Il ne reviendra plus dans sa maison, Et le lieu qu'il habitait ne le connaîtra plus.

L'oeil qui le regardait ne le regardera plus, Le lieu qu'il habitait ne l'apercevra plus.

Encore un peu de temps, et le méchant n'est plus; Tu regardes le lieu où il était, et il a disparu.

Il a passé, et voici, il n'est plus; Je le cherche, et il ne se trouve plus.

Oui, tu les places sur des voies glissantes, Tu les fais tomber et les mets en ruines.

Eh quoi! en un instant les voilà détruits! Ils sont enlevés, anéantis par une fin soudaine!

(92:8) Si les méchants croissent comme l'herbe, Si tous ceux qui font le mal fleurissent, C'est pour être anéantis à jamais.