Là ne s'agitent plus les méchants, Et là se reposent ceux qui sont fatigués et sans force;

Les captifs sont tous en paix, Ils n'entendent pas la voix de l'oppresseur;

Car, je le sais, tu me mènes à la mort, Au rendez-vous de tous les vivants.

C'est à la sueur de ton visage que tu mangeras du pain, jusqu'à ce que tu retournes dans la terre, d'où tu as été pris; car tu es poussière, et tu retourneras dans la poussière.

Une génération s'en va, une autre vient, et la terre subsiste toujours.

L'homme n'est pas maître de son souffle pour pouvoir le retenir, et il n'a aucune puissance sur le jour de la mort; il n'y a point de délivrance dans ce combat, et la méchanceté ne saurait sauver les méchants.

(12:9) avant que la poussière retourne à la terre, comme elle y était, et que l'esprit retourne à Dieu qui l'a donné.

Et comme il est réservé aux hommes de mourir une seul fois, après quoi vient le jugement,