Voici une vidéo du rabbi Toni Sperandeo qui vit en Israël à Kfar Saba. Lui et son épouse Orna ont fait leur aliyah il y a plusieurs années. Avec son assemblée Ha Maayan, ils ont été sur les lieux du massacre du 7 octobre pour prier et intercéder pour que le Seigneur vienne en aide aux familles endeuillées, aux rescapés qui sont dans des états désastreux ; certains ne supportant plus leur douleur se suicident.
Ils intercèdent également afin de pouvoir pardonner, c’est loin d’être facile mais totalement admirable.
Il est important d’intercéder pour Israël et pour Gaza afin que ceux qui ne connaissent pas encore Yeshoua puissent le rencontrer.
Merci pour vos prières.

Auteur inconnu (librement réadapté par Paul Ghennassia)

« Il vint chez les siens, et les siens ne l’ont pas reçu » Jean 1 :11
Un père une fois abandonna sa famille pour un temps très long, pendant lequel elle souffrit d’une grande misère ; de temps en temps, il lui envoya des messagers l’un après l’autre, et donna l’ordre de bâtir pour elle une maison, et de lui procurer tout le nécessaire à son bien être ; il lui promit aussi de venir plus tard vivre avec elle, afin qu’elle pût avoir part à ses richesses, et en son temps, il vint ; il entra dans la maison sous la forme d’un pauvre homme, mais ses enfants auraient pu le reconnaître comme leur père, grâce au don qu’il leur apportait, par ses paroles pleines de grâce et par l’amour touchant qu’il leur manifesta.

Or, quand il leur dit clairement :  « C’est moi, je veux vivre parmi vous, et faire de cette maison terrestre un séjour céleste, le remplir de joie, de paix et d’amour, tels que les anges seuls le connaissent », alors ils le jetèrent hors de la maison. Qui peut comprendre cela ? Pourtant, c’est vrai et cela s’est passé ; quand il vint, Celui qui, depuis des siècles, était le Soleil et le Bouclier d’Israël, et marcha parmi eux pour les délivrer des mains de leurs ennemis et pour établir le royaume des cieux au milieu d’eux, ils le traitèrent alors d’une manière pire que ce pauvre père ne fût traité.

Ils le clouèrent à la Croix, avec des paroles de moquerie et d’insulte ; ce fut comme s’ils ne l’avaient jamais attendu, et n’avaient aucun besoin de Lui. Pourtant les Romains possédaient le pays, et c’était même leur gouverneur, qui avaitmême la surveillance du temple. Il y avait, il est vrai, un bon nombre d’Israélites qui nourrissaientl’espoir que Dieu Lui-même descendrait et chasserait la puissance étrangère qui pesait sur eux, mais combien de querelles intestines n’y avait-il pas parmi le peuple de Dieu ? 

Il y avait deux écoles de pensées, prétendant chacune exposer vraiment la volonté divine ; le peuple en général ne pouvait pas accomplir cette volonté, telle que l’une ou l’autre de ces écoles l’enseignait, et pour cette raison, il était méprisé par les deux également, et tous étaient bannis de la congrégation du Seigneur. Ainsi, il était devenu nécessaire que le Législateur apparaisse Lui-même, pour donner la vraie interprétation de la loi, pour décider des questions difficiles, pour mettre un terme aux querelles et y apporter la paix à Son peuple troublé.

Sa venue était attendu ardemment ; « Il peut venir cette année ! L’année prochaine ! Sûrement dans 3 ans ; mais ils étaient toujours dans l’erreur. 

Finalement Il vint ; tout Israël Le salua sûrement par ces cris : Hosanna, Salut et Le conduisit dans la cité de David, et au temple de Dieu ! Les anges, il est vrai, chantèrent du haut des cieux leur Hosanna ; quelques bergers de Bethléem et des sages d’Orient Lui rendirent hommage – mais tout Jérusalem fut troublé.

