Je résolus en mon coeur de livrer ma chair au vin, tandis que mon coeur me conduirait avec sagesse, et de m'attacher à la folie jusqu'à ce que je visse ce qu'il est bon pour les fils de l'homme de faire sous les cieux pendant le nombre des jours de leur vie.

(12:15) Écoutons la fin du discours: Crains Dieu et observe ses commandements. C'est là ce que doit faire tout homme.

(4:7) Plusieurs disent: Qui nous fera voir le bonheur? Fais lever sur nous la lumière de ta face, ô Éternel!

L'Éternel est mon partage et mon calice; C'est toi qui m'assures mon lot;

Pour moi, dans mon innocence, je verrai ta face; Dès le réveil, je me rassasierai de ton image.

(47:5) Il nous choisit notre héritage, La gloire de Jacob qu'il aime. -Pause.

L'Éternel est mon partage, dit mon âme; C'est pourquoi je veux espérer en lui.

Il est bon d'attendre en silence Le secours de l'Éternel.

On t'a fait connaître, ô homme, ce qui est bien; Et ce que l'Éternel demande de toi, C'est que tu pratiques la justice, Que tu aimes la miséricorde, Et que tu marches humblement avec ton Dieu.

Mais le bonheur n'est pas pour le méchant, et il ne prolongera point ses jours, pas plus que l'ombre, parce qu'il n'a pas de la crainte devant Dieu.

Et leur amour, et leur haine, et leur envie, ont déjà péri; et ils n'auront plus jamais aucune part à tout ce qui se fait sous le soleil.

Nous sommes devant toi des étrangers et des habitants, comme tous nos pères; nos jours sur la terre sont comme l'ombre, et il n'y a point d'espérance.

Car nous sommes d'hier, et nous ne savons rien, Nos jours sur la terre ne sont qu'une ombre.

Il naît, il est coupé comme une fleur; Il fuit et disparaît comme une ombre.

(39:6) Voici, tu as donné à mes jours la largeur de la main, Et ma vie est comme un rien devant toi. Oui, tout homme debout n'est qu'un souffle. -Pause.

(39:7) Oui, l'homme se promène comme une ombre, Il s'agite vainement; Il amasse, et il ne sait qui recueillera.

(89:48) Rappelle-toi ce qu'est la durée de ma vie, Et pour quel néant tu as créé tous les fils de l'homme.

Les jours de nos années s'élèvent à soixante-dix ans, Et, pour les plus robustes, à quatre-vingts ans; Et l'orgueil qu'ils en tirent n'est que peine et misère, Car il passe vite, et nous nous envolons.

Enseigne-nous à bien compter nos jours, Afin que nous appliquions notre coeur à la sagesse.

(102:12) Mes jours sont comme l'ombre à son déclin, Et je me dessèche comme l'herbe.

Je m'en vais comme l'ombre à son déclin, Je suis chassé comme la sauterelle.

L'homme est semblable à un souffle, Ses jours sont comme l'ombre qui passe.

Vous qui ne savez pas ce qui arrivera demain! car, qu'est-ce votre vie? Vous êtes une vapeur qui paraît pour un peu de temps, et qui ensuite disparaît.

Et j'ai vu qu'il n'y a rien de mieux pour l'homme que de se réjouir de ses oeuvres: c'est là sa part. Car qui le fera jouir de ce qui sera après lui?

Mais il ne sait point ce qui arrivera, et qui lui dira comment cela arrivera?

Que ses fils soient honorés, il n'en sait rien; Qu'ils soient dans l'abaissement, il l'ignore.