Nous étant donc embarqués, après nous être séparés d'eux, nous vînmes droit à Cos, et le jour suivant à Rhodes, et de là à Patara.

Il arriva un jour, qu'il entra dans une barque avec ses disciples, et il leur dit: Passons de l'autre côté du lac; et ils partirent.

Nous y étant embarqués, nous arrivâmes le lendemain vis-à-vis de Chios. Le jour suivant, nous abordâmes à Samos, et nous étant arrêtés à Trogylle, le jour d'après, nous vînmes à Milet.

Car Paul avait résolu de passer Éphèse, pour ne pas perdre de temps en Asie, parce qu'il se hâtait d'être à Jérusalem, si cela était possible, le jour de la Pentecôte.

Nous étant donc embarqués, après nous être séparés d'eux, nous vînmes droit à Cos, et le jour suivant à Rhodes, et de là à Patara.

Puis, ayant découvert l'île de Cypre, et la laissant à gauche, nous fîmes route vers la Syrie, et nous abordâmes à Tyr, parce que le vaisseau y laissait sa charge.

Et un grand nombre de ceux qui avaient exercé des sorcelleries, ayant apporté leurs livres, les brûlèrent devant tout le monde; et quand on en eut calculé le prix, on le trouva de cinquante mille pièces d'argent.

Et il fut accompagné jusqu'en Asie par Sopater de Bérée, par Aristarque et Second de Thessalonique, Gaïus de Derbe, Timothée, et par Tychique et Trophime, d'Asie.

Aristarque, mon compagnon de captivité, vous salue, ainsi que Marc, cousin de Barnabas, pour lequel vous avez reçu des ordres; (s'il va chez vous, recevez-le. )

Marc, Aristarque, Démas et Luc, mes compagnons de travaux, te saluent.

Aussitôt après cette vision, nous nous disposâmes à passer en Macédoine, concluant que le Seigneur nous appelait à y annoncer l'Évangile.

Et de là à Philippes, qui est une colonie et la première ville de ce quartier de la Macédoine; et nous y séjournâmes quelques jours.

Ceux-ci étant allés devant, nous attendirent à Troas.

Mais ces jours étant passés, nous sortîmes pour partir, et ils nous accompagnèrent tous, avec leurs femmes et leurs enfants, jusque hors de la ville. Et nous mettant à genoux sur le rivage, nous fîmes la prière.

Et les Barbares nous traitaient avec une humanité peu commune; car ils allumèrent du feu, et ils nous recueillirent tous, à cause de la pluie qui tombait, et du froid.

On nous fit aussi de grands honneurs, et, à notre départ, on nous pourvut de ce qui nous était nécessaire.

Et ayant abordé à Syracuse, nous y demeurâmes trois jours.

Quand nous fûmes arrivés à Rome, le centenier livra les prisonniers au préfet du prétoire; mais il fut permis à Paul de demeurer en son particulier, avec un soldat qui le gardait.