Voici une vidéo du rabbi Toni Sperandeo qui vit en Israël à Kfar Saba. Lui et son épouse Orna ont fait leur aliyah il y a plusieurs années. Avec son assemblée Ha Maayan, ils ont été sur les lieux du massacre du 7 octobre pour prier et intercéder pour que le Seigneur vienne en aide aux familles endeuillées, aux rescapés qui sont dans des états désastreux ; certains ne supportant plus leur douleur se suicident.
Ils intercèdent également afin de pouvoir pardonner, c’est loin d’être facile mais totalement admirable.
Il est important d’intercéder pour Israël et pour Gaza afin que ceux qui ne connaissent pas encore Yeshoua puissent le rencontrer.
Merci pour vos prières.

Le Pain de Vie

La pensée messianique du jour
 

La disparition progressive sur la terre, des abeilles, du miel et de la Parole de Dieu

 
Mardi 14 septembre 2010
 
abeille
Bees collecting nectar from flower
Nous avons vu dernièrement dans la fête de Rosh Hashana ce que représentaient les pommes, le miel et les abeilles dans la Bible et principalement dans l’hébreu. 
Les pommes et le miel symbolisent comme on l’avait vu : 
– La Parole de Dieu dans laquelle notre âme assoiffée peut aller puiser des forces et « boire » à la Source de la Vie
– Notre âme qui plonge dans la Parole de Dieu jusqu’à ne faire plus qu’un avec elle : ehad 
– L’homme qui plonge « dans » sa femme et avec laquelle ils ne forment plus qu’un
– Le Fils de Dieu qui vient habiter « en nous » sa Kehila (son église) 

– Le peuple d’Israël en tant que « prunelle de Dieu » qui est un avec Dieu

– Le Fils de Dieu en tant que « prunelle de Dieu » qui plonge dans le Père et ne font plus qu’un : le Davar.

Dieu nous avertit tantôt d’une manière tantôt d’une autre. Il nous a d’abord donné le terrestre pour nous faire comprendre le céleste.

Si les abeilles ne sont pas les seuls insectes à pollenniser et à nous instruire, elles le font plus que l’on ne peut se l’imaginer. L’abeille, nous nous en souvenons, se dit Devorah et vient de la racine Davar – la Parole. Devash, le miel  vient d’une racine du sens d’être gommeux, miel, rayon de miel, ou les prémices du miel c-à-d. des fruits doux, des dattes; miel des raisins, c-à-d. du moût qu’on épaissit en faisant cuire une partie. L’abeille qui a d’ailleurs 2 estomacs est le symbole de la production du miel, la Parole de Dieu.
 

La fin définitive d’une époque

 
Amos 8:11 « Voici, les jours viennent, dit le Seigneur, l’Eternel, où j’enverrai la famine dans le pays, non pas la disette du pain et la soif de l’eau, mais la faim et la soif d’entendre les paroles de l’Eternel. »
 
les vaches maigres dans le rêve du Pharaon de l'époque de Joseph représente la fin d'une période de prospérité
les vaches maigres dans le rêve du Pharaon de l’époque de Joseph représente la fin d’une période de prospérité
Ce passage d’Amos montre dans quel temps nous rentrons : un temps de famine comme la prophétie de Joseph nous l’avait annoncé : une famine de la Parole de Dieu et l’interruption de l’évangélisation.
Dans l’étude de Joseph en Egypte (voir étude dans notre site) on se souvient des rêves de Pharaon révélés par Joseph.
Lorsque des vaches maigres mangent des vaches grasses, l’hébreu révèle que la chair « basar » dont la racine signifie aussi « l’organe mâle de procréation » a été mangée : la bonne chair a été mangée par la mauvaise. C’est la famine spirituelle.
Le temps des nations est à son terme et il devient de plus en plus difficile si pas impossible de donner la vie spirituellement !
 
Les vaches grasses sont une période de temps d’évangélisation, le temps où la bonne nouvelle était prêchée disparaît ! L’amour s’est refroidi. Le peu d’évangélisation qui reste encore ne rassasie plus personne : les vaches maigres qui ont englouti les grasses sont restées maigres. L’évangile sans l’amour a perdu toute sa puissance.
On retrouve exactement la même information ici dans la nature et qui confirme la prophétie.
 
