Voici une vidéo du rabbi Toni Sperandeo qui vit en Israël à Kfar Saba. Lui et son épouse Orna ont fait leur aliyah il y a plusieurs années. Avec son assemblée Ha Maayan, ils ont été sur les lieux du massacre du 7 octobre pour prier et intercéder pour que le Seigneur vienne en aide aux familles endeuillées, aux rescapés qui sont dans des états désastreux ; certains ne supportant plus leur douleur se suicident.
Ils intercèdent également afin de pouvoir pardonner, c’est loin d’être facile mais totalement admirable.
Il est important d’intercéder pour Israël et pour Gaza afin que ceux qui ne connaissent pas encore Yeshoua puissent le rencontrer.
Merci pour vos prières.

Les nations impies qui sont éloignées du Dieu d’Israël ont besoin de leurs veaux d’or. Le peuple juif n’en n’est pas exempt puisque certaines formes du judaïsme superstitieux utilisent des talisman et base sa relation avec Dieu sur la Cabbale mystique ou sur d’autres concepts païens. 
La hamsa : nom provenant des mots hébreu (חמסה) et arabe (خمسة) désignant le chiffre cinq. Ce symbole servait d’amulette, de talisman ou de bijou par les habitants du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord de toutes confessions (juifs séfarades, musulmans, et chrétiens) pour se protéger contre le mauvais œil. Le symbole du pendentif Hamsa est connu dans les sociétés islamiques en tant que main de Fatima ou œil de Fatima ; et on l’appelle la main de Myriam ou main de Hamesh dans la tradition juive (Hamesh est le nombre cinq en hébreu).  
Le Hamsa est utilisé comme un ancien talisman qui détourne le mauvais œil et attire la « main protectrice » ou la  « main de Dieu ». 

Ce pendentif Hamsa est orné des lettres hébraïques « Samech », « Alef » et « Lamed » tirées des 72 noms Sacrés de Dieu – une combinaison employée pour l’abondance. Dans le monde entier, la hamsa est un signe très populaire dans la religion juive. En général, la hamsa est représentée par une main avec 5 doigts. 
Le nom de la hamsa (khamsa) vient du mot hébreu « hamesh » qui est la traduction de « cinq » et il est très ancien au Moyen-Orient.
Bien que la hamsa soit un ancien symbole, elle est encore très populaire aujourd’hui et on l’achète pour pouvoir donner des pouvoirs magiques de protection, de bonheur et de prospérité.
Les juifs étaient les premiers à adopter la hamsa contre le mauvais œil.
La hamsa apparaît dans les maisons juives, musulmanes et même chrétiennes. 
La hamsa est un signe multiple que l’on peut porter comme pendentif, en bracelet ou même accrocher au mur comme ornement qui amène bonheur et réussite.
Le mot « hamsa », signifie cinq. Le numéro cinq est un puissant nombre symbolisant la protection, la puissance et de la bonne fortune. La cinquième lettre de l’alphabet hébreu est « Hey », qui signifie « Adoshem » (Dieu).
Une autre hamsa est dans la religion juive, « Hamsat Hacohanim » soit la hamsa des Cohanim. Cette hamsa qui représentait la lette « chin), soit le mot (shaday) ce qui veux dire TOUT-PUISSANT.
(Sources internet)    C.D
 
La Bible considère ces choses comme des abominations et plusieurs passages nous avertissent.
 
« 10 Qu’on ne trouve chez toi personne qui fasse passer son fils ou sa fille par le feu, personne qui exerce le métier de devin, d’astrologue, d’augure, de magicien, 11  d’enchanteur, personne qui consulte ceux qui évoquent les esprits ou disent la bonne aventure, personne qui interroge les morts. 12 Car quiconque fait ces choses est en abomination à l’Eternel; et c’est à cause de ces abominations que l’Eternel, ton Dieu, va chasser ces nations devant toi. 13  Tu seras entièrement à l’Eternel, ton Dieu. 14  Car ces nations que tu chasseras écoutent les astrologues et les devins; mais à toi, l’Eternel, ton Dieu, ne le permet pas. » (Deutéronome 18:10-14)
 
« eux qui disent à un morceau de bois : Tu es mon père ! et à une pierre : Tu m’as engendré ! Car ils ne m’ont pas présenté leur face, mais leur dos ; et quand ils sont dans le malheur, ils disent : Lève–toi, sauve–nous ! » (Jérémie 2:27) 
 
« Tous, sans exception, sont abrutis et stupides. L’instruction des futilités, ce n’est que du bois ! » (Jérémie 10:8) 
 
« Car le roi de Babylone s’est placé au carrefour, au croisement des deux chemins, pour pratiquer la divination : il secoue les flèches, il interroge les teraphim, il examine le foie. » (Ezékiel 21:21) 
 
« Quel malheur pour celui qui dit à un morceau de bois : « Lève–toi ! », à une pierre silencieuse : « Eveille–toi ! » –– Va–t–elle enseigner ? Elle est plaquée d’or et d’argent, mais, en elle, pas le moindre souffle. »  (Habakuk 2:19) 
 
« Mon peuple consulte son bois, Et c’est son bâton qui lui parle; Car l’esprit de prostitution égare, Et ils se prostituent loin de leur Dieu. » (Osée 4:12) 

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