Voici une vidéo du rabbi Toni Sperandeo qui vit en Israël à Kfar Saba. Lui et son épouse Orna ont fait leur aliyah il y a plusieurs années. Avec son assemblée Ha Maayan, ils ont été sur les lieux du massacre du 7 octobre pour prier et intercéder pour que le Seigneur vienne en aide aux familles endeuillées, aux rescapés qui sont dans des états désastreux ; certains ne supportant plus leur douleur se suicident.
Ils intercèdent également afin de pouvoir pardonner, c’est loin d’être facile mais totalement admirable.
Il est important d’intercéder pour Israël et pour Gaza afin que ceux qui ne connaissent pas encore Yeshoua puissent le rencontrer.
Merci pour vos prières.

 
Lundi 19 juillet 2010
 
La nouvelle naissance est l’acte miraculeux, divin, par lequel l’Esprit de Dieu, la Rouah HaKodesh, le « Souffle » de Dieu met la Vie et la Nature de Dieu dans l’homme qui se repent de tous ses péchés (Jean 3 :5).
Ce prodige a comme conséquence un changement radical de la nature entière et du caractère. Tout comme le mot « régénération » l’indique, c’est un rétablissement de ce que le péché avait détruit depuis Adam et Eve.
Cette métamorphose dont l’acteur principal est le Saint Esprit, fait de l’homme qui le reçoit, un enfant de Dieu (Jean 1 :12s), un citoyen du royaume de Dieu (Jean 3 :5). (*) On naît naturellement « créature de Dieu » mais on devient par la Foi uniquement, « enfant de Dieu ».

 

Quelques signes visibles

 

Quelques signes visibles extérieurs et intérieurs apparaissent chez la personne née de nouveau : extérieurement, elle dégage « quelque chose » de différent qu’elle n’avait pas avant, elle semble plus franche, elle communique plus d’amour à son prochain, elle ne ment plus, elle ne vole plus, elle ne cherche plus son propre intérêt, elle ne blague plus comme avant. Sans trop comprendre pourquoi au début, la personne née de nouveau découvre la Bible avec ferveur et avec passion.
Intérieurement la personne née de nouveau reçoit une joie intérieure ineffable qu’elle ne peut expliquer : elle a l’assurance du salut et de la Vie éternelle, elle « sait » qu’elle est réconciliée avec Dieu et qu’elle a reçu le pardon de Dieu. Si on lui demande de prouver sa Foi, elle ne le peut. Sa force ne se trouve pas dans sa connaissance de la Bible ou de la théologie mais dans ce « quelqu’un » qui vit en elle!
La personne née de nouveau n’est pas devenue théologienne mais elle est devenue témoin. 
Une curieuse analogie nous est donnée avec la grossesse.
« Par sa divine puissance, les promesses les plus précieuses et les plus grandes nous sont données afin que par elles, nous devenions participants de la nature de Dieu » (2 Pierre 1 :4), (Colossiens 3 :10).
Devenus enfants, nous devenons aussi héritiers de Dieu et cohéritiers avec le Messie (Romains 8 :17). Quand on parle de la nature de Dieu, on voit d’abord son amour, sa sainteté et sa justice. Ainsi l’homme régénéré est saint (1 Corinthiens 3 :17), amour (1 Jean 4 :7)  juste et apte pour faire partir du royaume des sacrificateurs, le sacerdoce royale. (Apocalypse 1 :5s) ; (1 pierre 2 :9).
Pour comprendre la nouvelle naissance il nous faut réaliser la Nature même de Dieu.

La grossesse 

La grossesse est le processus physiologique au cours duquel la progéniture vivante d’une femme se développe dans son corps, depuis la conception jusqu’à ce qu’elle puisse survivre hors du corps de la mère.
La grossesse commence avec la fécondation de l’ovocyte par le spermatozoïde, d’où résulte la création d’une cellule œuf, qui va se diviser jusqu’à devenir un embryon, puis un fœtus. Elle se poursuit jusqu’à la naissance.
La grossesse dure environ 39 semaines, entre la fécondation et l’accouchement. Elle se divise en trois périodes de trois mois chacune, communément appelées trimestres.
Mais pour des raisons de convention on parle en semaines d’aménorrhée soit 41 semaines (correspondant à 39 semaines de gestation plus 2 semaines entre le premier jour des dernières règles et la fécondation), ou encore en mois de grossesse. (**)

