ISRAEL ACTUEL, UN ENJEU ETERNEL
extrait du forum Beth Yeshoua
Israël étant le peuple de Dieu, tous les êtres vivants qui n’ont pas l’Esprit de Dieu sont opposés à Israël. C’est le combat entre la chair et l’esprit, entre le « fils de la chair » et le « fils de la promesse ». Cette inimitié ne sera pas éternelle puisqu’après le retour du Seigneur Yeshoua HaMashiah sur le mont des oliviers, lors de l’installation du règne de 1000 ans sur la terre, les égyptiens et tous les arabes seront appellés par Dieu « Mon peuple ». Israël ne sera plus alors le « premier ». Il semble évident que pour avoir un à priori favorable envers Israël comme l’avait la belle fille de Naomi: Ruth, il faut nécessairement la puissance de l’Esprit de Dieu le Ruah HaKodesh. Ruth, éprise d’un amour inconditionnel pour sa belle-mère, disait « Ton peuple sera mon peuple, ton Dieu sera Mon Dieu, où tu iras j’irai, où tu mourras je mourrai. » Cette parole n’est pas adressée aux moabites ou aux philistins ou aux amalécites. Elle est adressée aux juifs par des croyants messianiques ou chrétiens.Sans l’Esprit Saint, la pensée naturelle est encline à être soumise au prince des ténèbres. Un homme athée ou un croyant éloigné de la pensée de Dieu, détestera Israël et aimera les palestiniens sans compromis; un vrai croyant quant à lui aimera Israël sans condition car sa nourriture est la Bible Parole de Dieu – Torah juive qui parle d’un Dieu d’Israël, d’un Messie Juif, d’un Roi des juifs. Autant l’un que l’autre ne pourront pas expliquer réellement le pourquoi de leurs sentiments. Quand on aime vraiment on ne l’explique pas. Et quand on déteste quelqu’un, on ne peut pas non plus en donner des explications. Le sentiment d’Amour est donné par Dieu et le sentiment de haine par le diable.On dira qu’Il y aura un « apriori positif » ou un « apriori négatif ». Cet apriori fera déclencher chez la personne toutes ses actions futures à partir desquelles tout découlera. Rien ni personne ni aucune théorie ne pourra ébranler cet apriori. Seul Dieu par son Messie pourra en venir à bout. Et lorsqu’un « esprit religieux » s’empare de la personne, le fanatisme finira par l’égarer entièrement. L’aveuglement sera complet.L’amour envers tous les hommes ainsi qu’envers les palestiniens n’est en aucun cas remis en question mais il s’agit ici d’une vision prophétique que Dieu montre à son église la kehila. Cette vision nous montre qu’Israël fait partie d’un plan divin où Dieu veut restaurer Israël, restaurer chaque parcelle du pays et le rendre aux juifs dans un but précis et pas forcément pour le plaisir personnel et égoïste des juifs. Les palestiniens et les arabes quant à eux, ont le droit d’y habiter mais en tant qu’autochtones, non en tant qu’Israélites fils du Père. Il est curieux de constater qu’avant la venue du Hamas, du Hizbollah d’Arafat et Cie, l’entente entre arabes et Israëliens existait.Israël n’est évidemment pas meilleur que d’autres nations mais il est fondamental de comprendre que ce peuple est élu par Dieu et Dieu a encore un plan divin pour ce peuple. Le diable qui sait sa fin proche par le prochain retour du Messie, fait tout ce qui est en son pouvoir pour éliminer Israël de la carte et faire en sorte qu’Israël ne s’installe pas dans le pays. Dire qu’Israël se moque des palestiniens prouve une totale ignorance historique et contemporaine. L’Etat d’Israël est la seule démocratie au Moyen Orient où siège même un arabe antiisraelien à la knesset !! Du jamais vu !!!Que dire de Sadam Hussein qui a fait massacrer des centaines de milliers de personnes et que dire aussi du colonel Kadafi ? Tous sont des dictateurs fachistes sans exception puisque la liberté de la presse n’existe dans aucun des pays du moyen orient si ce n’est en Israël !!! Tous des dictateurs à qui l’on ne reproche rien de ce qui est reproché actuellement aux juifs !!! Voici quelques textes qui expliquent de manière plus claire l’enjeu arabe sur Israël. Beaucoup de fausses idées ont été lancées. Une de ces idées est que la visite d’Ariel Sharon sur le Mont du Temple aurait provoqué l’intifada. Les responsables de l’ONU ont déclaré eux-même que Sharon n’avait rien à voir avec le début de l’intifada. La même désinformation insulte Sharon d’avoir massacré des innocents à Sabra et Chatila. Le Hamas lui-même avoue qu’Ariel Sharon n’y était pour rien et que le véritable assassin est Hobeika. Arafat lutte pour la libération et la création d’un état palestinien, mais d’après Zuheir Mohsen, un dirigeant de l’OLP, il n’y a pas de peuple palestinien. Une série impressionnante de faussetés qui ne peuvent plus être rattrapées tout comme les plumes d’un oreiller éventré.
Jacques Sobieski
Les extraits proviennent des sources suivantes : reponses-israel, chrétiens et juifs pour un enseignement de l’estime, am israel hai, Revue prophétique l’Appel de Minuit. Sorry pour les oublis.
Les palestiniens
Un dirigeant de l’OLP – Organisation de Libération de la Palestine, Zuheir Mohsen a annoncé de manière fort insolite en 1977 » qu’il n’y a pas de « peuple palestinien ».
« La création d’un Etat palestinien est un moyen de poursuivre notre combat contre Israël et pour l’unité arabe. Mais en réalité, il n’existe aucune différence entre Jordaniens, Palestiniens, Syriens, Libanais. Ce n’est que pour des raisons politiques et tactiques que nous parlons d’une identité palestinienne ». »Le monde ne pourrait approuver une guerre de cent millions d’Arabes contre une petite nation juive ».
