Lorsque le roi entendit la parole que l'homme de Dieu avait criée contre l'autel de Béthel, il avança la main de dessus l'autel, en disant: Saisissez le! Et la main que Jéroboam avait étendue contre lui devint sèche, et il ne put la ramener à soi.

Alors le roi prit la parole, et dit à l'homme de Dieu: Implore l'Éternel, ton Dieu, et prie pour moi, afin que je puisse retirer ma main. L'homme de Dieu implora l'Éternel, et le roi put retirer sa main, qui fut comme auparavant.

Malheur au pasteur de néant, qui abandonne ses brebis! Que l'épée fonde sur son bras et sur son oeil droit! Que son bras se dessèche, Et que son oeil droite s'éteigne!

Sous ces portiques étaient couchés en grand nombre des malades, des aveugles, des boiteux, des paralytiques, qui attendaient le mouvement de l'eau;

Les pharisiens l'abordèrent, et dirent, pour l'éprouver: Est-il permis à un homme de répudier sa femme pour un motif quelconque?

Dis-nous donc ce qu'il t'en semble: est-il permis, ou non, de payer le tribut à César?

Yeshoua, connaissant leur méchanceté, répondit: Pourquoi me tentez-vous, hypocrites?

Mais le chef de la synagogue, indigné de ce que Yeshoua avait opéré cette guérison un jour de shabbat, dit à la foule: Il y a six jours pour travailler; venez donc vous faire guérir ces jours-là, et non pas le jour du shabbat.

Yeshoua prit la parole, et dit aux docteurs de la loi et aux pharisiens: Est-il permis, ou non, de faire une guérison le jour du shabbat?

Puis il leur dit: Lequel de vous, si son fils ou son boeuf tombe dans un puits, ne l'en retirera pas aussitôt, le jour du shabbat?

Nous est-il permis, ou non, de payer le tribut à César?

C'était un jour de shabbat. Les Juifs dirent donc à celui qui avait été guéri: C'est le shabbat; il ne t'est pas permis d'emporter ton lit.

Sur quoi quelques-uns des pharisiens dirent: Cet homme ne vient pas de Dieu, car il n'observe pas le shabbat. D'autres dirent: Comment un homme pécheur peut-il faire de tels miracles?

Car l'insensé profère des folies, Et son coeur s'adonne au mal, Pour commettre l'impiété, Et dire des faussetés contre l'Éternel, Pour laisser à vide l'âme de celui qui a faim, Et enlever le breuvage de celui qui a soif.

Nul ne se plaint avec justice, Nul ne plaide avec droiture; Ils s'appuient sur des choses vaines et disent des faussetés, Ils conçoivent le mal et enfantent le crime.

Nous avons été coupables et infidèles envers l'Éternel, Nous avons abandonné notre Dieu; Nous avons proféré la violence et la révolte, Conçu et médité dans le coeur des paroles de mensonge;

Il arriva, un autre jour de shabbat, que Yeshoua entra dans la synagogue, et qu'il enseignait. Il s'y trouvait un homme dont la main droite était sèche.

Les scribes et les pharisiens observaient Yeshoua, pour voir s'il ferait une guérison le jour du shabbat: c'était afin d'avoir sujet de l'accuser.

lui tendant des pièges, pour surprendre quelque parole sortie de sa bouche.

Ils se mirent à l'accuser, disant: Nous avons trouvé cet homme excitant notre nation à la révolte, empêchant de payer le tribut à César, et se disant lui-même Mashiah (Messie), roi.

Vous m'avez amené cet homme comme excitant le peuple à la révolte. Et voici, je l'ai interrogé devant vous, et je ne l'ai trouvé coupable d'aucune des choses dont vous l'accusez;

Ils disaient cela pour l'éprouver, afin de pouvoir l'accuser. Mais Yeshoua, s'étant baissé, écrivait avec le doigt sur la terre.