 

L’alliance et la naissance : une image du terrestre et du céleste

 

Dans le texte hébraïque, la naissance vient du mot yalad une racine primaire « enfanter, engendrer, naissance, avoir, né, accoucher, faire, sage-femme, être issu, faire des petits, nouveau-né, femme en travail, fécondé, donner la vie, mettre bas, pondre, s’exécuter » . Un enfant se dit « yeled » et la présence du Fils de Dieu se retrouve dans la naissance avec le Yod (la Main de l’Eternel, la première lettre du tétragramme de Dieu), le Lamed (l’enseignement de la Parole de Dieu) et le Dalet (Yeshoua a dit « Je suis la Porte, celui qui entre par Moi sera sauvé).
Celle nouvelle naissance miraculeuse hadashah yalad correspond à une nouvelle alliance de Dieu avec son peuple : non une alliance « renouvellée » mais une « nouvelle » alliance tout comme la naissance n’est pas une « correction » ou un « renouvellement » de la vie : c’est une nouvelle vie, une autre vie, une vie d’une autre nature!
Cette nouveauté d’alliance et de vie possède une autre « nature » que la première. La première servait de « pédagogue » pour nous faire comprendre celle qui viendrait plus tard. De même que les anciennes alliances de Dieu avec son peuple devaient amener celui-ci à l’alliance parfaite et définitive en Yeshoua, la naissance naturelle terrestre doit nous montrer la nouvelle naissance spirituelle. « Et de même que nous avons porté l’image du terrestre, nous porterons aussi l’image du céleste. » (1Corinthiens 15:49)
Dans la nouvelle naissance par Yeshoua comme dans la nouvelle alliance en Yeshoua, dans l’hébreu Yalad Hadashah et ברית חדשׁה Berit Hadashah, on retrouve outre la lettre « shin » de El Shaddai » et la lettre « Dalet » (la porte), on retrouve surtout la lettre «  » ה de la vie : une pour la postérité selon le sable de la mer (Les enfants de Yakov) et une à la fin du mot pour la postérité selon les étoiles du ciel (l’Israël de Dieu).  
 

Une activité respiratoire autonome

 
Lorsque le bébé vient à la vie lors de l’accouchement, était-il mort dans le ventre de la mère avant de naître ? Non, le bébé vivait déjà pendant 9 mois avant de venir au monde. Tout comme l’enfant était en formation dans le corps de la femme, l’enfant nouveau né est en préparation dans le coeur de Dieu. 
Lors de l’accouchement, à un moment donné, il est expulsé sans avoir choisi le moment lui-même. Les choses se sont mises naturellement en route selon un processus tout-à-fait naturel. Tout comme le corps de la mère va expulser l’enfant, Dieu va « expulser » l’enfant nouveau né lors de la « nouvelle naissance ».
Puis on entend des cris, des pleurs. Ces cris ont un but : rechercher l’air pour provoquer une activité respiratoire autonome.
Pour naître de nouveau, il nous a fallu recevoir d’abord l’Esprit Saint par la Foi et selon Jean 3 :8 le « vent » est la respiration, le Souffle (Rouah HaKodesh) de Vie de Dieu, qui vient habiter en nous, renouvelle notre intelligence, nos pensées, nos sentiments, nos intentions. L’Esprit communique à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu de même l’enfant qui naît connaît sa mère et son père sans qu’on le lui ait dit. La respiration « rouah » du croyant est communiquée par le souffle « Rouah » de Dieu. Les poumons qui se développent à l’intérieur de l’enfant sont comme nos poumons spirituels avec lesquels nous apprenons à prier. La prière et l’adoration est la respiration du croyant : arrêtez de respirer et vous verrez ce qu’il adviendra de vous ! De la même façon que les cris et les pleurs développent les poumons de l’enfant, la prière et les soupirs inexprimables développent l’enfant pour l’amener à la « stature parfaite du Messie » : l’enfant sera appelé alors un père ou une mère spirituel.
 
Jean 3 : 3 Yeshoua a dit : « En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu. »
Jean 1 :12 « Mais à tous ceux qui l’ont reçue, à ceux qui croient en son nom, elle a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu, » 

 

Un gène active la respiration du bébé pour passer à l’air libre (***)

 

Un gène qui permet au nouveau-né de passer brutalement du milieu aquatique dans le ventre maternel à la vie à l’air libre et de respirer pour survivre, a été identifié par des chercheurs français.