L’enfant né dans la crèche aurait pu passer inaperçu, mais l’Homme dans lequel la grâce et la vérité divines étaient incarnées, qui remplit de gloire la maison de son Père sur la montagne de Sion, fut assurément salué par les joyeuses acclamations des milliers de Son peuple : « Béni soit Celui qui vient au nom du Seigneur ». Est-ce que ce fut réellement le cas ? 

 Au dernier automne de Sa Vie terrestre, on célébrait en Israël la fête annuelle des tabernacles. Jésus ne s’était pas joint à la foule qui célébrait la fête ; ils se demandaientl’un à l’autre à son sujet : « Où est-il ? » ; c’était comme s’ils désiraient ardemment Le saluer. Vers la fin de la fête, Il vint ; inaperçu, Il se mélangea à la multitude, qui remplissait le temple le septième jour de la fête, jour estimé le plus grand et le plus solennel de toute cette joyeuse fête. La cour intérieure du sanctuaire, destinée aux Israélites, était presque trop petite pour contenir la foule rassemblée. Ils accouraient des trois ruelles, qui s’ouvraient sur les divers côtés de la cour. Vue de dessus le toit, la foule ressemblait à une forêt en mouvement, car tous portaient des branches de palmiers dans leurs mains, plus grandes qu’une hauteur d’homme. Des branches de saules entouraient aussi le grand autel, et laissaient tomber leur verdure sur le feu, allumé pour le sacrifice du matin. Tous les yeux étaient fixés sur le cortège des sacrificateurs, revenant du réservoir de Siloé et apportant l’eau, qui allait être répandue en libation sacrée sur l’autel. Le vaisseau d’or, qui la contenait, était porté bien haut, pour être vu de tous ; le sacrificateur répandait son contenu sur l’autel. Le peuple pensait au terrain desséché, rendu fécond de nouveau par la pluie vivifiante, qui était la réponse de Dieu à cet acte solennel. 

Une voix rompit le silence, qui régnait parmi les spectateurs. Jésus s’écria : « Si quelqu’un a soif, qu’il vienne à Moi, et qu’il boive ; celui qui croit en Moi, des fleuves d’eau vive couleront de son ventre ». Il fut entendu avec étonnement : « C’est le prophète enfin ! » – c’est Élie que nous attendons tous ! cria un autre, et un autre « c’est le Messie Lui-même ! » De nouveau un troisième, « ce n’est pas lui ; le Messie ne peut pas venir de Nazareth ». Bientôt tout rentra de nouveau dans le silence. Le chœur des Lévites avait commencé de chanter le grand Alléluia, cette suite de psaumes de louange, chantés ordinairement dans chaque fête solennelle. 

Le peuple se mit en rangs, et se joignit au cortège, qui entourait l’autel ;ils l’entourèrent sept fois ; comme les chanteurs arrivaient à la fin du Psaume 118, et chantaient les paroles : « O, Éternel, sauve ! Éternel, donne la prospérité ! le peuple tournoyaitses branches de palmiers, et accompagnait le chant de grandes exclamations de joie. Ils pensaient à la délivrance de leur Dieu, qui viendrait racheter Son peuple, et, comme les Lévites continuaient à chanter les paroles : « béni soit Celui qui vient au nom du Seigneur ! » cela se trouvait être réellement pour plusieurs une salutation de bienvenue pour ce Fils de David, dont Zacharie dit : « Voici, ton Roi vient à toi ; Il est juste et ayant le salut ».Et Malachie : »Le Seigneur que vous cherchez, viendra soudain à son Temple, et l’Ange de l’Alliance, en qui vous prenez plaisir ».

C’étaient comme s’ils se réjouissaient de la présence du Rédempteur, comme s’Il se tenait déjà dans les rues du temple, mais ils ne pensaient pas à Celui qui était parmi eux ; ils n’avaient pas de Hosanna pour Lui, et pourtant, Lui savait que le Psaume parlait de Sa Personne.