« Le nom de « Palestiniens » n’est apparu qu’en 1964, lorsque le Haut Comité Arabe pour la Palestine demanda à la Ligue arabe d’appeler à l’existence de la Palestine OLP; une nation palestinienne est le résultat d’un plan, progressif, étant donné que le monde ne pourrait approuver une guerre de cent millions d’Arabes contre une petite nation juive »
Le programme d’installation dans les territoires, de palestiniens, fait partie d’un plan devant permettre l’élimination de l’intérieur de l’Etat d’Israël. Il est historiquement connu et prouvé que Yasser Arafat a fait rentrer dans le soi-disant « peuple palestinien », des meurtriers, des repris de justice, des gens de tout bord venant de Croatie etc. Et c’est ainsi que nous en voyons les résultats aujourd’hui.
Au départ donc il ne s’agissait nullement d’une race ou d’une quelconque culture palestinienne. Israël est un état, un pays, un peuple, un Messie. Mais les palestiniens, qui sont-ils ? Pourtant rien ni personne ne les empêchaient de venir habiter en toute tranquillité en Israël.
Des ambulances comme bouclier
Les palestiniens utilisent des ambulances israëliennes dans des opérations militaires. Il y transportent des policiers palestiniens aux lieux d’affrontements violents avec l’armée israëlienne. Il les emploient comme bouclier lors des fusillades et violent ainsi de façon éclatante le droit international.
De l’argent contre du sang
Arafat a déclaré au chef des milices armées palestiniennes Marwan Barghouti de Ramallah:
» Chaque fois que tu m’entends parler d’un cesser le feu ou d’une fin de la violence, ignore cela. Tu sais que je suis sous une forte pression de la part de l’Europe et de l’Amérique. Ignore et continue ! L’Intifada nous a mis dans une grave situation financière. Nous n’obtiendrons plus d’aide des USA. et Israël va suspendre ses versements mensuels. Notre espoir est d’obtenir de l’argent des Etats arabes. Mais ceux-ci ne nous en donnent pas, quand il n’y a pas de sang. »
Commentaires
(1)
amoral = qui n’a pas la notion des prescriptions favorisant les bonnes moeurs; état d’esprit contraire à celui qui relève le moral de quelqu’un
immoral = qui n’a aucun principe de moral, qui vit contrairement à la morale
Des hommes qui sacrifient et versent le sang de leurs enfants et qui, par la bouche du Grand Mufti de Jérusalem proclament qu’il n’y a pas encore assez de sang d’enfant versé, qui arrachent le cerveau de leurs ennemis à Ramallah puis découpent les soldats de Tsahal en morceaux pour les livrer après aux israéliens, qui rugissent de plaisir après avoir accompli leur méfait devant des centaines de témoins et caméras, des hommes et des femmes qui transmettent de manière intentionnelle le mensonge aux médias internationaux ne peuvent être considérés autrement que comme des bêtes immondes et des personnages immoraux et amoraux.
Comment considérer alors, les responsables des pays de l’UE qui avalisent ouvertement les actions coupables d’Arafat et de ses acolytes ? N’agissent-ils pas en connaissance de cause contre Dieu, contre le peuple de Dieu ?
Arafat a déclaré dernièrement qu’il n’accepterait
aucune souveraineté sur Jérusalem,
ni de la part des Juifs
…. / ….
ni même de la part de Dieu !!!
Arafat – ou du moins celui qui l’anime, n’a pas su s’empêcher
de dévoiler sa véritable identité dans cette déclaration antichrist
La Bible parle à de nombreuses reprises, de possession démoniaque. Et c’est bien de Satan qu’il s’agit puisque son but est d’empêcher à tout prix le peuple juif de s’installer à Jérusalem. Pourquoi tant de haine contre les juifs ? Pourquoi les nations et l’UE n’interviennent pas dans d’autres pays où meurent des dizaines de milliers de personnes ?
Ce peuple juif invoquera très bientôt, » celui qu’ils ont percé » et cela implique inévitablement le retour du Messie Yeshoua suivi de l’enchaînement de Satan pour mille ans. C’est ce qu’il essaie à tout prix d’éviter en provoquant les nations contre le peuple de Dieu, le peuple d’Israël. La fin de Satan est très proche.
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Qui est responsable de l’explosion de violence ?Dans les troubles récents du Moyen-Orient, on a oublié de mentionner quelques vérités simples, pour diverses raisons. Les événements auxquels on a assisté dans notre région sont le résultat de la détermination évidente des Palestiniens à continuer à utiliser la violence comme instrument politique. Le gouvernement et le peuple israéliens aspirent à la cessation de cette violence, contrairement à nos voisins palestiniens. Israël cherche à résoudre ses différends avec les Palestiniens à la table des négociations, tandis que Yasser Arafat et l’Autorité Palestinienne ont choisi — et souvent glorifié — la poursuite des confrontations violentes.Yasser Arafat doit être tenu pour responsable de la vague de violence qui s’étend encore sur les territoires. Ce soi-disant » soulèvement » n’est rien d’autre que l’effort calculé, cynique, d’Arafat pour atteindre par la violence le plus grand nombre d’objectifs politiques qu’il n’a pas réussi à atteindre par des négociations.Même si beaucoup de gens aimeraient que nous pensions différemment, ce dont nous sommes témoins correspond bien à un choix délibéré des dirigeants palestiniens de poursuivre les actes de violence plutôt que les négociations.Récemment, des médias palestiniens ont clairement témoigné de cette évidence. Le 5 décembre, le quotidien semi officiel » Al-Ayyam » rapportait ce qui suit :
» Lors d’un symposium à Gaza, le ministre palestinien des Communications, Imad al-Falouji, a confirmé que l’Autorité Palestinienne avait commencé à préparer le déclenchement de la » nouvelle Intifada » depuis la conclusion des entretiens de Camp David, et ceci conformément aux instructions d’Arafat lui-même. M. Falouji a poursuivi en déclarant qu’Arafat avait lancé cette Intifada comme le ‘nec plus ultra’ de la position palestinienne immuable dans les négociations, et n’était pas uniquement l’expression d’une protestation de l’opposition israélienne contre la visite d’Ariel Sharon sur le Mont du Temple. » Al Ayyam, 6 décembre 2000.