Leurs travaux, publiés dans The Journal of Neuroscience, ouvrent des perspectives pour mieux comprendre les troubles de la respiration chez l’homme depuis les apnées du sommeil jusqu’à la mort subite du nourrisson, principale cause de mortalité des nouveau-nés dans les pays occidentaux, selon le Centre national français de la recherche scientifique (CNRS).

On se demandait en effet comment les mammifères se préparent, in utero, pour modifier radicalement leur respiration au moment de leur naissance, et passer ainsi d’une vie intra-utérine aquatique à l’autonomie aérienne.

Des chercheurs du CNRS, en collaboration avec les universités de la Méditerranée, Paris-Sud 11 et Paul Cézanne, en identifiant, chez la souris, un gène indispensable à la respiration et, par conséquent, à la survie à la naissance, apportent une réponse. Chez les mammifères, le foetus se développe dans un milieu liquide où le cordon ombilical est la source d’oxygène et les fonctions pulmonaires sont pratiquement absentes.

On sait déjà que plusieurs circuits de neurones interviennent dans la respiration néonatale chez les mammifères. Dans une zone du cerveau postérieur, le « groupe para-facial respiratoire » regroupe ainsi des neurones qui impriment un rythme (comme un « pacemaker ») à l’origine de mouvements respiratoires automatiques. Les nouveau-nés de souris chez lesquelles le gène Tshz3 ne fonctionne pas sont incapables de respirer et meurent à la naissance. (belga)  

Une intervention extérieure

Pour que l’enfant puisse débuter cette respiration il faut simultanément couper le cordon ombilical : c’est une intervention indépendante de lui.
Cette coupure du cordon provoque la nécessité de la respiration et de l’alimentation. Auparavant, l’enfant était alimenté par le cordon : maintenant cette alimentation se fera d’une toute autre manière : il est donc nécessaire de couper ce cordon qui le relie à la mère qui, jusqu’à présent le nourrissait.
Ses poumons ne fonctionnaient pas, l’enfant n’avait pas besoin de respirer dans le ventre de sa mère. Maintenant il doit crier, pleurer pour provoquer le processus de la respiration, et plus tard, pour développer sa voix et ses poumons. Ses pleurs et ses cris sont très importants pour le développement de ses poumons.
Pour la nouvelle naissance, seule une décision extérieure, celle de Dieu agira pour faire naître quelqu’un de nouveau. C’est par une décision de Dieu seul. L’homme se trouve confronté avec la réalité du Messie sur la croix par la découverte de la justification et de la sanctification
 

Une modification dans la nature même

La personne qui est née de nouveau est une « nouvelle créature »
L’apôtre Paul disait dans son épître aux Corinthiens : « Si quelqu’un est dans le Messie, il est une nouvelle créature, les choses anciennes sont passées, voici toutes choses sont devenues nouvelles, et tout cela vient de Dieu qui nous a réconcilié avec lui par Yeshoua le Messie. » 
Du stade de fœtus, le petit être est passé au stade de l’enfant et le retour en arrière est absolument impossible. Être les deux,  un fœtus et en même temps un enfant est tout aussi impossible.
L’enfant a eu un changement de nature, ses poumons commencent à se développer, sa manière de vivre dépend maintenant de sa capacité de respirer. Sa façon de s’alimenter par la bouche est toute différente et n’a plus rien de commun avec son mode d’alimentation précédente : par le ventre.
Aujourd’hui l’enfant est devenu à l’image de Dieu une bouche qui parle. Dieu est « La Parole » et nous avons été créés des êtres de communication qui parlons avec notre Dieu et avec notre prochain.
Du stade de muets, aujourd’hui nous parlons et nous prions.
Dieu nous a donné une bouche pour prier, pour l’adorer : c’est la première fonction de la bouche : adorer Dieu. 
Le retour en arrière signifie la MORT !
Si, du stade du développement des poumons on aurait voulu revenir en arrière au stade de fœtus dépendant de la mère comme le font certains guérisseurs ou médiums, l’enfant mourrait alors instantanément par noyade. Si nous revenons en arrière, notre âme se remplit de démons et nous mourrons spirituellement.
 

