Alors Paul et Barnabas leur dirent hardiment: C'était à vous d'abord qu'il fallait annoncer la parole de Dieu; mais puisque vous la rejetez, et que vous vous jugez vous-mêmes indignes de la vie éternelle, voici, nous nous tournons vers les Gentils.
Priant en tout temps par l'Esprit par toutes sortes de prières et de supplications; et veillant à cela en toute persévérance, et priant pour tous les Saints,
19
Et pour moi aussi, afin qu'il me soit donné de parler librement, avec hardiesse, pour faire connaître le mystère de l'Évangile,
20
Pour lequel je suis ambassadeur dans les chaînes, en sorte que j'en parle avec hardiesse, comme je dois en parler.
Mais, quoique auparavant nous eussions souffert, et que nous eussions été outragés à Philippes, comme vous le savez, nous avons pris assurance en notre Dieu, pour vous annoncer l'Évangile de Dieu au milieu de grands combats.
Hommes Israélites, écoutez ces paroles: Jésus le Nazarien, cet homme signalé de Dieu parmi vous par les actes de puissance, les merveilles et les miracles qu'il a opérés par son moyen au milieu de vous, comme vous le savez vous-mêmes;
Dieu même appuyant leur témoignage par des prodiges et des miracles, par divers actes de sa puissance, et par les dons du Saint-Esprit, selon sa volonté.
Mais je ne me mets en peine de rien, et ma vie ne m'est point précieuse, pourvu que j'achève avec joie ma course et le ministère que j'ai reçu du Seigneur Jésus, pour annoncer la bonne nouvelle de la grâce de Dieu.
Car je n'ai point honte de l'Évangile de Christ, car c'est la puissance de Dieu, pour le salut de tous ceux qui croient, du Juif d'abord, du Grec ensuite.
Or il se faisait beaucoup de miracles et de prodiges parmi le peuple, par le moyen des apôtres; et ils étaient tous d'un commun accord au portique de Salomon.
13
Et aucun des autres n'osait se joindre à eux, mais le peuple leur donnait de grandes louanges.
14
De plus, des multitudes d'hommes et de femmes, de ceux qui croyaient au Seigneur, étaient ajoutées à l'Église;
Au point qu'en appliquant sur les malades des mouchoirs et des linges qui avaient touché son corps, ils étaient guéris de leurs maladies, et les esprits malins sortaient.