D’autres officiels palestiniens ont émis des déclarations similaires, dans la presse et les média palestiniens et arabes.L’actuelle confrontation a été délibérément engagée et poursuivie par le leadership palestinien comme option stratégique. Ceci a été vrai dès les premiers jours de la crise, et cela demeure vrai aujourd’hui. A cette fin, Yasser Arafat et l’Autorité Palestinienne ont :
utilisé les média officiels palestiniens pour inciter leur peuple à la violence contre Israël et les Israéliens.
autorisé les milices du Fatah — les Tanzim — à faire feu contre des Israéliens, avec des fusils fournis par l’Autorité Palestinienne.
libéré de prison des douzaines de terroristes du Hamas et du Djihad islamique, en donnant le feu vert à ces organisations pour lancer une campagne aveugle contre des civils israéliens. La politique d’Arafat a ainsi conduit à une série d’attaques terroristes sanglantes, comprenant des attentats à la voiture piégée à Jérusalem et à Natanya, et des embuscades sur les routes ayant pour cible des véhicules civils, y compris des cars scolaires et des voitures familiales.
Pourquoi cette violence ?
Contrairement à ce qui a été proclamé dans divers milieux, la visite d’Ariel Sharon au Mont du Temple, fin septembre, n’a pas déclenché le » soulèvement « . Elle n’a été que le prétexte d’une campagne de violence orchestrée. En réalité, l’actuelle vague de troubles date de la mi-septembre, avant la visite de Sharon, lorsque des cocktails Molotov et des pierres ont été lancés sur des positions israéliennes au carrefour Netzarim, à Gaza. Peu de temps après a eu lieu l’assassinat d’un soldat israélien par une bombe jetée du bord de la route, au même endroit, le 27 septembre. Deux jours plus tard, un officier de police israélien a été tué par un policier palestinien qui avait servi avec lui dans une patrouille conjointe.
L’origine des événements actuels remonte au sommet de camp David, en juillet, soit moins de trois mois auparavant, lorsque Arafat manifesta clairement son refus d’un compromis équilibré, en rejetant toutes les propositions avancées par le gouvernement américain. Le Premier Ministre Barak, quant à lui, souhaitait prendre ces propositions en considération. En conséquence, le Président Clinton a rendu Arafat pleinement responsable de l’échec des entretiens.
Ce n’est pas par accident que cette violence a éclaté à un moment où Israël exprimait sa volonté de parvenir à des compromis sans précédent et d’une portée considérable, dans le but de parvenir à un accord réalisable et durable. Une réelle occasion était offerte à Arafat de parvenir à une solution par des négociations et un compromis, et d’offrir des avantages concrets considérables au peuple palestinien.
Mais la branche d’olivier brandie par Israël a essuyé une grêle de tirs de roquettes et de cocktails Molotov. Arafat a préféré se montrer un révolutionnaire implacable plutôt que de prendre le risque d’être considéré comme » faible » par les extrémistes palestiniens opposés à toute forme de compromis ou de conciliation avec Israël. Il a opté pour l’usage de la violence comme moyen de négociation.
La violence et les négociations de paix sont elles compatibles ?
Depuis le début des négociations entre Israël et l’OLP, il y a sept ans, Israël s’est attelé à la tâche de répondre aux aspirations nationales palestiniennes en Cisjordanie et à Gaza. Se fondant sur la promesse d’Arafat en 1993 d’abandonner le terrorisme et de s’engager dans une solution négociée, Israël a négocié l’établissement d’une Autorité Palestinienne élue qui a progressivement étendu sa juridiction et ses compétences et administre maintenant 97% de la population de Cisjordanie et de la bande de Gaza.
Mais Israël ne s’en est pas tenu là. Le gouvernement israélien a fait connaître aux Palestiniens, lors du sommet de Camp David – et publiquement aujourd’hui -, sa volonté de progresser dans les négociations de paix, en vue de l’établissement d’un état palestinien dans le cadre de l’accord sur le statut permanent — un état contigu, viable, et prospère économiquement, un état qui renforcerait la stabilité régionale et non l’inverse. En agissant ainsi, le gouvernement israélien a réalisé des compromis politique, historique et stratégique très importants.
Cependant, malgré ces compromis, lorsqu’il devint clair pour les dirigeants palestiniens qu’Israël ne pourrait satisfaire à toutes les exigences palestiniennes, et que nous avons, nous aussi, des aspirations et des intérêts à prendre en compte dans des compromis, ils ont choisi d’interrompre les négociations et de s’engager de nouveau sur la voie de la violence qu’ils avaient promis d’abandonner.
D’un point de vue israélien, mettre fin à ce que les Palestiniens appellent une » occupation » ou un » déni de droits » n’est pas un sujet de dispute. Pour nous, la question fondamentale aujourd’hui est la violation par les Palestiniens du principe fondamental du processus de paix — une solution fondée sur un compromis et non sur l’intransigeance, sur la négociation et non sur la violence.
A cette fin, le gouvernement israélien a décidé que la première mission, dans tout contact avec les Palestiniens, serait de mettre un terme à la violence.
L’armée israélienne répond-elle à la violence de manière excessive ?
