Voici, l'heure vient, et elle est déjà venue, que vous serez dispersés chacun de son côté, et que vous me laisserez seul; mais je ne suis pas seul, parce que mon Père est avec moi.
Je connais un homme en Christ, qui, il y a plus de quatorze ans, fut ravi jusqu'au troisième ciel; (si ce fut dans le corps, je ne sais; si ce fut hors du corps, je ne sais; Dieu le sait. )
C'est ici la fin de cette parole. Quant à moi, Daniel, mes pensées me troublèrent fort, je changeai de couleur, et je conservai ces paroles dans mon cœur.
Et je le vis atteindre le bélier; et, s'irritant contre lui, il le heurta et brisa ses deux cornes; et le bélier n'avait pas la force de lui résister; il le jeta à terre et le foula aux pieds, et il n'y eut personne qui délivrât le bélier de sa puissance.
Et moi, Daniel, je tombai en défaillance et fus malade pendant quelques jours; puis je me levai et fis les affaires du roi. J'étais étonné de la vision, mais personne ne la comprit.
J'ai entendu, et mes entrailles sont émues; à cette voix mes lèvres frémissent; la carie pénètre mes os, et je tremble sous moi, de ce que je dois attendre en repos le jour de la détresse, quand montera contre le peuple celui qui l'assaillira.
Or, quand je le vis, je tombai à ses pieds comme mort, et il mit sa main droite sur moi, en me disant: Ne crains point; c'est moi qui suis le premier et le dernier, celui qui est vivant;
Et quand cet homme vit qu'il ne pouvait le vaincre, il toucha l'emboîture de sa hanche; et l'emboîture de la hanche de Jacob fut démise, pendant qu'il luttait avec lui.
Et de peur que je ne m'élevasse trop, à cause de l'excellence de mes révélations, il m'a été mis dans la chair une écharde, un ange de Satan, pour me souffleter, afin que je ne m'élève point.