Mais, comme ils cherchaient à le tuer, le bruit vint au tribun de la cohorte que tout Jérusalem était en trouble.

A l'instant il prit des soldats et des centeniers avec lui, et courut à eux; et voyant le tribun et les soldats, ils cessèrent de battre Paul.

Et comme une grande dispute s'était engagée, le tribun, craignant que Paul ne fût mis en pièces par eux, commanda que les soldats descendissent, pour l'enlever du milieu d'eux, et le conduire dans la forteresse.

Les Juifs s'étaient saisis de cet homme et allaient le tuer, lorsque survenant avec la garnison, je l'ai tiré de leurs mains, ayant appris qu'il était Romain.

Mais quand ils l'eurent lié avec des courroies, Paul dit au centenier qui était présent: Vous est-il permis de fouetter un citoyen romain, sans qu'il soit condamné?

Le tribun venant donc vers Paul, lui dit: Dis-moi, es-tu Romain? Et il répondit: Oui.

Ceux donc qui devaient lui donner la question se retirèrent aussitôt de lui; et le tribun lui-même eut peur, voyant qu'il était Romain, et qu'il l'avait fait lier.

Alors la foule se souleva contre eux, et les préteurs, ayant fait déchirer leurs vêtements, ordonnèrent qu'ils fussent battus de verges.

Et après leur avoir infligé plusieurs coups, ils les jetèrent en prison et ordonnèrent au geôlier de les garder sûrement.

Mais Paul dit aux licteurs: Après nous avoir battus de verges publiquement, sans jugement, nous qui sommes Romains, ils nous ont mis en prison; et maintenant ils nous font sortir en secret; non certes! mais qu'ils viennent eux-mêmes nous faire sortir.

Pilate fit donc prendre Jésus, et le fit fouetter.

Des femmes recouvrèrent leurs morts par la résurrection; d'autres furent torturés, n'ayant point accepté de délivrance pour obtenir une meilleure résurrection;