L’accusation maintes fois répétée qu’Israël a employé une force excessive est pire qu’une distorsion ; c’est une contrevérité. Au cours des derniers mois, des soldats israéliens et des civils ont été confrontés, à peu près tous les jours, à des douzaines d’attaques palestiniennes organisées, violentes et mortelles, dont seul un faible pourcentage est mentionné dans les médias. Ces attaques ont inclus des fusillades dirigées contre des quartiers résidentiels, des cocktails Molotov, des attaques sur les routes, des colis et des voitures piégés dans des zones commerciales très peuplées, et des manifestations violentes. Dans ces circonstances difficiles, l’armée israélienne a agi avec une très grande retenue, faisant tout son possible pour éviter de faire des victimes.
Israël n’a pas intérêt à l’escalade de la violence. Au contraire, Israël pense qu’il est impératif d’y mettre fin, afin que les deux parties puissent de nouveau s’asseoir à la table des négociations. Israël maintient qu’une solution juste et durable ne peut être trouvée que par le dialogue et non par un conflit armé. Cependant, tant que la violence subsistera, il incombera à l’armée israélienne de protéger les citoyens israéliens et le personnel israélien de sécurité.
Le gouvernement israélien regrette toute perte en vie humaine, qu’elle soit arabe ou juive. En dernière analyse, cependant, la responsabilité de ces morts incombe à l’Autorité palestinienne, qui a initié la violence et refuse obstinément un cessez-le-feu. Par exemple, Arafat n’a pas signé d’accord mettant un terme à la violence, après avoir promis de le faire, à la Secrétaire d’état Madeleine Albright, lors de leur rencontre à Paris, le 4 octobre 2000. Pas plus qu’il n’a respecté ses engagements lors des arrangements de Charm el-Cheikh le 17 octobre 2000, incluant sa promesse d’une déclaration officielle sur la cessation de la violence, de restaurer la coopération en matière de sécurité et de reprendre les négociations de paix. A ce jour, Arafat doit s’exprimer officiellement et publiquement pour qu’un terme soit mis à la violence.
Israël a, en revanche, respecté tous les engagements qu’il avait pris à Charm el Cheikh, y compris le redéploiement de son armée.
Pourquoi y a t-il plus de victimes palestiniennes qu’israéliennes ?
L’armée israélienne a fait tout ce qui était en son pouvoir pour agir avec retenue face à des centaines de tirs, de manifestations de violence et autres actions mettant en danger des vies humaines. étant donné l’étendue des violences qui s’abattent sur les territoires, elle a assez bien réussi à restreindre le nombre de pertes en vies humaines.
S’il y a moins de victimes du côté israélien, c’est principalement parce qu’un faible nombre d’Israéliens s’engagent dans des actions violentes. La plupart des incidents violents dans les territoires ont été le fait de centaines de manifestants palestiniens attaquant une petite poignée de soldats israéliens.
Il est important de faire remarquer que pour affronter des soldats israéliens, les manifestants palestiniens doivent quitter leurs zones de résidence et se rendre dans les banlieues de leurs villes et de leurs villages. C’est seulement là qu’ils trouveront des militaires israéliens tenant les positions qui leur ont été spécifiées par les accords israélo-palestiniens signés par les deux parties.
En outre, Israël rejette l’idée que la justice puisse être déterminée par le nombre relatif de pertes de chaque côté. A titre de comparaison : le nombre total de pertes humaines parmi les forces alliées dans la campagne Tempête du Désert en Irak, et parmi les forces de l’OTAN en Yougoslavie, étaient bien plus faibles que celles des Irakiens et des Serbes — qui comprenaient également des civils pris tragiquement dans les tirs croisés lors de ces conflits. Pourtant, contrairement aux victimes civiles d’Irak et de Yougoslavie, les civils palestiniens touchés dans l’Intifada avaient délibérément choisi de s’engager dans des confrontations violentes avec les forces armées israéliennes.
Qu’est-il arrivé aux lieux saints juifs et musulmans ?
Dans le cadre de leur décision de poursuivre la violence, les Palestiniens ont également mené une campagne de destruction et de vandalisme contre les lieux saints juifs. L’exemple le plus flagrant s’est produit lorsque la foule palestinienne a mis à sac, démoli puis mis le feu à la Tombe de Joseph à Naplouse. Ceci a eu lieu juste après le retrait des troupes israéliennes du lieu saint, conformément à l’accord par lequel l’Autorité Palestinienne entreprenait de protéger le lieu saint juif de tout dommage. Après cette attaque, l’Autorité Palestinienne a réparé le site et a décidé d’en faire une mosquée. Puis ont suivi d’autres attaques palestiniennes contre des synagogues juives, y compris l’antique synagogue de Jéricho, qui a été gravement endommagée par un incendie criminel, de même que la synagogue de la ville juive d’Efrat.
En fait, ce n’est que lorsque les lieux saints de l’Islam, du Christianisme et du judaïsme ont été sous contrôle israélien que la liberté de culte et le caractère sacré des sites ont été garantis. Même au cours de l’actuelle vague de violence, le Mont du Temple, à Jérusalem, est resté ouvert au culte musulman, bien que les prières soient devenues un moyen d’inciter à la violence et aux émeutes. Les Musulmans ont même utilisé l’aire du Mont du Temple comme base de lancer de pierres. Les attaques proviennent d’un village voisin, Beit Jala, dont la population est arabe chrétienne. Israël pense qu’il s’agit d’une tentative délibérée des milices palestiniennes pour attirer le monde chrétien dans le conflit en provoquant des représailles israéliennes. Israël fait donc tout son possible pour réagir avec un maximum de retenue à ces attaques non provoquées sur Guilo, en visant uniquement les bâtiments d’où proviennent les attaques.