Production du liquide amniotique

Lors de la grossesse, à l’abri des regards, le liquide amniotique qui contient le fœtus est constamment renouvelé. Il est constitué d’eau, mais contient aussi des cellules fœtales (desquamation) et amniotiques, de l’urine fœtale. 
Le volume du liquide amniotique est à tout moment un équilibre entre les structures produisant ou autorisant son passage dans la cavité amniotique (chorion et membranes, peau, arbre respiratoire, et appareil urinaire) et celles concernées par la réabsorption (tube digestif, appareil respiratoire, interface amnios-chorion sur la paroi utérine.
A l’abri des regards des hommes, la nouvelle naissance en préparation dans le coeur de Dieu est invisible mais est bien réelle : elle est agissante par la FOI.
 
Au premier trimestre, seule une diffusion par l’amnios et le chorion accolés est réelle, comme en témoigne l’absence ou non d’un embryon vivant.
Au milieu et en fin de premier trimestre la peau est déterminante car elle ne contient que quatre couches cellulaires, avec une kératinisation vers 24-26 semaines.
L’enfant qui voudrait revenir en arrière dans le ventre de sa mère pour s’y noyer arriverait à un constat : la poche des eaux s’est rompue. Le liquide amniotique s’est vidé à la naissance lorsque les contractions de l’utérus ont percé le sac amniotique.
A supposer même qu’il en serait restée, l’évaluation de la quantité de liquide amniotique est une composante indispensable de l’évaluation du bien être fœtal et le moindre déséquilibre aggraverait l’état de l’enfant.

 

Un acte unique

 

La nouvelle naissance est produite par le sacrifice du Fils de Dieu.
Cet acte est unique : il est impossible de revenir en arrière et de cruxifier Yeshoua une deuxième fois.
Si la femme a perdu toutes ses eaux lors de l’accouchement, Yeshoua a perdu tout son sang pour nous donner la Vie éternelle. Il a présenté son sang au Père comme preuve de notre rachat. La perte des eaux d’une femme est le signe de la naissance.
 

La Justification

Si l’enfant essayait de retrouver son ancienne vie, il y aurait alors une sanction immédiate : la mort ! Il est impossible d’arrêter de respirer et de replonger dans le liquide.
La nouvelle naissance est la justification par la Foi en Yeshoua et elle est irréversible et totale.
Dieu a dit à Adam « 16 L’Eternel Dieu donna cet ordre à l’homme: tu pourras manger de tous les arbres du jardin; 17  mais tu ne mangeras pas de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras. »
Adam, par sa désobéissance a été coupé de sa relation d’avec Dieu.
L’homme naturel appartient au royaume des ténèbres. Il est:
– fils de rébellion (Ephésiens 2:2)
– enfant de colère (Ephésiens 2:3)
– enfant de ce siècle (Luc 16:8)
– enfant du Diable (1 Jean 3:10, Jean 8:44)
– pratiquant des œuvre de la Chair (Romains 8:8s).
Le Messie nous a justifiés : cela signifie qu’il nous a rendus comme si nous n’avions jamais péché. Il nous a coupés de l’esclavage du passé. Nous n’avons plus à être nourris artificiellement et si nous péchons, c’est par un choix délibéré !
Cette notion de justification est importante. Le Mashiah Yeshoua nous a libérés et il a rompu le canal  – le cordon ombilical – qui nous reliait au péché.
– Par rapport à la relation au péché nous avons été justifiés
– Par rapport à notre nature, nous sommes sanctifiés
Devant un arbre qui a des mauvais fruits, j’ai deux choix devant moi : 
– soit je choisis tous les fruits puis je les jète après m’apercevant qu’ils sont mauvais
– soit je change de stratégie en modifiant la nature de mon arbre en coupant les mauvaises branches, en soignant d’abord la maladie, etc.
 
Yeshoua change notre nature interne. La justification sans la sanctification n’est pas possible : l’un va avec l’autre. Mashiah à la croix nous a justifiés ET sanctifiés.
 

La sanctification

La sanctification vient du terme « saint » et ne signifie pas seulement « mis à part ». Nous sommes saints PARCE QUE Dieu est SAINT, parce que c’est sa NATURE.
Dieu est Saint, c’est sa nature. Il est comme ça. Il ne peut pas changer sa propre nature pour s’adapter à nous. 
 
