BEIT MIDRASH MESSIANIQUE
CENTRE MESSIANIQUE BETH YESHOUA
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Shavouot (la fête des Semaines) est célébrée 49 jours après le lendemain du shabbat de Pessa'h après les prémices (Pessa'h 3). La Torah nous conseille de compter chaque jour depuis la fête de PESSA'H jusqu'au début de Shavouot (la Pentecôte). Le chiffre du haut indique le nombre de jours restants, puis on a les heures, les minutes et les secondes
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 16 - Sefer Shemot (4) Beshallah 5784 |
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«Vayehiy beshallah paroh et haam» : «Et Pharaon laissa aller le peuple» Après toutes ces années, des siècles même, la libération arriva. La délivrance d’un peuple hébreu brisé qui n’y croyait plus. C’est précisément lorsqu’on ne pense plus à la délivrance qu’elle va arriver. Mais de quelle délivrance s’agit-il ? De «yeshouah» bien sûr. C’est aussi lorsqu’on ne se fait plus d’illusion au sujet du peuple juif qui a rejeté la pierre angulaire, que l’Éternel va se faire connaître à Lui avec affection et patience. Et la parasha est aussi là pour ça. Le but de la parasha messianique est de découvrir dans les textes prophétiques, la Présence et l’action du Mashiah Yeshoua, qu’elle soit une Présence visible ou invisible. Maintenant que les 10 plaies d’Égypte sont terminées, cette parasha «beshallah» poursuit les actions de l’Éternel avec comme idée maîtresse celle d’obliger le Pharaon et toutes les nations à glorifier son Nom. C’était pour ça qu’il y avait les 10 plaies. L’endurcissement que l’Éternel avait programmé sur la tête de Pharaon et la punition qu’il va faire retomber par après sur lui, malgré la souveraineté absolue des ses projets, restera jusqu’au retour du Messie une question restée sans réponse : la question du déterminisme, c’est-à-dire jusqu’à quel point, les choix que nous faisons sont-ils déterminés par notre libre arbitre ou par la volonté souveraine de Dieu. Avec Yeshoua nous avons la réponse à cette question en ce qui concerne notre salut qui était écrit par la main de Dieu. Dieu a souverainement décidé de nous sauver gratuitement et librement. La chose était écrite. Celui qui refuse ce salut se met littéralement en guerre ouverte contre Dieu. Refuser un cadeau gratuit, c’est nier le donateur. C’est ce qui s’est passé avec Pharaon à partir de Exode 5:2 «Pharaon répondit : Qui est l’Éternel, pour que j’obéisse à sa voix, en laissant aller Israël ? Je ne connais point l’Éternel, et je ne laisserai point aller Israël.» |
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