser », « fondre », « unir », « perfectionner », « marier », « sacrifier ».
 
La phrase « Quand furent écoulées les sept années de l’abondance qui régnait dans le pays d’Égypte » nous fait penser à une période à laquelle on veut arriver à un couronnement, un mariage. La période écoulée est une période au cours de laquelle un temps s’est passé qui était destiné à nous faire arriver à un but. Les sept années, chiffre divin indique que cette période est en quelque sorte programmée par Dieu.
Mais l’hébreu cache quelque chose dans ces sept années.
 
L’année, comme on le sait déjà, se dit shana et ce mot signifie « répétition » ; il vient de shanah שנה  une racine primaire qui signifie se répéter, se montrer, y revenir, porter un second (coup), se déguiser, faire une seconde fois, faire encore, différentes espèces, placer, différentes (lois), se défigurer, répliquer, contrefaire, changer, rappeler, hommes remuants, revenir, méconnaître.
 

Les trois dernières fêtes 

Nous rentrons dans les 3 dernières fêtes de la fin du cycle des fêtes annuelles bibliques que nous célébrons chaque année : hag shofarim (la fête des trompettes célébrée avec la fête « civile » juive de Rosh Hashana), hag habikkourim (hakippourim) (la fête des expiations), hag souccot (la fête des tabernacles. 
Chacune de ces « sept  années d’abondance », année après année de la « première » jusqu’à la « septième »  nous répétons ces fêtes bibliques et nous nous posons la question « pourquoi donc faut-il toujours répéter ces fêtes chaque année » ? Une seule fois ne nous aurait-elle pas suffit ? Pour quoi faire répéter ?
Dans l’accomplissement des fêtes, Dieu veut qu’il y ait un jour, une fin, un couronnement, une sorte d’apothéose.
Il ne peut y avoir un accomplissement sous forme d’apothéose s’il n’y a pas un passage pour y arriver. Les fêtes de l’Eternel avec le shabbat sont des passages obligés qui sont probablement provisoires afin de nous amener au mariage céleste.
 
Le fait de  « faire une seconde fois », « faire encore », « différentes espèces », indique que la répétition programmée est demandée à Dieu. La répétition est entièrement biblique et fait partie du mode d’enseignement de Dieu. Cet enseignement prophétique est nécessaire pour nous-mêmes car nous sommes de nature oublieuse et il est préférable de faire mieux rentrer en nous l’enseignement de Dieu.
Mais il y a plus que cela : la Bible n’est pas centrée sur nous même. Les répétitions n’ont pas uniquement un but qui nous est destiné : la répétition est une forme de préparation à un couronnement, un but final à atteindre.
 

Répéter, faire éprouver

Chaque année à l’Assemblée Beth Yeshoua, ainsi que cela se fait dans toutes les communautés juives dans le monde, nous aimons célébrer le shabbat (4ème commandement), les sept fêtes de l’Éternel en temps et en heure comme des rendez-vous que Dieu nous a fixés. Nous ne sommes pas obligés de les célébrer. Le Seigneur nous a sauvés. Le salut est accordé par la Foi en Yeshoua HaMashiah.  Mais comme le ferait Ruth la moabite, nous pratiquons ces journées de fête avec un immense plaisir, et ce : régulièrement chaque année. Les sept fêtes bibliques et aussi d’autres fêtes juives sont ainsi remémorées à chaque fois.  
 
L’écoulement des années signifie aussi « faire éprouver ». 
Le but de ces répétitions, de cet « écoulement » inexorable du temps est d’éprouver le peuple élu. Lorsqu’on a un cœur dur et que l’orgueil nous empêche d’écouter une parole, on ne supporte pas ni l’enseignement et encore moins s’il est répété. Il ne s’agit bien évidemment pas des vaines redites, prières répétées qui ne plaisent en aucune façon à Dieu.
Dieu nous connaît et les fêtes de l’Eternel sont là aussi pour briser notre orgueil, notre fierté mal placée. Le refus de célébrer année après année les fêtes de l’Eternel, le shabbat etc. sont tout simplement une révélation de l’orgueil du cœur humain.
 
Le mot utilisé pour « année » « shanah » nous rappelle constamment les choses sous différentes formes, sous différentes lois : shanah signifie : différentes espèces, placer, différentes (lois), se défigurer, répliquer, contrefaire, changer, rappeler, hommes remuants, revenir, méconnaître.
Afin de nous faire rentrer dans un processus répétitif, Dieu permet la coexistence non seulement de différentes formes, de différents points de vue, mais aussi de contrefaçons. Pour cela Il permet que dans la période répétitive, il y ait des « hommes remuants », des choses qui rendent le but à atteindre méconnaissable. 
La transformation au cours des siècles des fêtes juives et du calendrier biblique est permise par Dieu afin, d’une part d’éprouver le peuple saint mais aussi de révéler le vrai. La lumière ne peut briller quand il y a un soleil éclatant.
 
Le 29 septembre de cette année 2011, nous célébrerons le début de l’année juive. 
Nous vous souhaitons à l’avance un joyeux :
 
Shana Tova 5772 ! Bonne année  ! 
 
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