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ANTISEMITISME CHRETIEN – Messianisme: Lettre ouverte de Shalom Israël au mensuel protestant Réveil, pour son éditorial diffamatoire sur Sharon – rapporté par voxdei>
A propos d’un Mensuel protestant régional « Réveil » et de son éditorial diffamatoire à l’encontre du Premier Ministre Ariel Sharon et d’Israël – le 25 septembre 2001
Lettre ouverte
A M. Gobert, à la rédaction du journal et au pasteur Fisher, directeur de « Réveil »,
J’ai lu votre journal de septembre, lors d’un séminaire sur « l’Eglise et Israël », à Valence.
En tant que chrétien, il me semble consternant que vous ayez pu laisser paraître l’éditorial de M. Gobert : « Chasse ouverte en Israël », ou « Sang frais sur demande en Palestine ». Cet article est indigne d’un vrai journaliste. Non seulement il est indécent, mais il est mensonger et calomniateur.
Ce n’est d’ailleurs pas Ariel Sharon que M. Gobert insulte, c’est Dieu lui-même. Mais sans doute cet éditorialiste ne sait-il pas qu’on ne maudit pas Israël impunément.
Il ne s’agit pas de dire qu’Israël est au-dessus des lois ou des critiques – le monde se charge d’ailleurs bien de le faire savoir – mais de dénoncer une systématisation, celle de persister à clouer Israël au pilori. Cette volonté sournoise qui consiste à accuser Israël et le peuple juif n’est pas récente, elle date de l’époque de Moïse, et elle s’appelle Antisémitisme. L’Anti-Sionisme n’est qu’une forme cachée et perverse de cet esprit diabolique. Que le monde ait de la haine pour le peuple juif est chose normale, car « le salut vient des Juifs » et le monde ne veut pas de Dieu. Que des chrétiens manifestent des pensées antisémites, et le fassent savoir par média interposée est chose difficile à croire.
Lorsque M. Gobert reproche les « assassinats ciblés », veut-il dire qu’il préfère l’utilisation de bombes destructrices, remplies de clous qui déchiquètent le corps de civils israéliens ? Ou peut-être trouve-t-il plus normal de voir des adolescents juifs se faire lapider et larder de coups de couteaux, jusqu’à ce que les cadavres soient rendus méconnaissables.
(Savez-vous à propos que le monde entier a adopté cette stratégie « d’assassinats ciblés », après les événements de New-york, avec la « mise à prix » du terroriste islamiste Ben Laden ?)
Quelle sorte de personnes enseignent la haine dès le plus jeune âge – la haine raciste du Juif ? Quels sont ceux qui excitent les jeunes à provoquer les policiers israéliens, afin qu’ils se fassent tuer et deviennent des martyrs (devant des caméras) ? Qui subventionnent les mères palestiniennes avec des milliers de dollars (US ou européens) de récompense pour avoir donné leurs enfants à « la cause », et qui laissent le peuple palestinien – celui qui est à plaindre, oui ! – dans la pauvreté et l’insalubrité, afin que les pays occidentaux envoient charitablement des millions de dollars, accusant au passage les « méchants Israéliens » de colonisateurs ?
Posez-vous les bonnes questions, M. Gobert. Yasser Arafat a déjà refusé plusieurs fois des plans de paix – le dernier étant une proposition du gouvernement Barak (conjointement avec le Président Clinton), qui offrait un Etat Palestinien, avec 98 % des Territoires et Jérusalem-Est comme capitale. Pourquoi croyez-vous qu’il ait refusé une telle proposition, si ce n’est que sa véritable intention (et celle du Hamas, du Hezbollah) n’est pas d’avoir un Etat, mais de voir la destruction totale de l’Etat d’Israël ?
Je vois à l’intérieur de votre journal le beau titre : « Ajustons notre regard à celui de Dieu ». Je vous propose donc de lire votre Bible et d’ajuster votre regard à celui de Dieu. Si l’Eternel a permis qu’Israël, après 2000 ans d’exil et de persécutions (entres autres de la part de chrétiens) retrouve une terre et un état, s’Il a permis que l’armée de Tsahal ait la victoire pour chaque confrontation sur plusieurs armées arabes réunies, si Jérusalem est aujourd’hui « une pierre pesante pour tous les peuples » (selon la parole de Zacharie 12 :2-3 ), croyez-vous que ces choses soient le fait du hasard ? Alors, même si les Israéliens ne sont pas parfaits, sachez qu’ils sont dans la main de l’Eternel, le Dieu d’Israël, notre Dieu.
Mesdames et messieurs de la rédaction, comment espérer la bénédiction sur votre journal « Réveil », si vous ne comprenez pas qu’Israël est toujours « la prunelle des yeux de Dieu » et qu’Il a encore des projets pour cette nation, en finalité celui d’accueillir le Messie – le Roi des rois – dans Jérusalem. Puissiez-vous discerner l’Ennemi, le « père du mensonge » qui emploie toutes ses armes pour entraîner les nations à combattre cet Etat, ce peuple au destin si particulier. Vous êtes appelés à répandre la lumière, non à répandre les ténèbres. Celui qui ne comprend pas ces choses-là, que l’apôtre Paul appelle « mystère » (Romains 11/25), n’est pas digne d’être appelé enfant de Dieu.
En lisant votre éditorial qui en général reflète la pensée d’un journal, j’avoue avoir eu honte d’être protestant !
Jésus a dit : « Toutes les fois que vous avez fait ces choses à l’un de ces plus petits de mes frères – juifs – c’est à moi que vous les avez faites. » (Matthieu 25/31-46).
