Etude du Dr PANINE – Une Extraordinaire preuve – interne
Supplément au T.M.P.I.n°78 – 3e trimestre 1984
Je voudrais attirer votre attention sur une chose particulièrement remarquable, qui avait échappé jusqu’à ce que qu’une découverte saisissante fut faite dans la Bible. C’est le Signe, ou le Sceau de 7. Le Sceau de Dieu sur sa création. Lorsque ce sceau merveilleux fut découvert, caché sous la surface des textes grecs et hébreux les estampillant comme l’indiscutable Parole de Dieu, il fut vite réalisé, qu’ensemble la Bible et la création portaient la même marque d’identification, aussi sûrement que des papiers différents, issus d’un même moulin, portent sous la surface, le filigrane de ce moulin particulier. Examinons quelques-uns de ces filigranes ou sceau dans la Création.
Le comportement de DIEU avec l’homme est partout marqué du nombre 7.
La physiologie de l’homme est construite sur la loi des 7. Saviez-vous que le développement de l’embryon humain correspond à un nombre exact de périodes de 7 ? 28 jours = 4 x 7. Demandez à votre médecin, vous serez émerveillé de la rigueur de cette loi.
Le plein temps normal est de 280 jours = 40 x 7.
Dans Genèse 2:7, nous lisons : » ET DIEU a formé l’homme de la poussière de la terre (4) « . La science a dû reconnaître que le corps humain en effet comprend les mêmes 14 éléments, encore : 2 x 7.
La science médicale nous dit aujourd’hui que le corps humain est renouvelé dans chacune de ses cellules tous les 7 ans, de même le pouls bat plus lentement chaque 7e jour. Dans certaines maladies, les jours critiques sont les 7e, 14e, 21e jours.
Considérons maintenant la lumière du soleil. Saviez-vous que sa lumière pure, claire, est constituée de 7 couleurs distinctes: rouge, oranger, jaune, vert, bleu, indigo, violet ? L’arc-en-ciel démontre cette composition. Direz-vous que c’est là accident ou dessein ?
Considérons maintenant notre plus proche voisin : la lune. Saviez-vous que la terre est exactement 49 fois plus grande que la lune ? soit 7 x 7, et la rotation de la lune, autour de la terre s’effectue en 28 jours = 4 x 7, en relation avec le développement de l’embryon humain, ce qui nous amène à un autre département de la nature, la merveilleuse famille des oiseaux où nous trouvons de nouveau le sceau défini du Créateur, sceau qui ne change pas, que l’homme ne peut altérer.
Je dois dire tout d’abord que la période d’incubation de nombreux oiseaux est très difficile à contrôler, aussi y a-t-il des opinions différentes concernant certains oiseaux et le terme « approximatif » est souvent employé. Il est possible qu’il y ait d’autres desseins numériques à côté du 7, peut-être quelque chose d’analogue à ce qui se trouve chez les fleurs. Toutefois, comme je m’occupe seulement de faits, je ne veux pas m’aventurer dans la spéculation, et le fait est que, aussitôt que nous commençons la liste des oiseaux contrôlés, le remarquable sceau de 7 apparaît devant nous.
Prenez d’abord les oiseaux domestiques que chacun peut contrôler. On sait que si l’on place des œufs d’une poule, soit sous la poule, soit dans l’incubateur, les poussins éclosent le 21e jour, soit 3×7. Les canaris au bout de 14 jours, soit 2 x 7.
Des centaines de variétés de pinsons et d’autres familles de petits oiseaux, les rouges-gorges, les grives, les cacatoès, etc…, éclosent au 14e jour.
Je veux maintenant attirer votre attention sur une claire évidence : dans un famille donnée, les périodes s’accroissent d’un multiple exact de 7. Ainsi, pour le canard commun, l’éclosion a lieu le 28e jour; pour la canard Muscovy, le 35e jour. L’aigle tacheté, 21e jour; l’aigle impérial, 35e jour. Ici, nous avons un saut de 14 jours.
Voyez les cailles, pour quelques variétés, la période d’incubation est de 21 jours; pour d’autres 28; pour le hibou, les grandes espèces : 28 jours; d’autres 21, d’autres 14.
Pour les grands oiseaux : le pingouin empereur, 49 jours: 7 x 7; pour d’autres variétés, 42 jours; les pieds-noirs : 56 , donc nous avons 6 x 7, 7 x 7, 8 x 7.
Pour le casaor ordinaire : 42 jours ; pour d’autres variétés : 63.
