Voici une vidéo du rabbi Toni Sperandeo qui vit en Israël à Kfar Saba. Lui et son épouse Orna ont fait leur aliyah il y a plusieurs années. Avec son assemblée Ha Maayan, ils ont été sur les lieux du massacre du 7 octobre pour prier et intercéder pour que le Seigneur vienne en aide aux familles endeuillées, aux rescapés qui sont dans des états désastreux ; certains ne supportant plus leur douleur se suicident.
Ils intercèdent également afin de pouvoir pardonner, c’est loin d’être facile mais totalement admirable.
Il est important d’intercéder pour Israël et pour Gaza afin que ceux qui ne connaissent pas encore Yeshoua puissent le rencontrer.
Merci pour vos prières.

Un traité émanant des Editions de l’Appel de Minuit » de Wim Malgo avec l’autorisation de l’équipe. 

La présente mise en garde ne concerne en aucune manière ceux qui pleurent des êtres chers passés par la crémation, car ce qui est fait est fait. Nous désirons plutôt proposer ce traité à l’attention de ceux qui envisagent de se faite incinérer après leur mort.

Il existe des associations qui recommandent la crémation avec force arguments à l’appui. Nous devons absolument mettre en garde contre l’incinération des morts, quelles qu’en soient les circonstances. Notre devoir est d’insister avec le plus grand sérieux : sachez que la crémation est antiscripturaire, elle est une abomination devant Dieu, car l’élément « feu », si utile, voire indispensable à la conservation de la vie terrestre, est, dans la Bible, une image du jugement divin.

Le saint feu du ciel est tombé… 
        – sur les chefs de cinquantaine (2Rois 1,10) 
        – sur les brebis et les serviteurs (Job 1:16) 
        – sur l’Egypte (Ex 9:23) 
        – sur Sodome et Gomorrhe (Gen 19:24) 
        – sur Nadab et Abihu (Lév 10:2) 
        – sur la troupe de Koré (Nombre 16:35) 
        – sur les israélites qui murmuraient (Nombres 11:1)  
           
Des impies en furent menacés (Osée 8:14, Jér 17:27, Amos 7:4)

L’affreuse coutume de la crémation, nous la trouvons chez les païens, mais aussi chez les israélites qui étaient tombés dans l’idolâtrie: ils faisaient passer leurs fils par le feu en hommage à Moloch (Deut 12:31, Ez 20:31, 2Rois 16:3, 17:17, 21:6).

Si nous lisons attentivement 1 Corinthiens 15, nous comprenons mieux encore toute l’abomination qu’il y a à brûler les cadavres. Inspiré par l’Esprit Saint, Paul y affirme que le corps terrestre semé corruptible ressuscite incorruptible (V42-44). Cela signifie que dans le corps mortel se trouve une semence spirituelle, non analysable du point de vue matériel, mais pourtant si réelle et si forte que son immortalité se manifeste à la résurrection (Phil 3:21).

Dans la même ligne de pensée, nous rappellerons ce que notre Seigneur a dit de Son propre corps :  » En vérité, en vérité je vous le dis, si le grain de blé qui est tombé en terre ne meurt, il reste seul: mais s’il meurt, il porte beaucoup de fruit  » Jean 12:24.

Si l’esprit et l’âme de quelqu’un entrent dans le royaume des morts à son décès – soit au paradis dans la gloire, soit dans la nuit éternelle dans l’attente du jugement dernier – ils restent cependant, selon le net enseignement de l’Ecriture, attachés par des liens invisibles à leur corps inhumé jusqu’à la résurrection. Quiconque se fait incinérer s’insurge d’une manière sacrilège contre l’ordonnance divine. Cela ne restera évidemment pas impuni.  

Le roi Josias a détruit le premier crématorium (2 Rois 23:10); et dans l’Ancienne Alliance, les partisans de l’incinération furent punis par Dieu « parcequ’ils avaient brûlé, calciné les os du roi Edom (Amos 2:1-3).

Que l’on lise également avec attention le verset 3 du chapitre 6 du livre de l’Ecclésiaste : « Quand un homme aurait cent fils, vivrait un grand nombre d’années, et que les jours de ses années se multiplieraient, si son âme ne s’est point rassasiée de bonheur, et si de plus il n’a point de sépulture, je dis qu’un avorton est plus heureux que lui ». Cette affirmation biblique est absolument claire : quiconque se fait incinérer « n’a point de sépulture » , car qui dit « tombeau » dit « cadavre ».  Dans son livre  » Merveilles de l’âme », le professeur Dr Karl Ludwig Schleich décrit la semence spirituelle, dont question ci-dessus, en ces termes : 

« Elle est le noyau nucléaire de la cellule, cette concentration du germe protoplasmique de la cellule qui doit être considérée comme une espèce d’organe central, un cerveau, une âme de la cellule, semblable au jaune de l’oeuf, comme la partie essentielle des unités vitales microscopiques. Ces dernières, le noyau nucléaire, restent en vie dans n’importe quelles circonstances; il n’y a pas de mort pour elles, mais seulement un état latent comme celui des spores, une attente, un certain sommeil, jusqu’à ce qu’elles refassent valoir leurs petites énergies immortelles dans un merveilleux cycle de vie par un transfert de rythmes.(1)

Aucune digestion, aucun ferment, aucun acide (pas trop fort cependant), rien ne peut détruire leur vie presque cristallisée. Seul le feu les dissout ! Mais tel est le dessein de la nature. Par conséquent, la mort des cellules par les flammes est absolument contre nature. Il faut interdire à tout prix la crémation qui est une des plus graves erreurs de la civilisation !