Non, le Sionisme n’est pas « une élucubration sanguinaire », elle est l’expression de la pensée de Dieu, et je suis fier d’être un chrétien sioniste. « Pour l’amour de Sion, je ne me tairai pas » (Esaïe 62)
Puisse le Seigneur vous éclairer,
Pasteur-aumônier Gérald Fruhinsholz
(G.Fruhinsholz) ajouté le 25-9-2001
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L’ACCORD D’OSLO
Le 2 juillet 2001 __________ No 236
Fayçal Al-Husseiny dans sa dernière interview: « Les accords d’Oslo étaient un cheval de Troie: notre but stratégique est la libération de la Palestine, de la rivière (du Jourdain) à la mer (Méditerranée). »
En route pour le Koweit, où il décéda plus tard d’une attaque cardiaque, Fayçal Al-Husseiny a accordé une interview, qui s’avéra être sa dernière, au quotidien Egyptien « Al-Arabi » (de tendance Nassérienne). Voici des extraits de cette interview, réalisée par le reporter Shafik Ahmed Ali.
Les Accords d’Oslo: un Cheval de Troie
Q: Malheureusement, la situation actuelle est la conséquence logique de la signature des Accords d’Oslo par Arafat: ceux-ci n’affirment pas de manière explicite qu’il faudrait retirer les implantations, ni même qu’il faudrait en cesser la construction… Ils ne définissent pas clairement quel sera le statut futur de Jérusalem, ni le droit de retour… Mais, entre autres erreurs que vous avez récemment reconnues – ils affirment clairement que l’Autorité Palestinienne a l’obligation de confisquer les armes des civils palestiniens…
R: A la suite de la signature des Accords d’Oslo, j’ai dit trois choses:
-Premièrement, qu’après une longue attente, nous avons mis au monde un enfant (les Accords d’Oslo) plus petit, plus faible et moins beau que ce que nous espérions. Mais il n’en est pas moins notre enfant, et nous avons le devoir d’en prendre soin, de le renforcer et de le développer afin qu’il puisse se tenir sur ses jambes.
-Deuxièmement, que nous sommes les Juifs du 21ème siècle. Ce qui signifie que nous, Palestiniens, serons comme les Juifs du début du siècle (dernier). Ils se sont infiltrés dans notre pays au moyen de différents stratagèmes, de passeports en tous genres, et ce faisant ont beaucoup souffert. Ils ont même dû endurer l’humiliation, mais tout cela avait un but: entrer dans notre pays et s’y ancrer avant de nous en expulser. Nous devons agir de la même façon qu’eux: retourner au pays, le peupler, et développer de nouvelles racines sur notre terre, d’où nous avons été expulsés, quel qu’en soit le prix.
-Troisièmement, l’armée grecque (antique) n’a pas pu entrer à Troie en raison de discussions et désaccords (internes). Les forces grecques se sont mises à faire marche arrière les unes après les autres, et en fin de compte le roi de Grèce s’est retrouvé seul face aux murailles de Troie; or lui aussi souffrait de maladies et de conflits (internes), et finit par diriger une prise d’assaut manquée des murailles de Troie.
(A la suite de quoi) les Troyens escaladèrent les murailles de leur ville, mais ne trouvèrent aucune trace d’armée grecque, mis à part un cheval de bois géant. Ils poussèrent des cris de joie et firent la fête, pensant que les troupes grecques, déroutées, avaient laissé derrière elles comme butin de guerre cet inoffensif cheval de bois. Ils ouvrirent donc les portes de la ville pour le faire entrer. Chacun sait ce qui se passa ensuite.
Si les Etats-Unis et Israël n’avaient pas pensé, avant Oslo, qu’il ne restait du mouvement National Palestinien et du Panarabisme qu’un simple cheval de bois, ils n’auraient jamais ouvert leurs portes fortifiées pour le laisser entrer.
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Bien que, contrairement aux Grecs, nous soyons entrés dans ces murailles non pour détruire, mais pour construire, je vous dis maintenant, à tous ceux à qui je me suis adressé lors d’un entretien secret pendant cette période des Accords d’Oslo: « Montez dans le cheval sans demander en quoi il est fait. Entrez-y, et nous ferons de ce geste le commencement de l’ère de la reconstruction, plutôt que l’ère de la fin de l’espérance. »
Et en effet, il y a ceux qui sont montés dans le cheval et qui se trouvent maintenant en territoire palestinien, qu’ils aient soutenu ou non les Accords d’Oslo.
Q: Mais le cheval en question se mit à ignorer les critiques, aussi bien celles des partisans d’Oslo que celles de ses opposants, portant sur l’absence d’esprit réellement démocratique pour le guider et sur son aspect corrompu.
R: Ce que vous dites me rappelle la fameuse réunion des différentes factions palestiniennes il y a trois ans, au retour d’Arafat et de l’OLP à Gaza… Le débat était centré autour de ces mêmes problèmes: la démocratie, la corruption, etc…
Au cours de cette réunion (ceux qui étaient présents sont encore en vie et peuvent témoigner), j’ai pris la parole en ces termes: « Il y a trois ans j’ai dit ‘montez dans le cheval’, à la suite de quoi tous y sont entrés, et celui-ci a pénétré la (région) emmurée. Il est maintenant temps de dire: ‘Sortez du cheval et commencez le travail. Ne restez pas dedans à gaspiller votre temps et votre énergie en discussions sur si c’est un bon ou un mauvais cheval. Voyez plutôt: c’est grâce à lui que vous avez pu pénétrer la ville emmurée. »
Donc quittez le cheval et faites ce pour quoi vous y êtes entrés en premier lieu. A mon avis, l’Intifada représente à elle seule le fait de quitter le cheval. Si on ne s’était de nouveau lancé dans de vieux débats, cet effort aurait pu être beaucoup plus important, porter sur une plus grande étendue et avoir plus d’impact, mais il n’était pas assez clair dans nos esprits que les accords d’Oslo, ou tout autre accord, ne sont qu’une marche à suivre temporaire ou une étape vers un but plus élevé.
