Ils tendent leur langue comme un arc, pour lancer le mensonge; ce n'est pas pour la vérité qu'ils sont vaillants dans le pays; car ils vont de malice en malice, et ils ne me connaissent point, dit l'Éternel.

Et chacun se moque de son prochain; et on ne dit point la vérité. Ils ont formé leur langue à dire le mensonge; ils se fatiguent pour faire le mal.

Délivre-nous, ô Éternel! Car il n'y a plus d'hommes de bien; les fidèles ont disparu d'entre les fils des hommes.

Il enverra des cieux et me sauvera. Il rendra honteux celui qui me poursuit (Sélah); Dieu enverra sa bonté et sa vérité.

Mets-moi à couvert du complot des méchants, du tumulte des ouvriers d'iniquité;

Qui aiguisent leur langue comme une épée, qui ajustent comme une flèche leur parole amère,

Mais Dieu leur lance une flèche; soudain les voilà frappés.

Que te donnera, que te rapportera la langue trompeuse?

Abner étant donc revenu à Hébron, Joab le tira à part, en dedans de la porte, comme pour lui parler en secret, et là il le frappa au ventre; et Abner mourut ainsi, à cause du sang d'Asaël, frère de Joab.

Et Joab dit à Amasa: Te portes-tu bien, mon frère? Puis Joab saisit de la main droite la barbe d'Amasa pour le baiser.

Or Amasa ne prenait point garde à l'épée qui était dans la main de Joab; et Joab lui en porta un coup dans le ventre, et répandit ses entrailles à terre, sans le frapper une seconde fois; et il mourut. Après cela Joab et Abishaï, son frère, poursuivirent Shéba, fils de Bicri.

Ne m'enlève pas avec les méchants, ni avec les ouvriers d'iniquité, qui parlent de paix avec leur prochain, quoiqu'ils aient la malice dans le cœur.

Chacun jette la main sur ceux qui vivaient en paix avec lui; il viole son alliance.

Celui qui hait, dissimule en parlant; mais au-dedans de lui il cache la fraude.

La méchanceté de celui qui cache sa haine pour faire du mal, se découvrira dans l'assemblée.

Et celui qui le trahissait leur avait donné ce signal: Celui que je baiserai, c'est lui, saisissez-le.

Et aussitôt, s'approchant de Jésus, il lui dit: Maître, je te salue; et il le baisa.