Et je dis: Ce que vous faites n'est pas bien. Ne voulez-vous pas marcher dans la crainte de notre Dieu, pour n'être pas l'opprobre des nations qui sont nos ennemies?
Les précédents gouverneurs, qui étaient avant moi, opprimaient le peuple et recevaient de lui du pain et du vin, outre quarante sicles d'argent, et même leurs serviteurs dominaient sur le peuple; mais je n'ai pas fait ainsi, par crainte de Dieu.
Pendant longtemps il n'en voulut rien faire. Cependant, il dit enfin en lui-même: Quoique je ne craigne point Dieu, et que je n'aie d'égard pour personne;