En elle était la vie, et la vie était la lumière des hommes.

La véritable lumière qui éclaire tout homme était venue dans le monde.

Il est venu chez les siens; et les siens ne l'ont point reçu.

Jésus parla encore au peuple, et dit: Je suis la lumière du monde; celui qui me suit ne marchera point dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie.

Et Jésus dit: Je suis venu dans ce monde pour rendre un jugement; afin que ceux qui ne voient point, voient; et que ceux qui voient, deviennent aveugles.

Jésus leur dit: Si vous étiez aveugles, vous n'auriez point de péché; mais maintenant vous dites: Nous voyons; c'est à cause de cela que votre péché subsiste.

Si je n'étais pas venu, et que je ne leur eusse pas parlé, ils n'auraient point de péché; mais maintenant ils n'ont point d'excuse pour leur péché.

Si je n'eusse pas fait parmi eux les ouvres qu'aucun autre n'a faites, ils n'auraient point de péché; mais maintenant ils les ont vues, et ils ont haï et moi et mon Père.

Alors il se mit à faire des reproches aux villes où il avait fait la plupart de ses miracles, de ce qu'elles ne s'étaient point repenties.

C'est pourquoi je vous dis que le sort de Tyr et de Sidon sera plus supportable au jour du jugement que le vôtre.

C'est pourquoi je vous dis que le sort du pays de Sodome sera plus supportable au jour du jugement que le tien.

Nous secouons contre vous la poussière qui s'est attachée à nous dans votre ville; sachez pourtant que le règne de Dieu s'est approché de vous.

Malheur à toi, Chorazin; malheur à toi, Bethsaïda; car si les miracles qui ont été faits au milieu de vous, avaient été faits à Tyr et à Sidon, il y a longtemps qu'elles se seraient converties, en prenant le sac et la cendre.

Et toi, Capernaüm, qui as été élevée jusqu'au ciel, tu seras abaissée jusqu'en enfer.

Le serviteur qui a connu la volonté de son maître, et qui ne s'est pas tenu prêt et n'a pas fait cette volonté, sera battu de plusieurs coups.

Qui, connaissant le décret de Dieu, savoir: que ceux qui commettent de telles choses sont dignes de mort, non seulement les pratiquent, mais encore approuvent ceux qui les commettent.

Car nous sommes la bonne odeur de Christ devant Dieu, pour ceux qui sont sauvés et pour ceux qui périssent;

A ceux-ci, une odeur mortelle, donnant la mort; et à ceux-là, une odeur vivifiante, donnant la vie. Et qui est suffisant pour ces choses?

Afin que tous ceux qui n'ont pas cru à la vérité, mais qui ont pris plaisir dans l'injustice, soient condamnés.

Frères, prenez garde que quelqu'un de vous n'ait un cœur mauvais et incrédule, en se détournant du Dieu vivant.

Mais exhortez-vous les uns les autres chaque jour, pendant qu'il est dit: Aujourd'hui; de peur que quelqu'un de vous ne s'endurcisse par la séduction du péché.

Comment pouvez-vous croire, quand vous tirez votre gloire les uns des autres, et que vous ne recherchez point la gloire qui vient de Dieu seul?

Si quelqu'un veut faire la volonté de Dieu, il connaîtra si ma doctrine est de Dieu, ou si je parle de mon chef.

Le père dont vous êtes issus, c'est le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il n'a point persisté dans la vérité, parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il dit le mensonge, il parle de son propre fonds; car il est menteur, et le père du mensonge.

Mais parce que je dis la vérité, vous ne me croyez point.

Mais vous ne croyez pas, parce que vous n'êtes point de mes brebis, comme je vous l'ai dit.

Mes brebis entendent ma voix, et je les connais, et elles me suivent.

Car ils aimèrent plus la gloire qui vient des hommes, que la gloire de Dieu.

Car c'est ici un peuple rebelle, ce sont des enfants menteurs, des enfants qui ne veulent point écouter la loi de l'Éternel;

Sortez de la voie, détournez-vous du chemin! Otez de notre vue le Saint d'Israël!

Les pharisiens, qui étaient avares, écoutaient tout cela, et se moquaient de lui.

A moins que ce ne soit de cette seule parole que j'ai dite hautement, au milieu d'eux: Aujourd'hui je suis mis en cause par vous à propos de la résurrection des morts.

Et il commanda à un centenier de garder Paul, mais de lui laisser quelque liberté, et de n'empêcher aucun des siens de le servir ou de l'approcher.

Et comme Paul discourait sur la justice, la continence et le jugement à venir, Félix, effrayé, lui dit: Pour le moment retire-toi, et quand j'en trouverai l'occasion, je te rappellerai.

Mais l'indignation et la colère aux contentieux et à ceux qui sont rebelles à la vérité, et qui obéissent à l'injustice;

En désobéissant à la parole, ils se heurtent contre elle, et c'est à cela qu'ils ont été destinés.

Sachant tout d'abord ceci, qu'aux derniers jours il viendra des moqueurs, qui se conduiront selon leurs convoitises,