Louez donc Allah: Nous avons aujourd’hui tous quitté le cheval, aussi bien ceux qui étaient du côté d’Arafat que ses opposants. En ce qui me concerne, je n’ai jamais vu d’inconvénient à ce qu’ils pénètrent ce cheval tout en étant des opposants. Par contre, j’en aurais vu un à ce qu’ils y restent éternellement enfermés. Maintenant que nous l’avons tous quitté, je vous demande ainsi qu’à vos journalistes de mettre de côté toutes les analyses des événements passés, toutes les vieilles querelles, et de juger les gens en fonction ce qu’ils font véritablement… Notre slogan devrait dorénavant être: « L’Intifada a toujours raison ».
Notre But Stratégique: Un Etat allant de la Rivière du Jourdain à la mer Méditerranée
Q: Quelles sont les frontières de l’Etat palestinien auquel vous vous referez, et quelle sorte de « Jérusalem » accepteriez-vous comme capitale de votre Etat?
R: Cette question me force à définir ce que nous appelons nos buts « stratégiques » par rapport à nos buts ‘politiques’ ou buts à réaliser de façon progressive. Les buts ‘stratégiques’ sont plus élevés; ce sont les buts à long terme, les buts ‘indéracinables’, ceux qui se basent sur les droits et principes pan arabes historiques. D’un autre côté les buts « politiques » ont été établis pour un temps limité, en considération (des contraintes) imposées par le système international tel qu’il est, la balance des pouvoirs, nos propres capacités, et d’autres points qui varient de temps à autre.
Quand nous demandons à toutes les forces et factions palestiniennes de considérer les Accords d’Oslo et autres accords comme de simples étapes ou des buts à court terme, cela signifie que nous tendons une embuscade aux Israéliens en les trompant. Remarquez que nous faisons exactement comme eux. La preuve en est qu’ils sont conscients du fait – et ne s’en cachent pas – que rien d’autre ne les unit autour du territoire qui s’étend du Nil à l’Euphrate que leur slogan tiré de la Torah: « Voici les frontières du Grand Israël »
Si, pour une raison ou une autre, ils ont dû proclamer pour un temps limité leur Etat sur une « partie » du grand Israël, ils ont pu en parallèle déclarer publiquement que ceci est leur « stratégie » politique, dont ils devront se contenter momentanément en raison des circonstances politiques. D’un autre côté, leur « haute stratégie » demeure l’acquisition du grand Israël. Nous faisons exactement comme eux. En 1947, en accord avec le plan de partage (de l’ONU), ils ont décidé de déclarer leur Etat sur 55% de la terre de Palestine, qui sont devenus 78% pendant la guerre de 1948, puis 100% pendant la guerre de 1967. Cela étant, ils n’ont jamais essayé de cacher que leur but à long terme est le grand Israël, allant du Nil à l’Euphrate. De même, si nous acceptons de proclamer notre Etat sur ce qui ne représente aujourd’hui que 22% de la Palestine, c’est-à-dire la Cisjordanie et Gaza, notre but ultime n’en demeurera pas moins la libération de toute la Palestine historique, de la rivière (du Jourdain) à la mer (Méditerranée), même si cela signifie que le conflit durera encore mille ans ou plusieurs générations.
En un mot, nous sommes exactement comme eux: Nous distinguons les buts stratégiques à long terme des buts politiques temporaires, que nous devons accepter pour un temps en raison de la pression internationale. Si vous demandez au nationaliste pan arabe que je suis quelles sont les frontières palestiniennes selon la stratégie à long terme, je vous répondrai sans hésitation: « de la rivière à la mer ». La Palestine toute entière est une terre arabe, la terre de la nation arabe, une terre qui ne peut être achetée ou vendue par qui que ce soit, et il est impossible de se taire alors qu’on est en train de nous la voler, même si (la récupérer) prendra du temps et qu’il faudra payer le prix fort…
Si vous posez la même question au musulman que je suis, ma réponse sera aussi: de la rivière à la mer. Le pays entier est un Waqf islamique qui ne peut être ni acheté ni vendu, et on ne peut garder le silence quand on est en train de nous le voler…
Si vous posez la même question au Palestinien ordinaire que je suis, se trouvant « dedans » ou en Diaspora, je vous répondrai de la même façon sans la moindre hésitation. Pourtant, ce que je suis capable d’accomplir et d’accepter aujourd’hui, en raison (des contraintes) du système international n’est évidemment pas la Palestine « de la rivière à la mer ». Afin de réaliser tous nos rêves sur la Palestine, nous devons, avant tout, nous réveiller pour nous rendre compte de notre position, car si nous continuons de nous comporter comme des rêveurs, nous n’aurons plus où poser le pied.
Comme je me souviens avoir déjà dit: Nous devons continuer de nous focaliser sur le but le plus élevé. Le vrai danger est de l’oublier: En chemin vers mon but à court terme, je risque de tourner le dos à mon but à long terme, qui est la libération de la Palestine, de la rivière à la mer. ~
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Al-Arabi (Egypte), le 24 juin 2001. Les sous-titres sont donnés par le traducteur
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La Mouvance RabbinRabbin a été un homme politique qui a voulu partager le pays aux arabes. Il représentait une bonne partie de la population juive qui recherchait la paix à tout prix. Même au pris de la désobéissance divine. Que ne ferait pas un homme pour avoir la paix ? : il irait jusqu’à vendre son âme au diable pour avoir la paix. C’est ce que Rabbin a voulu faire : vendre l’âme juive aux arabes.Dieu a disposé géographiquement les nations en fonction du peuple d’Israël (extrait des « Chrétiens Amis d’Israël par DEREK PRINCE » A qui appartient le Pays?)Deutéronome 32: 8 Quand le Très-Haut donna un héritage aux nations, Quand il sépara les enfants des hommes, Il fixa les limites des peuples D’après le nombre des enfants d’Israël,Lorsque Dieu a attribué à toutes les nations les régions où elles devraient vivre, les régions, les pays où ils devraient habiter, Il s’est fondé, pour déterminer leurs limites, sur le nombre des enfants d’Israël et sur le lieu qu’Il leur avait assigné. En d’autres termes, l’emplacement de toutes les autres nations dépend en un certain sens de l’emplacement d’Israël, et s’y rapporte. Comme l’apôtre Paul l’explique aux Athéniens « Il a fait naître d’un seul homme tous les peuples répartis sur la surface de la terre, a délimité à l’avance leur durée ainsi que leurs domaines. » (Actes 17:26)
Sur ce point, Dieu n’a pas laissé à l’homme le choix de décider quoi que ce soit. Il a déterminé à quel endroit chaque nation devrait vivre en fonction de l’emplacement qu’il avait assigné à Israël.
