Jérusalem et les nations
Malgré 2000 ans de persécutions et l’abomination de la SHOAH, le monde n’a pas changé et l’état d’Israël est devenu le juif des nations. Les temps actuels sont aussi incertains et dangereux pour le peuple juif que les époques passées. Que dirons-nous à nos petits enfants, de notre engagement lorsque nous avions l’opportunité de révéler la vérité et de nous battre pour la faire connaître ? La vérité et la cause de la paix sont des valeurs universelles que nous devons tous partager. Juifs ou non-juifs, quelle importance ? l’analyse objective et le courage intellectuel n’ont pas de religion. Tout le monde doit être informé avant de se faire une opinion honnête, non partisane, juste et historiquement fondée et correcte.
Voici une récapitulation de quelques faits, à faire circuler au plus grand nombre de personnes mal informées…
Voici quelques faits…
Voici quelques faits parmi tant d’autres, documentés de façon incontestable par l’ensemble des historiens de bonne foi, qu’ils soient chrétiens, juifs ou musulmans, mais oubliés ou occultés de façon très commode par tous ceux qui, médias en tête, et pour des raisons diverses, politiques, économiques ou par antisémitisme viscéral et primaire… ont intérêt à travestir la vérité, ou refusent de la reconnaître.
Jérusalem est devenue une nation en 1312 avant J.C., soit 2000 ans avant la naissance même de l’Islam.
Jamais aucune entité géographique et politique indépendante, aucun pays, ne s’est intitulé Palestine au cours de l’Histoire. Par extension, aucun peuple ne s’est appelé palestinien.
Les arabes de la région du Moyen-Orient dénommée Palestine, n’ont commencé à s’identifier comme faisant partie d’un peuple palestinien que dans la seconde moitié du 20ème siècle.
Depuis la conquête juive de 1272 avant J.C., les juifs ont établi leur nation sur cette terre et la nation juive y a prospéré pendant 1000 ans, avec JERUSALEM comme capitale.
La présence juive sur la terre d’ISRAEL a été constante et ininterrompue pendant 3300 ans.
Jérusalem n’a jamais été la capitale d’aucun état arabe ou musulman.
Même lorsque les Jordaniens occupaient Jérusalem, ils n’ont jamais envisagé d’en faire leur capitale.
Durant la souveraineté jordanienne sur Jérusalem (19ans), jamais un homme d’état arabe ne l’a visitée.
Jérusalem est mentionnée plus de 700 fois dans le Tana’h, le livre saint du judaïsme
Jérusalem n’est pas mentionnée une seule fois dans le Coran.
Jérusalem fût fondée par le Roi David.
Jamais Mahomet n’a visité Jérusalem.
Les juifs du monde entier prient en se tournant vers Jérusalem.
Les musulmans du monde entier tournent le dos à Jérusalem pour prier.
Pendant la guerre israélo-arabe de 1948, les arabes ont été encouragés à fuir Israël par les leaders arabes, en particulier par le grand mufti de Jérusalem, allié et hôte d’Hitler à Berlin pendant la guerre 39-45.
Les appels radios du Mufti annonçaient clairement le massacre de tous les juifs se trouvant en Israël lors de l’invasion imminente par les armées arabes, ainsi que celui des arabes qui auraient refusé de fuir et seraient considérés comme collaborateurs.
Il est honnête de rappeler que certains arabes, qui en ont eu connaissance, ont également fui suite au massacre de 300 personnes dans le village de Deir Yassin perpétré en représailles par des membres du groupe STERN suite à l’assassinat de plusieurs des leurs par des habitants du village.
70% des arabes ont ainsi quitté Israël, sans avoir jamais vu de soldat juif ou entendu parler de Deir Yassin.
450 000 arabes sont réputés avoir ainsi fui Israël en 1948.
Subséquemment 650 000 juifs ont été contraints de fuir les pays arabes, à la suite de brutalités, de persécutions, d’exactions et pogroms, faits largement occultés par les bonne âmes si promptes à prendre fait et cause pour les réfugiés arabes.
Ce nombre doit être porté à 1 000 000 si on y ajoute les juifs d’Algérie, de Tunisie et du Maroc.
Les juifs vivaient dans ces pays depuis parfois depuis 2000 ans et y possédaient des richesses dont ils ont été intégralement spoliés. Il est largement prouvé que les juifs étaient le véritable moteur économique des pays arabes jusqu’à leur expulsion.
Parler exclusivement du problème des réfugiés palestiniens est une distorsion intentionnelle et pernicieuse de l’Histoire destinée à masquer le problème des réfugiés au sens large, qui doit inclure les réfugiés juifs et le problème des compensations faramineuses qu’ils sont en droit de réclamer.
Mais un réfugié juif a probablement moins de droits qu’un réfugié arabe dans l’esprit de ceux qui vilipendent Israël.
Les réfugiés arabes ont été intentionnellement parqués dans des camps par leurs frères arabes dans des pays dans lesquels ils avaient fui afin de servir d’armée politique.
Ils n’ont jamais été intégrés dans leur pays d’accueil malgré l’immensité des territoires arabes non utilisés et les fabuleuses richesses dérivées des revenus pétroliers dont ces pays disposaient et disposent toujours.
Sur les 100 000 000 de réfugiés dans le monde depuis le 2ème guerre mondiale, le groupe dit palestinien est le seul qui n’ait jamais été absorbé par les siens.
Les réfugiés juifs, rescapés des camps de la mort hitlériens dans un premier temps, puis de plus de cent autres pays ont été intégralement absorbés par Israël, un pays plus petit que l’Etat du New Jersey, couvrant 0,8% de la région dit du Moyen-Orient ou dans d’autres pays d’accueil, ou ils se sont intégrés en participant au développement de leur nouvelle nation.
PROTECTION ET DROITS RELIGIEUX
Lors de la domination Jordanienne sur Jérusalem, l’intégralité des lieux saints juifs ont été profanés et détruits, 58 synagogues, pour certaines d’une valeur architecturale et sacrée inestimables ont ainsi été anéanties.
Les tombes juives arrachées des cimetières ont été utilisées pour paver les routes et construire les urinoirs publics (cimetière du Mont des Oliviers entre autres).
Témoin de cette ignominie, l’ONU est curieusement restée silencieuses, elle si prompte à condamner Israël en toute occasion. La vérité ne fut connue qu’en 1967 après le guerre des 6 jours.
Les juifs ont été interdits d’accès à leurs lieux de culte les plus sacrés en territoire arabe et en particulier à Jérusalem. Politique d’apartheid largement entérinée par l’ONU alors présente dans la ville.
Sous la juridiction israélienne, tous les lieux de culte, musulmans ou chrétiens ont été préservés, protégés et sont libres d’accès pour toutes les religions.
Sur les 175 résolutions votées par le Conseil de Sécurité de l’ONU avant 1990, 97 l’ont été contre Israël…
Sur les 690 résolutions votées par l’Assemblée Générale des Nations Unies avant 1990, 429 l’ont été contre Israël…