Jésus continua de guérir et d’enseigner, montrant qu’Il était le Serviteur de Dieu, et Son Messie. La fête d’hiver de la consécration du temple s’approchait ; de nouveau, Il se tint au milieu du temple, parmi la foule. Le souvenir de la purification du temple, profané autrefois par Antiochus, et la délivrance d’un joug étranger qui eut lieu à ce moment-là conduisaient naturellement les pensées de plusieurs à penser à l’avenir, à cette plus grande rédemption, tant désirée, cette consécration plus parfaite du temple par la présence de Dieu Lui-même. Ils entourèrent Jésus, Lui posant des questions : « Jusque s’à quand nous tiens-tu en suspens ? Si tu es le Messie, dit le nous franchement » et Lui répondit : « Je vous l’ai déjà dit et vous ne croyez pas ». Lorsque, à la fin, Il témoigna, disant : « Moi et le Père, nous sommes un », ils prirent des pierres pour Le lapider. De nouveau, selon la coutume de la fête, ils chantèrent l’Alléluia. Le soir, la ville était resplendissante de lumière : on en plaçait une à la porte de chaque maison, comme pour célébrer l’arrivée d’un roi ; mais avant cela, le Roi d’Israël , qui ce jour là avait enseigné dans le portique de Salomon, s’était retiré de la ville, pour éviter de tomber entre les mains de ses meurtriers, avant le temps fixé par son Père. Le printemps suivant, Jésus monta pour la dernière fois, célébrer la fête à Jérusalem. Son entrée fut royale : comme le vrai Souverain du pays, il donna l’ordre de Lui amener un âne, qui se trouvait sur le chemin, et Il monta dessus, Il ne devait pas entrer dans Sa propre cité comme un voyageur ordinaire. Il semble que la foule autour de Lui comprit Sa pensée : on plaça des vêtements sur Son passage, ainsi que des branches vertes, et enfin, ils Lui souhaitèrent la bienvenue, à Lui, le Roi, qu’ils avaient si longtemps désiré, en Lui adressant les paroles de Psaume 118 :  « Hosanna dans les lieux très hauts » ou, en d’autres paroles, « Salut au Roi », « Salut et bénédiction à Son royaume ! ». Sans aucun doute, lorsque ces acclamations se produisirent, on pouvait voir la ville de David, après avoir passé la montagne des Oliviers. Jésus savait que, pour l’accomplissement des paroles du prophète Zacharie, Il devait avoir une entrée royale, comme témoignage envers Son peuple, mais il discernait l’esprit superficiel et inconstant de ce peuple, qui, après avoir acclamé vivement leur Roi, entrant dans Sa capitale, placerait une couronne d’épines sur Sa tête.

Lorsqu’à un contour de la route, la cité entière, avec son temple splendide fut visible, Celui qui chevauchait silencieusement, éclata en vives lamentations :  « Si tu eusses connu, toi aussi, au moins en cette tienne journée, les choses qui appartiennent à ta paix, mais maintenant, elles sont cachées devant tes yeux ».

Il entra dans le temple : ceux qui vendaient là, et les changeurs s’enfuirent de devant Lui, mais les réjouissances du peuple cessèrent ; seuls les enfants crièrent leur « Hosanna au Fils de David » Matthieu 21 :15.

Les souverains sacrificateurs et les scribes avaient déjà décidé Sa mort dans leurs cœurs. Il attira l’attention des conducteurs de la nation sur cette parole du Psaume de louange, qui était la note dominante du cri de bienvenue poussé par l’Esprit Saint : « La pierre, que ceux qui bâtissaient ont rejetée, est devenue la maîtresse pierre du coin ». Après cela, Il prit congé d’eux et de Son peuple, en dirigeant leur pensée vers cette heure, où Israël se hâtera sûrement de venir à Sa rencontre avec ces paroles d’amour :  « Béni soit Celui qui vient au nom du Seigneur ! » Mathieu 23 :39. C’était la veille de la Pâque ; Jésus aussi avait fait égorger un agneau dans le sanctuaire pour ceux qui seraient à table avec Lui, et certainement, Il fut étrangement ému par l’Alléluia, chanté avec accompagnement de flûtes, pendant que l’on égorgeait l’agneau. Les parles, qu’Il dit, en bénissant le pain et le vin, à la fin du repas, étaient différentes des paroles habituelles. Ce n’était plus le « Fruit de la terre » ou le « produit de la vigne », mais Sa propre vie sacrifiée, Sa propre chair et Son sang, qu’Il donnerait à ses disciples . Depuis longtemps déjà les Juifs dispersé parmi les nations ont l’habitude de s’aborder les uns les autres, à l’occasion de cette fête, par ce cri : »L’an prochain à Jérusalem ! ».

