Et je dis: Qu'est-ce que ceux-ci viennent faire? Et il répondit: Ce sont là les cornes qui ont dispersé Juda, tellement que personne n'osait lever la tête; mais ceux-ci sont venus pour les effrayer, pour abattre les cornes des nations, qui ont levé la corne contre le pays de Juda pour le disperser.
Et je lui dis: Seigneur, tu le sais. Et il me dit: Ce sont ceux qui sont venus de la grande tribulation, et qui ont lavé leurs robes, et ont blanchi leurs robes dans le sang de l'Agneau.
Et je dis: Qu'est-ce que ceux-ci viennent faire? Et il répondit: Ce sont là les cornes qui ont dispersé Juda, tellement que personne n'osait lever la tête; mais ceux-ci sont venus pour les effrayer, pour abattre les cornes des nations, qui ont levé la corne contre le pays de Juda pour le disperser.
Car ainsi a dit l'Éternel des armées: Comme j'ai résolu de vous faire du mal, quand vos pères ont provoqué mon indignation, dit l'Éternel des armées, et que je ne m'en suis point repenti,
Et du temps d'Artaxerxès, Bishlam, Mithrédath, Tabéel, et les autres de leurs collègues, écrivirent à Artaxerxès, roi de Perse. La lettre fut écrite en caractères araméens et traduite en araméen.
En ce temps-là, Thathénaï, gouverneur de ce côté-ci du fleuve, Shéthar-Boznaï et leurs collègues, vinrent vers eux, et leur parlèrent ainsi: Qui vous a donné ordre de bâtir cette maison, et de relever ces murailles?
Israël est une brebis égarée, que les lions ont chassée. Le roi d'Assyrie l'a dévorée le premier; mais ce dernier, Nébucadnetsar, roi de Babylone, lui a brisé les os.
C'est pourquoi, ainsi a dit l'Éternel des armées, le Dieu d'Israël: Voici, je vais visiter le roi de Babylone et son pays, comme j'ai visité le roi d'Assyrie.
Et j'entendis l'homme vêtu de lin, qui était au-dessus des eaux du fleuve; il leva sa main droite et sa main gauche vers les cieux, et il jura par celui qui vit éternellement que ce sera pour un temps, des temps et la moitié d'un temps, et que quand il aura achevé de briser la force du peuple saint toutes ces choses seront accomplies.
Tu perces de tes traits la tête de ses chefs, qui se précipitent comme la tempête pour nous disperser, et se réjouissent comme pour dévorer le malheureux dans leur repaire.