Je connais tes œuvres, et ton travail, et ta patience; et je sais que tu ne peux souffrir les méchants; et tu as éprouvé ceux qui se disent apôtres, et ne le sont point, et tu les a trouvés menteurs.
Je connais tes œuvres, et ta tribulation, et ta pauvreté, (quoique tu sois riche, ) et les calomnies de ceux qui se disent Juifs, et ne le sont point, mais qui sont une synagogue de Satan.
Je connais tes œuvres, et ta tribulation, et ta pauvreté, (quoique tu sois riche, ) et les calomnies de ceux qui se disent Juifs, et ne le sont point, mais qui sont une synagogue de Satan.
Ne crains rien des choses que tu auras à souffrir; voici, le diable va jeter en prison quelques-uns de vous, afin que vous soyez éprouvés; et vous aurez une affliction de dix jours. Sois fidèle jusqu'à la mort, et je te donnerai la couronne de vie.
Mais à vous, et aux autres qui sont à Thyatire, à tous ceux qui ne professent pas cette doctrine, et qui n'ont point connu, comme ils disent, les profondeurs de Satan, je dis: Je ne mettrai point sur vous d'autre charge;
Voici, je t'en donnerai de la synagogue de Satan, qui se disent Juifs, et qui ne le sont point, mais qui mentent; voici, je les ferai venir, afin qu'ils se prosternent à tes pieds, et qu'ils connaissent que je t'ai aimée.
Souviens-toi donc de ce que tu as reçu et entendu, garde-le, et te repens. Que si tu ne veilles pas, je viendrai vers toi comme un larron, et tu ne sauras point à quelle heure je viendrai vers toi.
Mais Christ, comme Fils, est établi sur sa maison; nous sommes sa maison, pourvu que nous conservions jusqu'à la fin la ferme confiance et l'espérance dont nous nous glorifions.
Je connais tes œuvres; voici, j'ai ouvert une porte devant toi, et personne ne peut la fermer; parce que tu as peu de force, que tu as gardé ma parole, et que tu n'as point renié mon nom.
Or, quand ils vous persécuteront dans une ville, fuyez dans une autre; je vous dis en vérité que vous n'aurez pas achevé d'aller par toutes les villes d'Israël, que le Fils de l'homme ne soit venu.
Bien-aimés, plein de zèle pour vous écrire touchant notre salut commun, j'ai jugé nécessaire de le faire, pour vous exhorter à combattre pour la foi qui a été donnée une fois aux saints.
Car il s'est glissé parmi vous certains hommes, dont la condamnation est écrite depuis longtemps; des impies, qui changent la grâce de notre Dieu en dissolution, et qui renient Dieu, le seul Dominateur, et Jésus-Christ, notre Seigneur.
Et lorsque le sang d'Étienne, ton martyr (témoin), fut répandu, j'étais moi-même présent, consentant à sa mort, et gardant les vêtements de ceux qui le faisaient mourir.