Jésus dit à ses disciples que la prochaine fois qu’Il s’assiérait avec eux à table, ce serait dans le royaume de Dieu, et alors Il se leva, selon l’usage, comme le Maître de la maison, pour répéter l’Alléluia. Jésus réalisa la vérité exacte de ce qu’Il dit, lorsque, avec le chanteur du Psaume 118, dans la confiance de Sa foi, Il exprima ces paroles : « Je te célèbrerai, car tu m’as répondu, et tu as été mon salut ». Des profondeurs de Son âme, il pria : « Oh, Éternel, sauve, Je te prie ! Éternel, Je te prie, donne la prospérité ! »

Ses disciples, d’après la coutume de la fête, unirent à Lui ici leurs voix dans ce Hosanna, et ce fut certainement pour eux, qui croyaient en Lui, un réel hommage de leurs cœurs pour le Messie de Dieu, qui était leur Maître. C’était à Lui qu’ils disaient : Béni soit celui qui vient au nom de l’Éternel !».

Ainsi dansces derniers moments, avant qu’Il entrât dans le passage amer de la mort, ils le saluèrent comme le Roi d’Israël. Ils ne comprenaient pas encore entièrement la nature de Son royaume, mais leurs cœurs battaient en sympathie avec Lui. Pour la première fois, on entendit en Israël une vraie et loyale réjouissance, mais le peuple en général était d’un tout autre esprit. Le jour suivant, leur seul cri pour ce Prince, déjà lié et fouetté, fut : « Crucifie-le », et leurs Hosannas, qui hier encore, avaient résonné dans le temple, n’étaient plus pour Lui, qui maintenant, allait, au milieu des pénibles railleries des chefs d’Israël, être attaché à la Croix.

Combien souvent depuis ce temps-là le peuple juif a-t-il exprimé son Hosanna ! Combien souvent aussi n’a-t-il pas salué de faux Messies ? A la veille de la Pâque , quand l’Alléluia est récité , la porte est ouverte pour le Messie, mais elle n’est pas ouverte à Jésus ; la compagnie à table crie « Hosanna » ; mais il n’y a pas de salut de bienvenue pour Lui.

Quand la veille de Noël arrive, les Juifs de l’Orient se rassemblent, mais non pour la prière ou l’étude de la loi. La nuit se passe à jouer aux cartes, car, en cette nuit-là, on n’ose faire aucune œuvre, bonne ou sainte. Ben Stada, comme ils appellent Jésus, circule comme un mauvais esprit, pour tenter les Juifs. Ils savent, sans aucun doute, qu’Il possède une puissante influence, à laquelle on ne peut pas facilement résister : ils ne veulent pas se soumettre à Lui, mais ils ont peur de Lui ; la lumière de ce « Ben Stada » répand ses rayons sur la terre.

Ce peuple, qui marche dans ce rayonnement de gloire, lui chante l’Hosanna : Israël, sur qui cette gloire a brillé en premier lieu, est pourtant encore maintenant dans le silence. Qui peut expliquer ce fait étrange ?

