Nous souvenant sans cesse, devant Dieu notre Père, des œuvres de votre foi, des travaux de votre charité, et de la fermeté de votre espérance, en notre Seigneur Jésus-Christ;
Je vous ai montré en toutes choses, que c'est ainsi qu'en travaillant, il faut secourir les faibles, et se souvenir des paroles du Seigneur Jésus, qui a dit lui-même: Il y a plus de bonheur à donner qu'à recevoir.
Mais pour moi, je n'ai usé d'aucun de ces droits, et je n'écris point ceci, afin d'obtenir rien de semblable; car j'aimerais mieux mourir, que si quelqu'un m'ôtait ce sujet de gloire.
Car vous savez vous-mêmes comment vous devez nous imiter, puisque nous n'avons pas vécu parmi vous dans le désordre,
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Et que nous n'avons mangé gratuitement le pain de personne, mais que nous avons été dans la fatigue et la peine, travaillant nuit et jour, pour n'être à charge à aucun de vous.
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Ce n'est pas que nous n'en eussions le droit, mais c'est pour vous donner en nous-mêmes un exemple à imiter.
Nous endurons, en effet, tant de travaux et tant d'opprobres, parce que nous espérons au Dieu vivant, qui est le Sauveur de tous les hommes, principalement des fidèles.
Je rends grâces à Dieu que je sers avec une conscience pure, comme mes ancêtres, car, nuit et jour, je ne cesse de faire mention de toi dans mes prières,
Et nous n'avons point recherché la gloire qui vient des hommes, ni parmi vous, ni parmi les autres; quoique nous pussions, comme apôtres de Jésus-Christ, peser avec autorité,
Les précédents gouverneurs, qui étaient avant moi, opprimaient le peuple et recevaient de lui du pain et du vin, outre quarante sicles d'argent, et même leurs serviteurs dominaient sur le peuple; mais je n'ai pas fait ainsi, par crainte de Dieu.
Et ce qu'on apprêtait chaque jour, était un bœuf et six moutons choisis, et de la volaille, et de dix en dix jours toutes sortes de vins en abondance. Et avec tout cela, je n'ai point demandé le pain qui était assigné au gouverneur; car le service pesait lourdement sur le peuple.
Qui est-ce qui va jamais à la guerre à sa propre solde? Qui plante une vigne, et ne mange pas de son fruit? Ou, qui paît un troupeau, et ne mange pas du lait du troupeau?
Quelle récompense ai-je donc? C'est qu'en prêchant l'Évangile, j'établirai l'Évangile de Christ sans qu'il en coûte rien, et sans me prévaloir de mon droit dans l'Évangile.
Et, lorsque je me suis trouvé dans le besoin parmi vous, je n'ai été à charge à personne; car les frères qui étaient venus de Macédoine, ont suppléé à ce qui me manquait. Et en toutes choses je me suis gardé, et je me garderai de vous être à charge.
Voici, pour la troisième fois je suis prêt à aller vers vous; et je ne vous serai point à charge, car ce ne sont pas vos biens que je cherche, c'est vous-mêmes; car ce n'est pas aux enfants à amasser pour leurs parents, mais c'est aux parents à amasser pour leurs enfants.
Mais, quoique auparavant nous eussions souffert, et que nous eussions été outragés à Philippes, comme vous le savez, nous avons pris assurance en notre Dieu, pour vous annoncer l'Évangile de Dieu au milieu de grands combats.
Mais je ne me mets en peine de rien, et ma vie ne m'est point précieuse, pourvu que j'achève avec joie ma course et le ministère que j'ai reçu du Seigneur Jésus, pour annoncer la bonne nouvelle de la grâce de Dieu.
D'être le ministre de Jésus-Christ auprès des Gentils et d'exercer les saintes fonctions de l'Évangile de Dieu, afin que l'oblation des Gentils lui soit agréable, étant sanctifiée par le Saint-Esprit.
Par la vertu des miracles et des prodiges; par la puissance de l'Esprit de Dieu; de sorte que j'ai répandu l'Évangile de Christ depuis Jérusalem et les lieux voisins, jusqu'à l'Illyrie.