(18:5) Les liens de la mort m'avaient environné, Et les torrents de la destruction m'avaient épouvanté;

(69:1) Au chef des chantres. Sur les lis. De David. (69:2) Sauve-moi, ô Dieu! Car les eaux menacent ma vie.

(69:3) J'enfonce dans la boue, sans pouvoir me tenir; Je suis tombé dans un gouffre, et les eaux m'inondent.

(69:15) Retire-moi de la boue, et que je n'enfonce plus! Que je sois délivré de mes ennemis et du gouffre!

(69:17) Exauce-moi, Éternel! car ta bonté est immense. Dans tes grandes compassions, tourne vers moi les regards,

Oh! quelle rumeur de peuples nombreux! Ils mugissent comme mugit la mer. Quel tumulte de nations! Elles grondent comme grondent les eaux puissantes.

Les nations grondent comme grondent les grandes eaux... Il les menace, et elles fuient au loin, Chassées comme la balle des montagnes au souffle du vent, Comme la poussière par un tourbillon.

Qui est celui qui s'avance comme le Nil, Et dont les eaux sont agitées comme les torrents?

C'est l'Égypte. Elle s'avance comme le Nil, Et ses eaux sont agitées comme les torrents. Elle dit: Je monterai, je couvrirai la terre, Je détruirai les villes et leurs habitants.

(2:4) Tu m'as jeté dans l'abîme, dans le coeur de la mer, Et les courants d'eau m'ont environné; Toutes tes vagues et tous tes flots ont passé sur moi.

Et, de sa bouche, le serpent lança de l'eau comme un fleuve derrière la femme, afin de l'entraîner par le fleuve.

Et il me dit: Les eaux que tu as vues, sur lesquelles la prostituée est assise, ce sont des peuples, des foules, des nations, et des langues.

Que les cieux se réjouissent, et que la terre soit dans l'allégresse, Que la mer retentisse avec tout ce qu'elle contient,

Que les fleuves battent des mains, Que toutes les montagnes poussent des cris de joie,

Oui, vous sortirez avec joie, Et vous serez conduits en paix; Les montagnes et les collines éclateront d'allégresse devant vous, Et tous les arbres de la campagne battront des mains.

Pourquoi ce tumulte parmi les nations, Ces vaines pensées parmi les peuples?

Brisons leurs liens, Délivrons-nous de leurs chaînes! -

Il dit, et il fit souffler la tempête, Qui souleva les flots de la mer.

Ils montaient vers les cieux, ils descendaient dans l'abîme; Leur âme était éperdue en face du danger;

Ils nous auraient engloutis tout vivants, Quand leur colère s'enflamma contre nous;

Alors auraient passé sur notre âme Les flots impétueux.

c'est toi qui as dit par le Saint Esprit, par la bouche de notre père, ton serviteur David: Pourquoi ce tumulte parmi les nations, Et ces vaines pensées parmi les peuples?

En effet, contre ton saint serviteur Yeshoua, que tu as oint, Hérode et Ponce Pilate se sont ligués dans cette ville avec les nations et avec les peuples d'Israël,