Poème : Les fleurs du bien

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ILS SONT TOMBES :

«Poème : Les fleurs du bien»

Ils sont tombés, ne sachant trop pourquoi?

Vieillards, femmes et enfants,

dans le mépris d’une idéologie, assoiffée de sang !

Ils étaient coupables d’être différents.

Leurs vies valaient elles moins cher, qu’un

Sicle d’argent?

Rendus esclaves de la folie meurtrière,

d’un parti sanguinaire, voué au culte

suprême d’un tyran, faisant fi

de toute vie à ses yeux inutile,

non issue de la sélection d’une race supérieure.

Le funeste destin de ces Êtres résignés,

menés à l’abattoir, car ayant le malheur

de ne point naître du bon coté.

Mon cœur est le cimetière de la mémoire

de millions de disparus!

Que chacun d’entre-nous ait parfois une

pensée, pour ces pauvres meurtris,

anéantis sans porte de Salut.

Ceux qui échappèrent à ces flots de destruction,

repartirent en leur Terre, depuis des décennies

laissée à l’abandon !

D’un désert aride, sortirent de leurs mains,

villes et végétations.

En une journée, ils devinrent une Nation

reconnue par toute l’opinion.

PERE ! Tu as permis ceci, afin que le

Monde voie, que tu es le D.ieu de fidélité

ramenant tes fils dans les portes de SION…

 

                                      KREMER PHILIPPE.