Les avertissements d’Albert Einstein 

 

 
Selon une théorie d’Albert Einstein, 
« si l’abeille disparait de la planète, l’homme n’aura plus que 4 années à vivre » 
C’est l’effondrement massif actuel des colonies d’abeilles : véritables sentinelles de l’environnement, elles sont aujourd’hui menacées, laissant présager une catastrophe écologique sans précédent. 
Depuis 2006, dans les pays industrialisés, les ruches se vident massivement sans que l’on sache vraiment comment ni pourquoi. Les chercheurs s’accordent à trouver de multiples facteurs à ce phénomène, baptisé par les Américains «syndrome d’effondrement des colonies» 
 

Le Syndrome d’effondrement des colonies d’abeilles

 
Un nouveau phénomène a débuté il y a quelques années et qui touche les abeilles. Ce phénomène a une ampleur mondiale et reste inexpliqué. Les administrations, notamment les services vétérinaires, semblent désemparés face à cette maladie émergente, faute de savoir où porter leurs efforts. Ce syndrome est jugé très préoccupant par les apiculteurs, mais aussi par de nombreux écologues, économistes et experts en raison de l’importance économique et écologique de l’abeille en tant que pollinisatrice.
 
L’abeille est généralement considérée comme une « sentinelle » bioindicatrice de l’état de l’environnement, en raison de sa présence presque partout sur terre, de sa capacité à collecter via le pollen et le nectar des doses infimes de polluants et de ce qu’elle soit facile à capturer (pour l’abeille domestique). De ce fait, le syndrome qui la touche alarme également les chercheurs.
 

Une catastrophe à l’échelle planétaire

 
Sur plusieurs sites apicoles on peut lire ces messages catastrophes :
 
Les abeilles s’éteignent par milliards depuis quelques mois. Leur disparition pourrait sonner le glas de l’espèce humaine. C’est une incroyable épidémie, d’une violence et d’une ampleur faramineuse, qui est en train de se propager de ruche en ruche sur la planète. Partie d’un élevage de Floride l’automne dernier, elle a d’abord gagné la plupart des Etats américains, puis le Canada et l’Europe jusqu’à contaminer Taiwan en avril dernier. Partout, le même scénario se répète : par milliards, les abeilles quittent les ruches pour ne plus y revenir. Aucun cadavre à proximité. Aucun prédateur visible, pas plus que de squatter pourtant prompt à occuper les habitats abandonnés. En quelques mois, entre 60 % et 90 % des abeilles se sont ainsi volatilisées aux Etats-Unis où les dernières estimations chiffrent à 1,5 million (sur 2,4 millions de ruches au total) le nombre de colonies qui ont disparu dans 27 Etats. Au Québec, 40 % des ruches sont portées manquantes. En Allemagne, selon l’association nationale des apiculteurs, le quart des colonies a été décimé avec des pertes jusqu’à 80 % dans certains élevages. Même chose en Suisse, en Italie, au Portugal, en Grèce, en Autriche, en Pologne, en Angleterre où le syndrome a été baptisé «  » phénomène «  » «  », du nom du navire dont l’équipage s’est volatilisé en 1872. En France, où les apiculteurs ont connu de lourdes pertes depuis 1995 (entre 300.000 et 400.000 abeilles chaque année) jusqu’à l’interdiction du pesticide incriminé, le Gaucho, sur les champs de maïs et de tournesol, l’épidémie a également repris de plus belle, avec des pertes allant de 15 % à 95 % selon les cheptels.
En 2007, le taux de ruches abandonnées ou presque désertées atteignait 70 % voire 80 % dans les régions et pays les plus touchés. Un quart du cheptel des ruchers des États-Unis aurait disparu rien que durant l’hiver 2006-2007 et 35 états ont été touchés selon un rapport du Congrès américain de juin 2007.
En Europe, de nombreux pays ont annoncé des pertes importantes (France, Belgique, Italie, Allemagne, Suisse (de 2003 à 2007), Espagne, Grèce, Pologne, Pays-Bas), dès l’an 2000. 
Dans les ruchers les plus touchés, jusqu’à 90 % des abeilles sont supposées mortes, car non rentrées à la ruche.
La citation « si les abeilles venaient à disparaître, l’humanité n’aurait plus que quatre années devant elle » attribuée à Albert Einstein est un cas typique de rumeur propagée dans les médias. Elle a été pour la 1ère fois énoncée en 1994 (39 ans après la mort du savant) dans un pamphlet distribué par l’Union Nationale de l’Apiculture Française. Cette phrase tient un raisonnement logique mais exagéré : sans abeilles, la pollinisation d’un grand nombre de plantes ne se ferait plus, entraînant la disparition de nombreux animaux et des effets dévastateurs sur l’agriculture.
 