Il est dans l’intérêt ultime de toutes les nations qu’Israël soit à sa place. Dieu a agencé de telle manière qu’aucune autre nation ne puisse pleinement trouver ce qui lui est destiné tant qu’Israël ne l’aura pas non plus trouvé. C’est une des raisons pour laquelle nous devons prier pour la paix de Jérusalem car jamais le reste du monde ne connaîtra la paix tant que Jérusalem ne sera pas en paix.
N’oublions pas que tout le genre humain est né à Sion ! :
Psaumes 87:5 Et de Sion il est dit: Tous y sont nés, Et c’est le Très-Haut qui l’affermit.
LA COLONISATION OU LA PROPRIETE ?
La colonisation un terme facilement utilisé par les ennemis d’Israël. Mais ce que l’on cache dans les informations c’est que le pays tout entier a été racheté contre monnaie sonnante et trébuchante. Le pays a donc été entièrement payé jusqu’aux arbres actuels qui sont payés et plantés. On connaît l’organisme KKL qui en est le principale témoin.
On connaît d’ailleurs l’achat des terrains par le Roi David, Abraham etc.
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LE SIONISME
Qui est le premier des Sionistes ?
Réponse dans le texte : :
Jérémie 3:14 Revenez, enfants rebelles, dit l’Eternel; Car je suis votre maître. Je vous prendrai, un d’une ville, deux d’une famille, Et je vous ramènerai dans Sion.
Jérémie 30:3 Voici, les jours viennent, dit l’Eternel, où je ramènerai les captifs de mon peuple d’Israël et de Juda, dit l’Eternel; je les ramènerai dans le pays que j’ai donné à leurs pères, et ils le posséderont.
Psaumes 69:35 (69-36) Car Dieu sauvera Sion, et bâtira les villes de Juda; On s’y établira, et l’on en prendra possession;
Psaumes 76:2 (76-3) Sa tente est à Salem, Et sa demeure à Sion.
Psaumes 102:16 (102-17) Oui, l’Eternel rebâtira Sion, Il se montrera dans sa gloire.
Le SIONISME VIENT DONC DE DIEU; SION = JERUSALEM = ACTION DE RETOURNER A JERUSALEM. C’est Dieu qui provoque l’appel et l’action; c’est Dieu qui « donne le vouloir et le faire » lire aussi Jérémie 31:1-3,
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Une conclusion parmi tant d’autres :Les hommes de la tendance humaniste, désirent la paix mais l’évangile dit que Yeshoua n’est pas venu apporter la paix sur terre mais l’épée. Vouloir la paix malgré tout revient à aller dans le sens de l’apôtre Pierre qui dit à Yeshoua « A Dieu ne plaise que cela ne t’arrive » et Yeshoua lui répond » Arrière de moi Satan »Après qu’ Israël ait été envoyé dans des fours crématoires, il était temps qu’on leur trouve un pays. C’est l’ONU qui a choisit en quelques sorte le pays d’Israël. Que vient-on reprocher alors aux juifs ? Et si l’Israël actuel n’est pas le vrai Israël, quel est-il alors ? Dans l’Assemblée Messianique, jamais nous ne privilégions la guerre au détriment de la paix.Notre rôle de croyants est de prier pour la paix de Yerushalaïm mais cela ne signifie en aucun cas faire des alliances religieuses avec des arabes musulmans comme le faisait les hébreux de l’Ancienne Alliance. Les croyants juifs ou gentils ne peuvent bibliquement pas faire d’alliance avec d’autres religions qui nient que Yeshoua est le Messie, ils ne peuvent donc pas s’allier avec des musulmans pour qui le soi-disant « Allah » n’a pas de fils. Cet Allah qui prône le meurtre vient tout simplement du diable et il est bien vrai que ces malheureux arabes sont manipulés par le diable. Mohamed, après avoir été profondément déçu des frères juifs et ensuite des chrétiens, a décidé de fonder sa propre religion. C’est ainsi qu’il alla se dénicher une idole païenne dans la KAABA lieu où se trouvaient des pierres représentant de multiples divinités païennes. Une de ces multiples pierres se nommait « ALLAH ».
Il est difficile si pas impossible de comprendre le réel enjeu sans l’Esprit Saint.Ariel Sharon est comme un test mis devant nous par Dieu. Le Seigneur désire voir comment nous allons parler au sujet de son peuple.On connaît tous la pensée de Dieu au sujet de « la prunelle des yeux de Dieu ». Dernier « apriori » : il vaut mieux avoir un apriori POUR Dieu et son peuple que le contraire. Il y a moins de risque de se tromper en ayant un apriori pour les juifs que pour les musulmans.
Le rôle du vrai croyant sera de prier pour les juifs afin qu’ils découvrent leur MASHIAH, pour les arabes cousins des juifs afin qu’ils se repentent de leur idolâtrie criminelle, et pour les chrétiens afin qu’ils reviennent à la racine de leur foi.
Jacques Sobieski
http://www.bethyeshoua.be.tf