Chaque noyau nucléaire qui se libère dans le sol porte et conserve quelque chose de l’être physique et psychique du corps en décomposition. Il y a donc un cycle de vie, un principe d’immortalité dans l’organisation corporelle.

Voilà les raisons pour lesquelles nous considérons l’incinération comme une acte absurde… » fin de citation.

Ainsi parle un savant. S’il abhorre l’incinération pour des raisons scientifiques, nous, nous fondons notre rejet sur la Parole de Dieu. Ce qu’il affirme ici s’inscrit dans la ligne de 1 Corinthiens 11:14 : » La nature même ne nous enseigne-t-elle pas …? « 

Quelqu’un d’autre qui se place dans l’optique de la foi interprète comme suit la grande vérité selon laquelle le corps contient une semence :  » le grain de blé déposé dans la terre germe et produit une tige, puis un épi, et porte enfin du fruit : mais s’il est brûlé, ce processus est impossible. Invisible à l’oeil et inaccessible au scalpel, se trouve dans notre corps :  une fois mis en terre, elle mûrira en résurrection. Mais la crémation la détruit d’une manière sacrilège; elle est, dès lors, un système satanique de destruction fort raffiné ! »

C’est à dessein que je m’en tiens à la seule Parole de Dieu et ne m’arrête pas aux témoignages, crédibles certes, portant sur les souffrances de ceux qui se font brûler sciemment, volontairement. Mais que le puissant archange Michel ait disputé à Satan le corps de Moïse (Jude 9), cela prouve que notre corps, après le départ de l’âme et de l’esprit, doit échapper à l’incinération.

Plusieurs soulèveront cette objection : mais qu’en est-il des martyrs qui ont été brûlés à cause de leur foi? Nous leur répondrons : ils sont de ceux qui, par amour pour Jésus, ont été privés de leur vie par la violence. En Matthieu 3:9, le Seigneur dit aux pharisiens et aux scribes :  » … de ces pierres-ci, Dieu peut susciter des enfants à Abraham « . Jésus-Christ , qui a prononcé ces paroles, est celui qui donnera à chacun de Ses martyrs, Ses témoins, un corps de résurrection. N’a-t-il pas merveilleusement délivré Ses trois fidèles serviteurs de la fournaise ardente de Nebucadnetsar ? ( Dan 3:19-27, Isaïe 43:2).  

La chose se fera également pour ceux qui sont devenus introuvables à la suite d’incendies, d’explosions, d’accidents par acides particulièrement mordants. Il en ira de même pour ceux qui, aux temps des nazis, ont brûlé dans des fours à gaz, ou encore pour ceux dont le corps a été détruit sous des régimes politiques violents. A chacun d’eux, Dieu donnera un corps de résurrection. Mais se faire volontairement incinérer équivaut, en gravité, à commettre un suicide. Qui s’engage par écrit à confier son cadavre aux flammes n’est évidemment pas un martyr. Il déshonore et outrage le corps que Dieu, le Créateur, lui a donné.

L’argument avancé par les partisans de la crémation – qu’il n’y a plus suffisamment de place pour enterrer les morts – ne tient pas. L’Eternel a dit  » Remplissez la terre !  » Celle-ci est loin d’être remplie par les vivants – ne devrait-il pas y avoir assez de place pour les corps des saints endormis en Christ ?!

C’est assurément une forme d’apostasie à l’égard du Dieu d’Eternité que de mépriser Sa Parole de son vivant ! Mais si on le fait par-delà la mort, cela ne pourra produire que de terribles effets. Recevez donc cette mise en garde contre la crémation satanique !
           
        Wim Malgo 
          
          
        Référence : Appel de Minuit 
        Boîte postale 290 
        CH-8330 Pfäffikon ZH 
        Traité N° 22064 
        
        
         
NDLR  
(1)  il a été découvert récemment lors de fouilles en Egypte, que l’ADN de cellules vieilles de plusieurs milliers d’années étaient encore « vivantes  » et contenaient encore toutes les informations de vie ce qui confirme les dires de ces scientifiques.

(2) Nous remarquons que l’incinération est plutôt poussée par beaucoup d’athées, de ceux qui vivent sans Dieu. Mais il est de plus en plus catastrophique de constater que des chrétiens décident de se donner la « mort spirituelle » par désobéissance ou – par manque de connaissance de la Parole de Dieu. Brûler consciemment une telle merveille signifie en clair refuser le don fait par Dieu à notre attention.  » Psaumes 139:14  Je te loue de ce que je suis une créature si merveilleuse. Tes oeuvres sont admirables, Et mon âme le reconnaît bien. »  » Ne savez-vous que votre corps est le Temple de l’Esprit Saint ?

 

Lire aussi

http://www.pasteurweb.org/Etudes/Commentaires/IncinerationDesMorts.htm

 

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