Les abeilles ne sont pas les seuls insectes pollinisateurs, mais assurent néanmoins une grande part de la pollinisation de notre planète.
 
Alors, que faut-il en penser ? Faut-il se désespérer de la disparition des abeilles autant que la disparition de la Parole de Dieu ? Cette Parole de Dieu est et sera toujours là. Mais est-ce que l’Esprit Saint touchera encore des âmes ? Seul Lui donne Vie à sa Parole.
 

Les essaims d’abeilles disparaissent

 
En hébreu, un essaim se dit : edah et est une « assemblée », une « troupe », des « anciens d’Israël », une « maison », une « bande », « peuple », un « rassemblement », une « communauté » (spécialement du peuple d’Israël) 
Le mot essaim a sa racine dans ed dans le sens originel d’attache; de témoin, témoignage, témoigner, évidence (des choses). 
Ce mot est une contraction d’une racine primaire oud  -déclaration (formelle), défense expresse, avertir, déclarer, prendre à témoin, conjurer, avertissement, déposer, adresser, témoignage, rester debout, soutenir.
 
L’essaim est considéré comme l’image d’une assemblée, d’une communauté qui avertit le monde, qui prend à témoin, qui témoigne, qui reste debout, protester, affirmer solennellement, avertir, exhorter ou enjoindre expressément, réprimander. 
 
Un seul texte biblique nous parle d’un essaim
Juges 14:8  Quelque temps après, il se rendit de nouveau à Thimna pour la prendre, et se détourna pour voir le cadavre du lion. Et voici, il y avait un essaim d’abeilles et du miel dans le corps du lion.
Les abeilles sont souvent considérées comme un instrument de Dieu pour punir ou pour fortifier le peuple. 
 
Lorsqu’on voit dans la fête traditionnelle de Rosh Hashana, la révélation de l’âme qui plonge dans la Parole de Dieu (les  pommes trempées dans le miel), on peut voir aussi dans le corps du Lion tué, un autre symbolisme : celui du Lion de Judah sacrifié pour le pardon de nos péchés, ce Lion duquel on sort le miel de la Parole de Dieu. Lorsque Samson a tué le lion, c’est aussi prophétiquement que l’on y voit le sacrifice du Fils de Dieu. Lorsque Samson prend ce miel dans ces mains l’hébreu dit qu’il domine, qu’il règne en souverain, qu’il donne la victoire, qu’il assujettit ses ennemis radah une racine primaire de dominer, traiter, régner en souverain, triompher, donner la victoire, prendre, surveiller, fouler aux pieds, subjuguer, assujettir, dévorer. Lorsqu’il met ce miel dans ses mains, dans ses « kaphim » (sing.kaph) la racine primaire de ce mot kaphaph nous parle de « se courber », « s’humilier », « plier », « courber », « se pencher ». 
Le geste de recueillir humblement la Parole de Dieu dans les paumes de nos mains est un acte qui annonce une victoire.
 
Proverbes 15:33 « La crainte de l’Eternel enseigne la sagesse, et l’humilité précède la gloire. »
 
Proverbes 18:12  « Avant la ruine, le cœur de l’homme s’élève; mais l’humilité précède la gloire. »
 
Cette victoire nous donne la force de tailler en pièces nos ennemis et nos difficultés. Ces difficultés sont des épreuves qui nous sont données par Yeshoua Lui-même, la Parole Vivante de Dieu, le Davar, le Devash (miel) de Dieu.
Mais ce miel, cette Parole n’intéresse plus les hommes. La révélation prend fin. La Kehila sera bientôt enlevée, l’Esprit Saint ne parlera plus au coeur des hommes dont le coeur est devenu trop dur pour écouter Dieu.
 
Psaumes 118:12  Elles m’environnaient comme des abeilles; elles s’éteignent comme un feu d’épines; au nom de l’Eternel, je les taille en pièces.
Esaïe 7:18  En ce jour-là, l’Eternel sifflera les mouches qui sont à l’extrémité des canaux de l’Egypte, et les abeilles qui sont au pays d’Assyrie;
 
Amen

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