Quand le sacrificateur répand le sang, il y a des étapes. Sans celles-ci, c’est la mort.
Selon Hébreux 10 :10 « C’est en vertu de cette volonté que nous sommes sanctifiés, par l’offrande du corps de Yeshoua HaMashiah, une fois pour toutes. »
Nous ne portons plus de culpabilité car la sanctification purifie tant l’intérieur que l’extérieur et à l’intérieur, notre nature est renouvelée, nous avons un autre aspect extérieur. AMEN !
 
Toute la Bible est témoignage de l’intérieur vers l’extérieur : 
– L’immersion est un témoignage extérieur du salut intérieur 
– L’immersion est un témoignage extérieur de ce qu’on vit à l’intérieur
 

Inutilité de la sanctification extérieure

La sanctification extérieure n’est qu’orgueil et ne sert à rien ! Les pharisiens qui se sanctifient, les religieux qui respectent la loi, ceux qui obéissent aux commandements et aux préceptes et qui n’ont pas d’abord été lavés à l’intérieur, ces personnes perdent leur temps.
Si les hommes veulent avoir des enfants ils peuvent avoir toutes les relations qu’ils veulent avec des femmes mais c’est Dieu qui va donner la vie. Il est Souverain. C’est lui qui donne la vie à qui Il veut.
 
«Chaque créature a une certaine nature appropriée à son espèce et déterminée par sa naissance. Cette nature, que l’animal reçoit de ses parents, détermine dès le début les capacités et la sphère de vie de l’animal. La taupe ne peut pas s’élancer vers le soleil comme l’aigle; pas plus que l’oiseau sorti d’un œuf d’aigle ne peut fouir comme la taupe. Aucun entraînement ne pourra faire que la tortue soit aussi rapide que l’antilope ou que l’antilope soit aussi fort que le lion. Aucun animal ne peut agir au-delà de sa nature ». (Marcus Dods) 
 
Ce principe peut s’appliquer à l’homme. Seule la génération spirituelle, acte soudain et mystérieux est capable de changer la condition et la position de l’homme. Si cette nouvelle nature lui confère des droits ne lui confère-t-elle pas aussi un devoir ? Celui qui consiste à maintenir son contact avec Dieu par les divers moyens de grâce et ainsi de persévérer et de nourrir sa vie spirituelle. (http://vim-n-yiida.ifrance.com/vim4.htm)
 
Yeshoua veut transformer radicalement notre intérieur « Vous serez saints parce que Je suis Saint » et la forme hébraïque utilisée dans la conjugaison du verbe n’est pas un futur mais un impératif « Soyez saints parce que je suis Saint ! »
Le processus de la sainteté est une irruption de la Sainteté de Dieu en nous !
Dans Hébreux 10 :10 « C’est en vertu de cette volonté que nous sommes sanctifiés »
Le mot hébreu sanctifiés qadash provient d’une racine primaire « sanctifier, consacrer, purifier, purification, saint, sainteté » et le mot « consacré » suppose « être consacré à une utilisation unique » par la mort du Messie.
 
Dans Exode 20 :10, lorsque Dieu consacre le septième jour du shabbat, Il montre qu’il est impossible d’être consacré en même temps à Dieu et à autre chose comme le péché. En cas de chute, il faut alors se RE-consacrer. Dieu nous pardonne autant de fois qu’il le faut sans faire distinction entre petits et grands péchés : le péché c’est se prendre pour Dieu.
Le choix qu’aura l’enfant et quelle liberté il choisira, sera le choix entre deux esclavages : être esclave de Dieu ou être esclave de Satan.
 
Quand je suis justifié et sanctifié, j’ai des devoirs plus que des droits. Si Dieu a refusé le sacrifice de Caïn, c’est pour deux raisons : la première c’est que le sacrifice que Dieu avait demandé c’était l’offrande d’un agneau pur et sans tache sur l’autel et non l’offrande de son travail, et la deuxième raison c’est que Dieu lisait dans les pensées de jalousie de Caïn.
 
La sanctification ne doit pas être une fuite du péché mais un élan vers Dieu : la fuite est la conséquence et l’élan est le but.
 
Liens

** http://www.addictopedia.com/grossesse.php

*** http://www.7sur7.be/7s7/fr/1506/Sciences/article/detail/1134998/2010/07/19/Un-gene-active-la-respiration-du-bebe-pour-passer-a-l-air-libre.dhtml

A157 Les fêtes juives et les étapes du développement de l’enfant avant la naissance. : http://www.latrompette.net/post/A157.grossesse.htm 

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