Alors Job se leva, et il déchira son manteau, et il rasa sa tête; et il se jeta par terre, et il se prosterna,

Et il dit: Nu je suis sorti du ventre de ma mère, et nu j'y retournerai; l'Éternel a donné, l'Éternel a ôté, que le nom de l'Éternel soit béni!

Et Satan sortit de devant la face de l'Éternel; et il frappa Job d'un ulcère malin, depuis la plante des pieds jusqu'au sommet de la tête.

Et sa femme lui dit: Tu tiens ferme encore dans ton intégrité! Renie Dieu, et meurs!

Qui guérit ceux qui ont le cœur brisé, et qui bande leurs plaies.

Et non seulement en cela, mais nous nous glorifions même dans les afflictions, sachant que l'affliction produit la patience,

Or, l'espérance ne trompe point, parce que l'amour de Dieu est répandu dans nos cœurs, par l'Esprit-Saint qui nous a été donné.

Qui nous séparera de l'amour de Christ? Sera-ce l'affliction, ou l'angoisse, ou la persécution, ou la faim, ou la nudité, ou le péril, ou l'épée?

Au contraire, dans toutes ces choses nous sommes plus que vainqueurs, par celui qui nous a aimés.

Car ce qui fait notre gloire, c'est ce témoignage de notre conscience, que nous nous sommes conduits dans le monde, et surtout à votre égard, avec simplicité et sincérité devant Dieu, non pas avec une sagesse charnelle, mais avec la grâce de Dieu.

Mais il m'a dit: Ma grâce te suffit; car ma force s'accomplit dans la faiblesse. Je me glorifierai donc plus volontiers dans mes infirmités, afin que la force de Christ habite en moi.

C'est pourquoi je me complais dans les infirmités, dans les opprobres, dans les misères, dans les persécutions, dans les angoisses pour le Christ; car lorsque je suis faible, c'est alors que je suis fort.

Frères, regardez comme le sujet d'une parfaite joie les diverses tentations qui vous arrivent,

En cela vous vous réjouissez, quoique vous soyez maintenant attristés pour un peu de temps par diverses épreuves, puisqu'il le faut,

Le cœur joyeux vaut un remède; mais l'esprit abattu dessèche les os.

Car les flèches du Tout-Puissant sont sur moi: mon âme en boit le venin. Les terreurs de Dieu se rangent en bataille contre moi.

Alors, tu me terrifies par des songes, et tu m'épouvantes par des visions.

Ainsi j'aime mieux étouffer, j'aime mieux mourir que conserver mes os.

Si j'étais méchant, malheur à moi! Si j'étais juste, je n'en lèverais pas la tête plus haut, je serais rassasié d'ignominie et spectateur de ma propre misère.

Tu produirais de nouveaux témoins contre moi, tu redoublerais de colère à mon égard, tes bataillons se renouvelleraient contre moi.

Éternel, j'ai crié à toi; j'ai fait ma supplication à l'Éternel, disant:

Quel profit retireras-tu de mon sang, si je descends dans la fosse? La poussière te célébrera-t-elle? Annoncera-t-elle ta vérité?

Quand je me suis tu, mes os se sont consumés, et je gémissais tout le jour.

Car, jour et nuit, ta main s'appesantissait sur moi; ma vigueur se changeait en une sécheresse d'été. Sélah (pause).

Éternel, ne me châtie pas dans ta colère, et ne me punis pas dans ton courroux!

Il n'y a rien d'entier dans ma chair, à cause de ton courroux, ni aucun repos dans mes os, à cause de mon péché.

Je dirai à Dieu, mon rocher: Pourquoi m'as-tu oublié? Pourquoi marcherai-je en deuil, sous l'oppression de l'ennemi?

Mes os se brisent, quand mes ennemis m'outragent, disant chaque jour: Où est ton Dieu?

Écoute-moi et réponds-moi; je m'agite dans ma plainte, et je gémis,

Mon cœur frémit au-dedans de moi, et des frayeurs mortelles sont tombées sur moi.

Ma voix s'adresse à Dieu, et je crie, ma voix s'adresse à Dieu, et il m'écoutera.

Au jour de ma détresse, j'ai cherché le Seigneur; la nuit, ma main était étendue vers lui et ne se lassait point; mon âme refusait d'être consolée.

Et moi, Éternel, je crie à toi; ma prière te prévient dès le matin.

Je suis affligé et comme expirant dès ma jeunesse; je suis chargé de tes terreurs, je suis éperdu.

Car je suis affligé et misérable, et mon cœur est blessé au-dedans de moi.

Et il prit avec lui Pierre, Jacques et Jean; et il commença à être saisi de frayeur et fort agité.

Et il leur dit: Mon âme est saisie de tristesse jusqu'à la mort; demeurez ici et veillez.

De sorte que vous devez plutôt lui pardonner et le consoler, de peur qu'il ne soit accablé par une trop grande tristesse.