Car si je vous attriste, qui est-ce qui me réjouira, sinon celui que j'aurais moi-même attristé?

J'ai une grande assurance avec vous; j'ai grand sujet de me glorifier de vous; je suis rempli de consolation; je suis comblé de joie dans toutes nos afflictions.

Mais Dieu, qui console ceux qui sont abattus, nous a consolés par l'arrivée de Tite;

Rendez ma joie parfaite, étant en bonne intelligence, ayant une même charité, une même âme, un même sentiment;

C'est pourquoi, mes frères bien-aimés et bien désirés, ma joie et ma couronne, demeurez de cette manière fermes dans le Seigneur, mes bien-aimés.

Car quelle est notre espérance, ou notre joie, ou notre couronne de gloire? N'est-ce pas vous aussi, en la présence de notre Seigneur Jésus-Christ, à son avènement?

Oui, vous êtes notre gloire et notre joie.

C'est pourquoi, frères, nous avons été consolés par votre foi, dans toutes nos afflictions et dans toutes nos angoisses.

Et quelles actions de grâces ne pouvons-nous pas rendre à Dieu à votre sujet, pour toute la joie que nous éprouvons devant notre Dieu, à cause de vous!

Obéissez à vos conducteurs et soyez-leur soumis, car ils veillent sur vos âmes, comme devant en rendre compte, afin qu'ils le fassent avec joie et non en gémissant; car cela vous serait préjudiciable.

Je n'ai point de plus grande joie que d'apprendre que mes enfants marchent dans la vérité.

Car, mon frère, ta charité nous a donné une grande joie et une grande consolation, en ce que tu as réjoui les entrailles des Saints.

Reçois-le donc comme mes propres entrailles.

Dieu m'est témoin, en effet, que je vous chéris tous d'une affection cordiale en Jésus-Christ.

S'il y a donc quelque consolation en Christ, s'il y a quelque soulagement dans la charité, s'il y a quelque communion d'esprit, s'il y a quelque compassion et miséricorde,

Or, celui qui aurait des biens de ce monde, et qui, voyant son frère dans le besoin, lui fermerait ses entrailles, comment l'amour de Dieu demeurerait-il en lui?