Par la foi, il demeura dans la terre qui lui avait été promise, comme dans une terre étrangère, habitant sous des tentes, avec Isaac et Jacob, les cohéritiers de la même promesse.
Et l'Éternel dit à Abram: Sache que ta postérité sera étrangère dans un pays qui ne lui appartiendra point, et qu'elle en servira les habitants, et qu'ils l'opprimeront pendant quatre cents ans.
Or, les promesses ont été faites à Abraham et à sa postérité. Il n'est pas dit: Et à ses postérités, comme s'il s'agissait de plusieurs; mais comme d'une seule: Et à ta postérité, qui est Christ.
Voici donc ce que je dis: Quant au contrat que Dieu a auparavant confirmé en Christ, la loi, qui n'est venue que quatre cent trente ans après, n'a pu l'annuler, pour abolir la promesse.