Or, je vous ai enseigné, avant toutes choses, ce que j'avais aussi reçu: que Christ est mort pour nos péchés, selon les Écritures;

Et qu'il a été vu de Céphas, puis des douze;

Ensuite, il s'est fait voir à Jacques, et puis à tous les apôtres;

Car je suis le moindre des apôtres, moi qui ne suis pas digne d'être appelé apôtre, parce que j'ai persécuté l'Église de Dieu.

Soit donc moi, soit eux, nous prêchons ainsi, et vous avez cru ainsi.

Nous, nous prêchons Christ crucifié, scandale pour les Juifs, et folie pour les Grecs;

Mais pour ceux qui sont appelés, tant Juifs que Grecs, le Christ est la puissance de Dieu et la sagesse de Dieu;

Car je ne me suis pas proposé de savoir autre chose parmi vous que Jésus-Christ, et Jésus-Christ crucifié.

Et ma parole et ma prédication n'ont point consisté dans des discours pathétiques de la sagesse humaine, mais dans une démonstration d'esprit et de puissance;

Or, nous prêchons la sagesse parmi les parfaits, une sagesse, non de ce monde, ni des princes de ce monde, qui sont impuissants;

Or il discourait dans la synagogue, tous les jours de sabbat, et il persuadait les Juifs et les Grecs.

Et quand Silas et Timothée furent venus de Macédoine, Paul pressé par l'Esprit, rendait témoignage aux Juifs du Christ Jésus.

Je m'étonne que vous abandonniez si promptement celui qui vous avait appelés à la grâce de Christ, pour passer à un autre évangile;

Mais quand nous-mêmes, ou un ange du ciel vous annoncerait un évangile différent de celui que nous vous avons annoncé, qu'il soit anathème!

Car, est-ce les hommes que je prêche, ou Dieu? ou est-ce que je cherche à plaire aux hommes? Si je plaisais aux hommes, je ne serais pas un serviteur de Christ.

Car je ne l'ai ni reçu ni appris d'un homme, mais par une révélation de Jésus-Christ.

Je rends grâces continuellement à mon Dieu pour vous, à cause de la grâce que Dieu vous a donnée en Jésus-Christ, savoir:

Selon que le témoignage de Christ a été confirmé en vous;

Il vous affermira aussi jusqu'à la fin, pour que vous soyez irrépréhensibles au jour de notre Seigneur Jésus-Christ.

De même, ceux qui reçoivent la semence dans des endroits pierreux, sont ceux qui, ayant entendu la Parole, la reçoivent d'abord avec joie;

Et ceux qui reçoivent la semence parmi les épines, ce sont ceux qui écoutent la Parole;

Mais ceux qui ont reçu la semence dans une bonne terre, ce sont ceux qui écoutent la Parole, qui la reçoivent et qui portent du fruit, un grain trente, un autre soixante, et un autre cent.

Celui qui me rejette et ne reçoit point mes paroles, a son juge; la parole que j'ai annoncée, c'est elle qui le jugera au dernier jour.

Ceux donc qui reçurent de bon cœur sa parole, furent baptisés; et ce jour-là environ trois mille âmes furent ajoutées aux disciples.

Les apôtres et les frères qui étaient en Judée, apprirent que les Gentils avaient aussi reçu la parole de Dieu.

Et vous avez été nos imitateurs et ceux du Seigneur, ayant reçu la parole avec la joie du Saint-Esprit, au milieu de beaucoup d'afflictions;

C'est pourquoi aussi, nous ne cessons de rendre grâces à Dieu de ce que, recevant de nous la parole de Dieu que nous prêchons, vous avez reçu, non une parole des hommes, mais, ainsi qu'elle l'est véritablement, la parole de Dieu, qui agit avec efficacité en vous qui croyez.

Au reste, frères, nous vous prions donc et nous vous conjurons par le Seigneur Jésus, que comme vous avez appris de nous de quelle manière il faut vous conduire pour plaire à Dieu, vous le fassiez toujours plus.

Frères, nous vous recommandons aussi, au nom de notre Seigneur Jésus-Christ, de vous éloigner de tout frère qui vit dans le désordre, et non selon les enseignements qu'il a reçus de nous.

Qui, par la foi, nous a aussi fait avoir accès à cette grâce, dans laquelle nous demeurons fermes, et nous nous glorifions dans l'espérance de la gloire de Dieu;

Non que nous dominions sur votre foi, mais nous contribuons à votre joie, puisque c'est par la foi que vous demeurez fermes.

Je vous ai écrit en peu de mots par Silvain, qui est, comme je l'estime, un frère fidèle, vous exhortant et vous assurant que la vraie grâce de Dieu est celle dans laquelle vous demeurez fermes.