Pour l’émeu: 56 jours; certaines variétés : 63 jours; toujours un multiple de 7. Considérons quelques grands oiseaux : le gou : 42 jours; l’autruche : 42 jours; le cygne:35. Plusieurs variétés de dindons : 28 jours, de même plusieurs variétés de petits perroquets : 21 jours, et on pourrait continuer ainsi indéfiniment, mais je dois conclure avec quelques oiseaux bien connus, dont la plupart vivent en captivité : le foulque, durée d’incubation : 14 jours; l’hirondelle de mer : 21; la grue : 28; le kiwi : 42; le plongeon : 28; le pétrel: 35; les cormorans : 21 et 28 ; le butor : 28; les hérons : 21 et 28; les ibis: 21; les flamands : 28; le corbeau : 28 etc…
Je pense que ce regard jeté sur nos amis les oiseaux convaincra tous ceux qui ne sont pas volontairement aveugles, que ces choses ne sont pas le fait du hasard.
Qu’importe aux oiseaux que leur période d’incubation soit un multiple de 7, alors pourquoi cette table des temps ?
Et maintenant, bien que j’ai à peine effleuré le sujet, cela est suffisant si on en rapproche les nombreux faits numériques de la Bible, pour montrer que le Créateur a mis son sceau sur le travail de ses mains, que ce sceau est une signification plus grande que nous ne l’avions imaginé et qu’il y a une riche provision de bénédictions pour ceux qui ont la volonté de voir.
Laissez-moi vous rappeler aussi que c’est le but de Satan de nous aveugler sur ces faits, que Dieu nous aide à être honnêtes avec nous-mêmes.
Je crois sincèrement que Dieu a placé ces signes immuables et d’autres encore, spécialement, afin que ceux qui pourraient être faibles dans la foi, puissent avoir une évidence tangible, de Son plan et de Son dessein en Jésus le Messie.
En effet, si vous étudiez dans la Bible les dispensations, vous trouverez qu’il y a 7 périodes distinctes de manifestations de Dieu à l’homme.
Nous sommes à la fin de la 6e appelée ; » grâce » et comme les autres se sont terminées par l’intervention de DIEU, il en sera de même de celle-ci. « Quand la pierre frappera la statue » (Daniel 2:36), alors commencera la 7e période qui durera 1000 ans » (Apoc:2). Et si nous approchons de la 6000e année depuis Adam, il apparaît qu’avec les 1000 années du règne du Messie, les 7 périodes seront complètes, la durée totale étant de 7000 années.
Ainsi l’action de Dieu avec l’homme s’établit en 7 périodes. Lorsque DIEU a institué la semaine de 7 jours, il préfigurait cette période septuple.
Pouvez-vous ne pas voir comment DIEU a entrelacé ce nombre « sept » dans la vie de l’homme !(1)
Le Dr PANINE, un Russe résidant en Amérique, homme indifférent en matière religieuse, eut un jour le désir, par simple curiosité littéraire, de lire la BIBLE. C’était un éminent mathématicien, mais aussi un savant philologue pour qui l’hébreu et le grec n’avaient pas de secrets. Il fit donc la lecture de la Bible, non dans une version russe ou anglaise, mais dans les textes originaux. (2)
Son attention de mathématicien ne tarda pas à être attirée par une étrange répétition du nombre 7 et de ses multiples dans la valeur numérique des mots et phrases du texte hébreu et du texte grec. On sait , en effet, que les langues hébraïque et grecque, les chiffres n’existent pas et que les lettres sont utilisées pour les représenter. Au début de sa lecture, il n’y attacha pas d’importance, croyant à une simple coïncidence. Mais bientôt, la répétition prolongée mathématique, du même fait, lui sembla anormale. Il fit alors, au hasard, à travers tout l’Ancien Testament, un choix de textes, et se mit à les examiner avec le plus grand soin. A sa surprise intense, le phénomène numérique constaté au début se renouvelait partout sans la moindre « fissure ». Il examina ensuite passionnément un choix de textes du Nouveau Testament. L’extraordinaire, le prodigieux phénomène mathématique se reproduisait pour sa plus grande stupéfaction. Il se mit alors à essayer une quantité de combinaisons de calculs pour voir jusqu’à quel point et dans quelle proportion de détails le phénomène se reproduisait. L’IMMUABLE LOI DE 7 ne cessait de lui apparaître comme gouvernant littéralement le texte entier : les lettres, les mots, les phrases, les chapitres, la contexture grammaticale elle-même, et enfin toute la contexture elle-même du texte sacré.
Pour donner une idée de ce phénomène, prenons pour exemple, la première phrase de la Genèse : »Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre ».
Dans le texte original hébreux, il y a 7 mots, le nombre de lettres est un multiple de 7, la valeur numérique des substantifs est un multiple de 7, celle des premières et dernières lettres de chaque mot, celle des premières lettres des premiers et derniers mots et quantités d’autres combinaisons de ce genre donnent toujours des multiples de 7.