Jean dit de Jésus :  « Il était la vraielumière, qui éclaire tout homme… Il était dans le monde, et le monde ne l’a pas connu. Il vint chez soi et les Siens ne L’ont pas reçu ». Israël ne L’a pas reconnu ; ils n’ont pas vu en Lui le Messie. Les chefs sadducéens du peuple entendirent, il est vrai parler de Jésus et Il leur fut amené, mais ils ne virent en Lui qu’un perturbateur de la Paix. Ils estimaient que la religion qui maintient l’ordre extérieur, était la meilleure, et ils astreignaient le peuple à des restrictions. Les hommes de loi, les scribes et les pharisiens, suivaient chaque pas de Jésus, écoutant Sa doctrine, et L’invitaient à leur table, pour pouvoir apprendre à Le connaître. Ils ne gardaient qu’une chose de ce qu’ils Lui entendaient dire, c’était qu’Il n’était pas d’accord avec eux et que Sa doctrine ne pourrait jamais convenir à leur système de théologie. Ainsi, ils disaient : « Il enseigne l’erreur et égare le peuple ! ».

Et le peuple lui-même était dans l’étonnement à Son sujet ; ils se laissaient bien guérir leurs malades par Lui, et apaiser leur faim par la nourriture qu’Il leur donnait mais, quand Il leur demandait de tout abandonner et de Le suivre , portant une croix d’opprobre, alors, ils estimaient qu’Il était un rêveur, leur demandant ce qui était impossible. Ils ne pouvaient pas renoncer à leurs pensées et à leurs pratiques religieuses. Les chefs d’Israël, les scribes avec les hommes de loi et la plus grande partie du peuple étaient tous d’accord sur un point que l’agitation de l’État, de la communauté, en matière de religion que Jésus semblait vouloir susciter, ne pouvait pas être tolérée. Ils ne désiraient pas être empêchés de suivre leurs pensées et les pratiques de religion, que leurs pères avaient suivies.

Un homme tel que Jésus ne devait pas être le Messie ; ils cherchaient un libérateur de leur oppression ; le Saint et le Juste devait mourir. « C’est ici le jugement que la Lumière est venue dans le monde, et que les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, car leurs œuvres étaient mauvaises. » ainsi dit Jean, et en disant cela, il a dévoilé la cause secrète de toute opposition faite à Jésus et à Sa Doctrine. Mais remarquez bien : il ne parle pas des Juifs. La lumière est venue dans le monde, et les hommes ne l’ont pas reçue. La nature humaine, qui nous est commune à tous, qui redoute la lumière et est disposée au mal, c’est cela qui a empêché Israël de reconnaître son Roi. Lorsque Israël a refusé de Lui rendre hommage, il représentait en cela tout le genre humain. Il est venu chez les Siens, et nous, qui certainement, étions de droit les Siens, nous ne L’avons pas reçu, nous ne Lui avons adressé aucun Hosanna. Et c’est encore la nature humaine, qui tient Israël éloigné de Son Messie ; la poursuite du gain et la renommée terrestre doivent pouvoir avoir leur libre cours ; ils n’abandonneront pas les œuvres mortes, prescrites par leurs sages.

Que celui qui s’indignerait contre l’obstination d’Israël réfléchisse que ce dernier n’est que le miroir de l’humanité, et qu’il s’indigne contre soi-même. Qu’il sache aussi que ce sont son propre manque de foi et sa propre vie de péché, qui contribuent en partie à cacher aux yeux des Juifs le Sauveur. Oh, si Israël voulait Le voir et Le reconnaître, oh, croyez-moi, un Hosanna et un éclat de joie éclateraient dans les airs, tels que la terre n’en a jamais connu.

Mais grâce à Dieu, ce temps est maintenant proche et la prière de tout véritable chrétien, devrait être celle de Saül de Tarse, l’Apôtre Paul : »Le vœu de mon cœur et ma prière pour eux (le peuple d’Israël) c’est qu’ils soient sauvés ! » (Romains 10 :1)

Bouclier de David: l’étoile de David à 6 branches constituée de 2 triangles opposés.
Le bouclier de David était un véritable bouclier qui protégeait la tête, les épaules, les jambes et les parties du soldat. 
Hosannah signifie « sauve-maintenant » HOSHIA-NA 

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