Devant ces faits mathématiques indéniablement vérifiées, un homme de bonne foi ne pouvait tirer qu’une conclusion: la chose était voulue, il y avait derrière un livre extraordinairement composé, une VOLONTé personnelle. Nul, devant des « mots croisés » par exemple, ne pourrait conclure à un « hasard ». Les « mots croisés » ne se rencontrent pas dans l’imprimerie : il faut qu’un cerveau humain les assemble… De même, dans ce prodigieux assemblage et enchevêtrement du nombre de 7 et de ses multiples, le Dr PANINE vit la marque d’un dessein précis réalisée par une intelligence pour laquelle, semblait-il, rien n’était impossible. Mais qui donc avait réalisé ce prodigieux exploit ? Le Dr PANINE et deux autres savants voulurent élucider l’affaire et ils passèrent plusieurs semaines à essayer d’établir un paragraphe en hébreu et un autre en grec présentant les particularités qu’ils avaient découvertes avec étonnement dans la totalité du Livre Saint… Mais il leur fut absolument impossible de réaliser, fût-ce quelques lignes, d’un texte intelligible… Ils furent confondus…, car ils ne pouvaient oublier que la Bible a été écrite au cours de 1600 ans environ, par des auteurs de condition très différente… et que le Nouveau Testament même contient beaucoup de « Lettres » (celles de l’Apôtre PAUL, par exemple) écrites manifestement au fil de la plume… Il fallut bien convenir que la VOLONTE qui était à l’origine de cette chose stupéfiante était une volonté DIVINE, qu’elle dépassait INFINIMENT les plus prodigieux génies que la terre puisse produire…
Le Dr PANINE, confondu, ébloui, tomba alors à genoux devant le DIEU MAGNIFIQUE qui avait ainsi mis sur SA REVELATION ECRITE (et écrite par le moyen de faibles instruments humains), ce SCEAU SECRET dont il réservait la découverte dans un âge où cette Révélation serait attaquée, non plus par Ses ennemis, mais par ceux-là mêmes qui se drapent de Son Nom, les « théologiens » rationalistes et les pseudo-savants de la haute critique…
L’honnête homme et le vrai savant à qui le merveilleux AUTEUR DE LA BIBLE avait révélé ce prodige, trouva lui-même par cette étonnante découverte la PERLE PRECIEUSE dont le Livre Sacré est l’Ecrin; il se prosterna devant son SAUVEUR, le Seigneur Jésus, le Fils de Dieu, la PAROLE INCARNEE révélée par la parole inscrite, et il fut, par LUI, introduit dans le Royaume de DIEU. (3)
(1) NDLR – Mais ce chiffre sept prend un sens extraordinairement précis quand on s’aperçoit (voir chandelier) que le nom de Jésus en hébreu, Yéchoua, forme exactement les sept flammes du chandelier du Temple de Jérusalem. Ce n’est pas un hasard, mais la preuve formelle que Jésus (Yéchoua) est réellement le Messie d’Israël et la Lumière du Monde.
(2) NDLR Nous croyons bon de rappeler que les langues originales du Livre Sacré sont l’hébreu pour l’Ancien Testament (sauf quelques passages en langue araméenne) et le grec pour le Nouveau Testament.
(3) Non seulement le critère mathématique est une preuve à laquelle on ne peut échapper de l’inspiration VERBALE du recueil des Saintes Ecritures, mais il est Décisif pour l’élimination des variantes des manuscrits introduites par erreur de copies volontaire ou non. En effet, l’extraordinaire phénomène ne se reproduit dans AUCUN APOCRYPHE ou écrit non préservé par l’Esprit Saint sans le « Canon », et l’on peut dès lors reconnaître l’authenticité d’un texte en y appliquant ce « critère de vérification mathématique »
(4) La Parole de Dieu précise que l’homme a été tiré de la terre, qu’il est poussière et qu’il retournera à la poussière. Que savons nous d’une poussière que nous ne voyons même pas à l’oeil nu. Un grain de poussière est si minuscule qu’il est à peine visible. Seul un rayon de lumière dans une pièce sombre révèle la présence de poussière.
Les scientifiques le confirmeront: du point de vue de l’atome, le corps humain est constitué de différentes particules entre lesquelles se trouve un grand vide. Si on rapprochait chacune des particules l’une contre l’autre au point d’éliminer tout vide et d’en faire une masse uniforme, homogène et compacte, on obtiendrait un homme de la grandeur d’une poussière ! Une poussière de 70 kilos. La Parole de Dieu disait donc vrai : nous sommes une poussière. Ceux qui s’intéressent à l’astronomie connaissent la particularité des étoiles à neutrons. Certaines de ces étoiles sont tellement compactes qu’elle pèsent le poids de la terre concentré dans le volume d’une petite bille, les atomes de ces étoiles étant fortement rapprochés les uns des autres et le vide est réduite.
Ecclésiaste 19-20 (Kohelet 19) Car le sort des fils de l’homme et celui de la bête sont pour eux un même sort ; comme meurt l’un, ainsi meurt l’autre , ils ont tous un même souffle , et la supériorité de l’homme sur la bête est nulle; car tout est vanité. 20 Tout va dans un même lieu ; tout a été fait de la poussière , et tout retourne à la poussière.